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  • Engagement associatif : les députés interpellent le gouvernement

    Communiqué de FNE le 29 11 2017

    Une proposition de résolution relative à l'engagement associatif et à sa reconnaissance sera examinée demain, à l’Assemblée Nationale. Dans un contexte de fragilisation des associations, avec notamment la récente suppression de la réserve parlementaire, France Nature Environnement se réjouit de voir les députés se saisir de cet important sujet. La fédération demande au Gouvernement d’y donner suite, et ainsi d’activer les leviers pour favoriser l’engagement associatif.

    Des associations indispensables à la démocratie

    Les associations sont un levier majeur pour faire vivre la « démocratie du quotidien » : elles prennent part à la vie des territoires en les dynamisant, notamment par la création d’emploi mais également en étant force d’initiatives et de propositions, en organisant des événements, des débats...

    Elles ont un rôle fondamental dans la participation aux instances consultatives et de concertation, au niveau national comme local, ou encore dans l’enrichissement des consultations publiques. L’action des associations répond à une demande de participation des citoyens et contribue à les réinvestir dans la vie publique. Elle répond enfin à la nécessité de défendre l’intérêt général, et non des intérêts catégoriels comme d’autres lobbys, auprès des décideurs.

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  • Présidentielle 2017 : changer de méthode pour changer de cap

    Aides, la Cimade, la Ligue des droits de l’Homme, la Quadrature du net et Greenpeace s'associent dans le cadre de l'initiative « Virage citoyen » pour défendre des valeurs qui leur sont chères : l'universalité et l'égalité des droits, la dignité des personnes et la solidarité. Au-delà des objectifs spécifiques que nous poursuivons, nous avons tenu à partager, dans la tribune ci-dessous, les propositions positives pour la société que nous voulons voir émerger.

     

    Cette campagne est décidément bien étrange. C’est la confirmation, s’il en fallait encore une, qu’un changement radical de méthode et de cap est nécessaire. Voilà maintenant plusieurs mois que la surenchère sécuritaire et les « affaires » polluent l’espace public. Ce climat délétère empêche l’émergence de tout débat de fond sur des sujets pourtant vitaux pour notre avenir commun. Bref, disons-le clairement : cette campagne électorale n’est pas à la hauteur. Elle ne répond pas aux grands défis actuels, elle ne s’attaque pas aux racines des problèmes qui minent notre société et elle ouvre un boulevard toujours plus large aux forces populistes et rétrogrades.

    Pour nous, acteurs-trices du changement et de la transformation sociale, la résignation n’est pas une option. Convaincu-e-s qu’un sursaut citoyen pourra nous sortir de l’impasse, nous parlons aujourd’hui d’une seule voix pour réaffirmer les valeurs qui nous lient et proposer une autre vision du monde. Il est temps de reconstruire ensemble un idéal commun et de faire prendre à notre société un nouveau virage. Un virage vers le progrès social. Vers une société où tous et toutes ont les mêmes droits, des droits effectifs qui reposent sur la solidarité.  Un virage résolument citoyen.

     

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  • AG des Tourelles : "La culture ne s'hérite pas, elle se conquiert"

    C'est par cette citation d'André Malrault, extraite d'un discours  en hommage à la Grèce, prononcé le 28 mai 1959 à Athènes, que Sylvain Machinet a conclu son rapport moral. Le Président de l'association " Les Tourelles" a mis en avant trois thématiques dans sa présentation : le militantisme bénévole associatif, l'éducation populaire et la Culture ouverte à tous. Il a développé les trois axes proposés pour les années à venir  par le conseil d'administration : la poursuite et l'amplification de la réflexion avec la 2C2A, la recherche de nouveaux financements, et la mise en place de commissions au sein de l'association.

    Lors de sa prise de parole, Yann Dugard, le Maire de Vouziers, a félicité Sylvain Machinet pour son rapport moral et mis en avant le travail d'Amélie Rossi Pahon au sein de l'association.

    Faut-il en conclure que tout va parfaitement bien entre l'association et les élus de la ville ? Ce n'est pas si simple. Car, le Président l'a rappelé dans son rapport moral, le but principal de l'association est de mettre en œuvre la politique culturelle de la ville. La marge de manœuvre est donc limitée, et quand la ville diminue la subvention accordée à l'association, son Président ne peut que le regretter, en espérant pouvoir poursuivre son travail "dans un cadre de confiance mutuelle".

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  • Démocratie participative : un rapport pour la forme

    Communiqué de la FNE

    Aujourd’hui est remis à la ministre de l’Ecologie, Ségolène Royal, le rapport de la commission Richard sur la démocratie participative en matière environnementale. Commandé suite la mort du militant Rémi Fraisseà Sivens, ce rapport était l’occasion de réfléchir à la façon d’impliquer les citoyens, le plus en amont possible des projets d’aménagement. Malheureusement les propositions restent timides.


    De l’intérêt de développer la démocratie participative

    Elle prendrait trop de temps selon certains acteurs, qui défendent l’allègement des procédures en particulier pour les projets privés. Le respect de l’intérêt général est-il une perte de temps ? Co-construire les projets peut au contraire permettre d’en gagner, en évitant les blocages à un stade avancé du processus.

    Le taux élevé d’abstention lors des élections publiques traduit le désintérêt croissant d’une partie des citoyens à l’égard du fonctionnement de nos institutions. Le développement d’une démocratie participative peut contribuer à les impliquer de nouveau dans le débat démocratique. Ainsi, le renouveau de la démocratie participative a vocation à mieux s’articuler avec la démocratie représentative pour donner de la légitimité aux décisions prises.

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  • Semaine de solidarité : donnons de la voix pour la Russie !

    Depuis 2012 et le retour de Vladimir Poutine au pouvoir pour son troisième mandat présidentiel, le pays connaît une vague de répression des libertés et des droits sans précédent au cours des dernières années. Amnesty International se mobilise pour une semaine de solidarité avec la société civile russe

    Associations, manifestations, médias : s’exprimer librement  est devenu  un défi à haut risque en Russie. Pourtant des voix courageuses brisent le silence. Avec eux, donnons de la voix pour la Russie !

    UNE LISTE SANS FIN DE RÉPRESSIONS 

    Des lois répressives sont votées à la hâte par le parlement.

    Des manifestations pacifiques sont dispersées par une police qui fait souvent usage de la force. 

    Des manifestants sont arrêtés et soumis à des amendes. 

    Des ONG indépendantes sont contraintes d’adopter la qualification d’« agent de l'étranger », menacées de lourdes amendes et de fermeture si elles opposent une résistance.

    Les médias indépendants subissent des pressions, doivent revoir leur ligne éditoriale ou sont arbitrairement bloqués dans leur action

    Les homicides de défenseurs des droits humains et de journalistes ne font pas l'objet d'enquêtes diligentes.

    AUX CÔTÉS DES PERSONNES QUI DONNENT DE LA VOIX 

    Pourtant, malgré ces restrictions incessantes, nombreux sont ceux qui n'hésitent pas à donner de lalogo_semaine_russie.png voix. Nous sommes à leurs côtés. Faisons en sorte que les dirigeants russes sachent que le reste du monde n'est pas indifférent. Nous ne resterons pas silencieux, nous ferons entendre notre voix en soutien à la société civile russe.

    Participez à notre semaine d'action : lisez, débattez faites circuler l'information. Joignez-vous à nos actions de solidarité !

    Faites entendre votre voix pour la liberté et la Russie.

    La liberté de réunion est en danger en Russie. Des lois restrictives rendent difficile l'organisation d'actions et de manifestations publiques. Les actions non autorisées – et parfois même les actions autorisées d’ailleurs – sont souvent dispersées et les participants arrêtés, placés en détention et condamnés à des amendes. 

    Le journalisme est un métier à haut risque en Russie. Les commanditaires de l'assassinat d'Anna Politkovskaïa en 2006, une journaliste d'investigation, n'ont toujours pas été identifiés et plusieurs de ses confrères ont depuis été tués. L'autocensure enfle et la poignée de médias indépendants qui subsiste subit une pression grandissante.

    DE NOUVELLES LOIS RÉPRESSIVES EN RUSSIE

    De nouvelles lois sont venues renforcer la censure et la surveillance d'internet en Russie. Les sites russie.img_assist_custom-490x341.pngindépendants qui émettent des critiques à l'encontre du gouvernement peuvent désormais être bloqués du jour au lendemain, sans décision de justice préalable. Plusieurs médias en ligne indépendants, dont Grani.ru,  en ont fait l'expérience. 

    Une vague de répression s'abat sur les organisations indépendantes de la société civile russe. Depuis la loi de 2012 relative aux « agents de l'étranger », des centaines d'ONG du pays ont fait l’objet d'« inspections » inopinées de la part des autorités ; plusieurs ont été condamnées à de lourdes amendes pour avoir refusé la qualification d'« agent de l'étranger » et certaines ont été forcées à mettre la clé sous la porte.

    Parmi les premières victimes de ces législations, les organisations de défense des personnes lesbiennes, gays, bisesexuelles, transgenres et intersexuées (LGBTI). La loi de 2013 interdisant « la propagande en faveur des relations sexuelles non traditionnelles » n'a pas seulement restreint la liberté d'expression et de réunion des personnes et des organisations LGBTI, elle a également exacerbé l'homophobie et déclenché une vague de violences commises par des groupes d’autodéfense à travers le pays.

  • Enquête sur les besoins des associations argonnaises

    COMMUNIQUE DE PRESSE de l’Association Pays d’Argonne

     ENQUETE SUR LES BESOINS DES ASSOCIATIONS DU TERRITOIRE D’ARGONNE

     L’Association PAYS D’ARGONNE, Groupement Associatif Argonnais, créée en 2010 et composée d’une centaine de membres, invite les associations Argonnaises (Ardennes, Marne et Meuse) à répondre à une ENQUETE SUR LES BESOINS DES ASSOCIATIONS DU TERRITOIRE D’ARGONNE jusqu’au 30 septembre 2014.

     Cette enquête s’intéresse aux besoins en matériel mais aussi en aide attendue de la part des associations sur divers thèmes comme le Bénévolat, mais aussi sur les finances, la communication, le fonctionnement de leur association en recherchant, par la-même, des compétences au sein de chacune d’elle.

    L’association Pays d’Argonne, poursuit ainsi son chemin vers la mise en relation inter-associative, le développement de projets au service de la citoyenneté et de la démocratie locale et demeure toujours soucieuse de poursuivre son but, à savoir de connecter les territoires (Ardennes, Marne et Meuse) autour de projets ambitieux. Cela lui suppose d’avoir bien cerné les besoins à couvrir et la volonté partagée des associations à agir ensemble au sein d’un même et vaste  territoire.

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    Cette enquête des besoins a donc pour ambition d’aider l’association Pays d’Argonne à poser son cadre et ses champs d’interventions, à ce qui pourrait devenir la première pierre d’une grande «Maison des Associations d’Argonne ». A ce sujet, les administrateurs de l’association entameront,  dès la rentrée de septembre, un long travail sur le projet associatif dans le cadre du Dispositif Local d’Accompagnement (D.L.A) de la Marne pour commencer, puis avec les D.L.A. des Ardennes et la Meuse.

    Les résultats de cette enquête seront affichés à partir du 15 octobre 2013 sur le site internet : www.pays-dargonne.fr

    Pour obtenir le document sur l’Enquête des besoins, écrire à : pays.dargonne@orange.fr ou groupement.argonnais@gmail.com

  • La Cour des comptes confirme l’indépendance de Greenpeace

    L’audit de la Cour des comptes vient de paraître. Ceux qui pensaient que Greenpeace était financée par Monsanto, Total, Areva, voire la CIA vont être déçus !

     

    Notre indépendance est notre liberté. Nous refusons les subventions d’Etat et les contributions d’entreprises. Nous gardons ainsi une totale liberté de parole et d’action en tout lieu et en toute circonstance. Cette liberté, quasi unique dans le monde associatif, n’a pas de prix. Nous avons aujourd’hui plus de 150 000 adhérents en France et nous leur devons cette liberté. Cette situation nous rend plus forts, lorsque nous sommes dans des rapports de force nous nous sentons portés par tous nos adhérents. Cela nous donne à la fois un grand pouvoir et une grande responsabilité vis-à-vis de toutes ces personnes qui nous confient une mission : nous battre pour un avenir meilleur.

    Sans indépendance, nous n’aurions pas pu prouver le 5 décembre 2011 qu’il est possible d’entrer comme dans un moulin dans les centrales nucléaires en France… Sans indépendance, nous ne pourrions pas entraver Shell pour l’empêcher d’aller forer en Arctique

    Alors il n’est pas étonnant que cette indépendance qui nous permet d’être percutants et dérangeants soit aussi en permanence remise en question. Que les rumeurs les plus folles et les plus absurdes se propagent. Que le doute soit instillé. C’est donc avec sérénité que nous avons accueilli cet 6266567122_4c3abf68fe_n.jpgaudit. Et c’est tout naturellement avec vous que nous voulons en partager les résultats.

    La conclusion est simple et sans appel. Dixit la Cour des comptes : « Le mouvement Greenpeace revendique le fait d’être financé que par des personnes physiques et refuse toute subvention provenant de personnes publiques ou d’entreprises : la Cour a constaté, lors de son enquête, que cette règle de principe est respectée par Greenpeace France ».

    Les enjeux d’aujourd’hui nous imposent d’agir au niveau global. A ce propos, la Cour des comptes relève que Greenpeace France reverse environ 20% des ressources collectées en France à la structure de Greenpeace international. Cette part est en croissance chaque année et nous en sommes fiers. C’est à ce prix que Greenpeace peut se battre à la hauteur des enjeux environnementaux. Nous fonctionnons selon un principe de solidarité et un principe de réalité. Les bureaux nationaux qui ont le plus de ressources aident les bureaux les plus défavorisés partout dans le monde.

    Aujourd’hui se battre pour l’environnement signifie être présent dans les pays émergents comme l’Inde, le Brésil, la Chine, etc. C’est aussi ce qui nous différencie d’autres acteurs de l’environnement : nous avons la capacité de lutter efficacement contre des lobbys politiques internationaux et des multinationales.