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société - Page 199

  • 68e prix pédestre de Vouziers.

    Ce dimanche s'est déroulée la 68e édition du prix pédestre de Vouziers, lié à la fête communale. Après les épreuves réservées aux plus jeunes, la course des as s'est élancée à 15 h 30. Les conditions météo étaient correctes, avec cependant une température élevée.

    Avant le départ officiel, on a pu assister à un événement fort. L'épreuve de cette année était organisée au profit de l'association Huntington France. Romain Boutillot, qui a longtemps couru au sein du club Vouziers Oxygène, est atteint de cette maladie de Huntington. Il a perdu une grande partie de ses capacités motrices, et, malgré son courage, il ne peut plus participer à l'épreuve. C'est donc avec l'aide de nombreux amis et bénévoles qu'il a pu effectuer les boucles dans la ville, et sensibiliser le public à la cause de l'association dont Emmanuel Petit est le parrain.

    Quelques minutes après lui, les autres participants se sont élancés pour trois tours de circuit. Celui-ci est assez roulant, mais il emprunte une petite grimpette qui s'avère plutôt "casse-patte". Le vainqueur  boucle les 10 kilomètres en un peu plus de 30 minutes, mais beaucoup dépasseront 1 heure pour arriver au bout de l'épreuve.

    Voici le classement officiel

    Et voici quelques images de la course :

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  • Haute mer : le traité de la dernière chance

    C’est une opportunité historique qui se présente à nous : les négociations onusiennes sur le Traité mondial sur la haute mer vont enfin s’ouvrir. Greenpeace s’est battue pendant des années pour qu’un tel traité soit adopté. Les enjeux sont immenses. Les scientifiques parlent de “la dernière chance pour les océans”. Et c’est exactement de cela dont il s’agit.

    Pourquoi l’adoption de ce traité est-elle si importante ?

    C’est incroyable mais vrai : à l’heure actuelle, l’espace océanique se situant au-delà des frontières nationales (aussi appelé la haute mer) ne fait l’objet d’aucune protection. C’est le far west. Il existe différents textes et organisations portant sur la haute mer, mais ils régulent principalement son exploitation et n’ont pas pour objet de la protéger.

    Aujourd’hui, nous avons une chance de changer cela : un traité mondial pourrait rendre possible la création d’un vaste réseau d’aires marines protégées, couvrant au moins 30% des océans d’ici à 2030.

    Les océans sont un immense réservoir de nourriture pour les animaux marins et les êtres humains. Sans eux, nous ne pourrions pas survivre sur cette planète. Ce ne sont pas seulement d’immenses réserves d’eau salée. C’est tout un monde grouillant de vie qui s’étend à perte de vue, l’habitat d’une biodiversité exceptionnelle, dont des tortues, des baleines, des requins, des dauphins, et tellement plus. Au plus profond, sur le plancher océanique, des récifs coralliens et des jardins d’éponges foisonnent dans l’obscurité, offrant ainsi un refuge pour les poissons d’eaux profondes et de nombreuses autres créatures. Nous commençons à peine à explorer ce monde mystérieux, mais une chose est d’ores et déjà claire : si nous ne le protégeons pas dès maintenant, nous le perdrons avant même d’avoir vraiment fait sa connaissance

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  • Inquiétudes pour l'avenir d'AMI

    Le site de production d'AMI est entraîné dans la tourmente qui frappe le groupe Ateliers des Janves. Celui-ci se24.jpg retrouve en état de cessation de paiement auprès du tribunal de commerce de Paris depuis le 31 août. Des problèmes de trésorerie sont mis en avant pour justifier cette décision.

    Depuis 2007, AMI fait partie de ce groupe, dont l'unité principale située à Bogny sur Meuse emploie plus de 200 personnes. Sous le nom de SEMIAC, Valfond, Automotive Parts Manufacturing (APM) et maintenant Ardennes Machining Industries (AMI), le site du quartier du Blanc-Mont a toujours constitué le principal employeur industriel du Vouzinois. On note cependant une érosion constante des effectifs, qui se stabilisent actuellement autour d'une bonne centaine de postes.

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  • Combats intenses à Tripoli, en Libye : des milliers de personnes en danger immédiat

    Communiqué de Médecins Sans Frontières le 31.08.2018.

    Tripoli/Amsterdam – Depuis trois jours, la vie de Libyens ainsi que de réfugiés et migrants bloqués en Libye est mise en grave danger du fait de combats intenses dans Tripoli. Des migrants et réfugiés arbitrairement détenus dans les centres de détention dits officiels ont été pris au piège, abandonnés et enfermés pendant deux jours dans la zone des bombardements, et sans aucun accès à de la nourriture. D’autres ont été relâchés, n’ayant d’autre choix que de courir pour leur vie, espérant ne pas être pris dans les feux croisés et atteindre d’autres quartiers de Tripoli.

    MSF réitère que la Libye ne peut être considérée comme un pays sûr, et que les gouvernements européens doivent prendre leurs responsabilités, arrêter de soutenir le renvoi et maintien à tout prix des réfugiés et migrants en Libye et venir en aide aux personnes extrêmement vulnérables qui s’y trouvent actuellement coincées.

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  • La Confédération paysanne en action pour dénoncer l'accaparement du foncier


    29.08.2018 Deux cents paysan-ne-s de la Confédération paysanne ont occupé ce 29 août à Châtillon-sur-Logo_conf%C3%A9d%C3%A9ration_paysanne.jpgIndre une parcelle des 1700 hectares de terres accaparées par le groupe chinois Hongyang. En réalisant une action symbolique de déchaumage et de semis sur ces terres, la Confédération paysanne entend dénoncer cet accaparement du foncier qui met en danger l'installation de jeunes paysan-ne-s et participent à la mise en place de véritables fermes-usines, où la production d'une alimentation de qualité n'est pas la priorité.

    Cette action organisée aujourd'hui en région Centre-Val-de-Loire fait suite à celle déjà organisée en juin sur le vignoble de Vincent Bolloré pour dénoncer l'appétit féroce de ces investisseurs et financiers. A titre d'exemple, le groupe Hongyang a également investi cette année pour acquérir 900 hectares dans l'Allier.

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  • Communiqué de presse – Un très triste et violent anniversaire…

    Salah Hamouri est né d'une mère française, Denise Guidoux, originaire de Bourg-en-Bresse (Ain), professeur de français à Jérusalem, et d'un père palestinien, Hassan Hamouri, restaurateur à Jérusalem-Est. Il est français par sa mère ; son père est Palestinien de Jérusalem. Il cumule donc la nationalité française avec le statut de Palestinien de Jérusalem (il dispose d'une carte d'identité israélienne, et a le droit de vote aux élections locales).

    Ancien élève de l'école privée catholique De La Salle College, des frères des Écoles chrétiennes, à Jérusalem, il décide après son baccalauréat de faire des études de sociologie à l'université de Bethléem. Après sa sortie de prison, il suit des études de droit et devient avocat au barreau palestinien en août 2017.(Source Wikipedia)

    Communiqué de presse de l'Agence Média Palestine

    ll y a un an, le 23 août 2017, notre compatriote Salah Hamouri était arrêté en pleine nuit, chez lui à Jérusalem, par l’armée israélienne. Trois jours auparavant il avait prêté serment devant le barreau de Ramallah : il était devenu avocat et allait enfin pouvoir mettre son énergie à la défense des droits humains de ses compatriotes, de manière professionnelle et reconnue. Dans un premier temps, un tribunal décidait de le libérer sous conditions.

    Cette décision fut rapportée sur le champ du fait de la décision du ministre israélien de la Défense, l’ultra extrémiste Avigdor Lieberman, qui signait de sa main un ordre de mise en détention administrative de Salah Hamouri pour 6 mois renouvelables. Ceci sans inculpation, sans preuves d’une quelconque culpabilité, sans le moindre droit à la défense, sans le moindre procès. Rien de tout cela. Seulement une décision politique arbitraire. Au bout des 6 mois de détention arbitraire, un autre ordre fut donné : ce sera 4 mois de plus. Puis au bout de ces 4 mois : ce sera 3 mois de plus. Ainsi, depuis un an, notre compatriote est en prison. Pour rien. Du moins rien qui relève de la Justice et des droits humains. L’objectif de cette décision incroyable et effroyable est parfaitement clair.

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  • Un an après, toujours pas de justice pour les Rohingyas

    Publié le 24.08.2018 par Amnesty International.

    L’absence de réaction de la part des dirigeants du monde ont permis aux responsables du massacre des Rohingyas d’être toujours en liberté.

    Plus de 700 000 femmes, hommes et enfants rohingyas ont fui le nord de l’État d’Arakan pour gagner le Bangladesh, après que les forces de sécurité du Myanmar ont lancé une vaste attaque systématique contre des centaines de villages rohingyas le 25 août 2017.

    L’offensive a été lancée en réponse à une série d’attaques menées contre des postes de sécurité par l’Armée du salut des Rohingyas de l’Arakan (ARSA), un groupe armé rohingya.

    Tant que leurs tortionnaires des forces de sécurité du Myanmar resteront en liberté, il est absurde de penser que les réfugiés rohingyas pourraient rentrer chez eux de manière sûre, digne et volontaire.

    Cet anniversaire est un jalon honteux. L’absence persistante d’action de la communauté internationale pour amener les responsables de crimes contre l’humanité à rendre des comptes risque de laisser entendre non seulement que l’armée du Myanmar restera impunie mais qu'elle pourra également librement commettre de nouveau de telles atrocités.

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