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écologie - Page 201

  • Bourse aux plantes à Vouziers

    Samedi 22 novembre 2014 au parc Beluriez (face au FJEP)

    bourse_plantes.gifBOURSE AUX PLANTES de 10h à 13h.

    Echanges entre jardiniers amateurs
    de jeunes plants, graines, semences, plantes vivaces et autres...

    Pour tout public

    Org : FJEP/CS Romain Discrit 03 24 30 99 61

    bourse-aux-plantes-hiver-22-novembre-2014.jpg

  • Le nucléaire, ça eut payé ...

    Pour reprendre la formulation d'un sketch connu de Fernand Raynaud, le nucléaire, ça eut payé, mais ça ne paye plus !

    Areva, le fleuron français de l'industrie nucléaire, vient de rendre public un communiqué annonçant de mauvais résultats pour 2014 et 2015. Les comptes de l'entreprise sont plombés par les difficultés rencontrées sur le chantier de l'EPR finlandais. Les retards liés à des problèmes techniques s'accumulent, et des tensions fortes apparaissent entre le constructeur et les autorités finlandaises.

    Et c'est ce même type de centrale nucléaire que la France a choisi pour remplacer les réacteurs qui arrivent en fin de vie. Il y a de quoi être inquiet sur la pertinence de ce choix, qui met l'avenir énergétique national à la merci d'une technologie non maitrisée.

    "Le Monde" annonce ce jour un nouveau retard pour la mise en service de l'EPR de Flamaville :

    "Le chantier de ce qui devait être la vitrine commerciale de l'un des premiers EPR dans le monde a commencé en 2007. Prévu pour 2012, le démarrage du réacteur avait déjà été repoussé à 2016, accusant alors quatre ans de retard. Ces travaux étaient estimés au début de 2014 à 8,5 milliards d'euros, un montant presque trois fois supérieur à celui annoncé à son lancement.

    Un peu plus tôt, une autre source proche du dossier avait précisé que de nouveaux « surcoûts importants » étaient à prévoir, sans les chiffrer, mais EDF n'a pas confirmé."

    Voici ce que dit le quotidien spécialisé "Les Echos à propos de la situation financière d'Areva :

    La situation s’aggrave chez Areva. Le groupe nucléaire public a annoncé mardi soir dans un communiqué diffusé avant la clôture de la Bourse qu’il ne tiendrait pas son objectif d’un cash-flow opérationnel libre « proche de l’équilibre » en 2014 et qu’il suspendait l’ensemble des perspectives financières qu’il s’était fixées pour les deux années suivantes. La cotation du titre a été suspendue à la Bourse de Paris à 16H37 à la demande du groupe, a indiqué l’opérateur boursier Euronext  (...)

    Le magazine « Challenges » a indiqué ce matin que le groupe allait annoncer « au cours des prochains jours » un « important profit warning », avec une perte nette sur l’exercice 2014 à hauteur de 1 milliard d’euros. Au premier semestre, le groupe a déjà perdu 694 millions d’euros et a déjà révisé en baisse ses objectifs d’activité, d’excédent brut d’exploitation et de cash-flow libre. Selon « Challenges », deux mesures sont aussi à l’étude au sein du gouvernement : « l’Etat pourrait injecter 2 milliards d’euros dans Areva, grâce à des sommes provenant de la vente d’actifs dans d’autres sociétés de la filière nucléaire ». Par ailleurs, « la création d’une société de défaisance est envisagée, pour loger et externaliser les activités ultra-déficitaires en même temps qu’imprévisibles ».

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  • Nourrir les oiseaux en hiver ? Oui, mais …

    Communiqué du GORNA

    Créé en 1983, le Groupement Ornithologique du Refuge Nord Alsace est une association locale qui assure la gestion et la logistique du centre de sauvegarde de la faune sauvage.

     Est-il vraiment nécessaire de nourrir les oiseaux l’hiver ?

     Dans la nature, les animaux font partie d’un écosystème qui se doit d’avoir à lutter contre la rudesse de l’hiver. En modifiant ces cycles et cette lutte ancestrale, on provoque sans le savoir des grosbecmangeoire.jpgmodifications alimentaires, comportementales… qui, à long terme, peuvent porter préjudices à des espèces entières !
    Cependant, un petit coup de pouce de notre part peut être le bienvenu lors d’hivers particulièrement rigoureux : un bon nourrissage ne doit donc pas se substituer à la quête naturelle de nourriture mais simplement être un plus, « au cas où »…

     Les oiseaux qui ne migrent pas varient leur régime alimentaire en fonction des saisons. Ils ne vont donc pas mourir de faim si on ne les nourrit pas !! En cas de forte pénurie alimentaire, et sans véritable migration, il y des déplacements géographiques de populations d’oiseaux vers des régions plus clémentes.

     Enfin, il ne faut pas oublier que l’hiver est aussi une période très influente sur la sélection naturelle. Les lois de la nature semblent parfois cruelles mais sont très importantes pour le bon maintien de la qualité génétique des reproducteurs.

     Comment bien nourrir ?

    Cette question paraît simple mais il s’agit ici pour nous de pouvoir enfin gommer toutes les idées grande-af43c5e1fce092c3e856f414bf94560d4012bde3.jpgreçues. En effet, certains aliments sont DANGEREUX pour les oiseaux, voire TOXIQUES, alors qu’ils rentrent dans notre consommation quotidienne. N’oublions pas que les animaux n’ont pas le même régime alimentaire que nous et de ce fait, pas la même tolérance vis-à-vis de certaines catégories d’aliments.

    Une bonne alimentation est avant tout composée d’aliments naturels, que les oiseaux pourraient se procurer dans leur environnement en temps normal mais, qui, en raison de la période hivernale ou d’un mauvais temps persistant, se trouvent alors en quantité insuffisante pour pouvoir répondre à leurs besoins.

    a. Aliments à proscrire absolument :

     • du pain et des viennoiseries
    • tout aliment salé, les restes de table
    du lait
    du chocolat
    des produits déshydratés (pulpe de noix de coco sèche…)

    b. Aliments recommandés :

     • des graines : tournesols (choisissez les noires et non pas les noires et blanches destinées à l’alimentation humaine moins riches en matières grasses), millet, blé, maïs concassé (choisissez des graines de qualité, n’ayant pas subi de traitement aux pesticides)
    • Noisettes et noix concassés
    de la graisse comme le suif
    des insectes ou de la pâtée insectivore
    • des fruits (pommes, poires)
    • des coquilles d’œufs finement broyées
    de l’eau, à renouveler tout les jours

     Rien ne fournit plus facilement et plus efficacement de la nourriture que l’environnement naturel. Quand cela est possible, on peut :

     •Planter des arbustes à baies et des plantes vivaces qui fournissent de la nourriture
    •Laisser des tas de broussailles dans lesquels se cacheront des insectes, réserve bien appréciée par de nombreux animaux. Ils fournissent également un abri pour une grande diversité d’espèces.
    •Les arbres à feuilles caduques (chênes, ..) et les conifères donneront, eux aussi, de la nourriture et un abri.

      La mangeoire doit être située toujours à la même place pour que les oiseaux réduisent les dépenses énergétiques liées à la recherche de la pitance journalière.

    Quelles sont les précautions sanitaires ?

     Nettoyer et désinfecter (avec un peu de javel) la mangeoire au minimum une fois par semaine pour éviter tout risque de maladie transmissible par les fientes. De plus, ne pas donner en abondance car l’accumulation de nourriture entraine le développement de champignons et de moisissures.
    Eviter l’accumulation d’humidité au niveau de la mangeoire. L’humidité facilite le développement des moisissures et propage plus facilement les maladies.

     

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    Il convient de privilégier la qualité à la quantité !!!

     Cesser immédiatement tout nourrissage si des oiseaux malades sont observés, ainsi qu’une mortalité anormale. Dans ce cas, désinfecter les mangeoires et détruire les graines qu’elles contiennent.

     Attention : disposer de la nourriture au sol fragilise les oiseaux. En plus du risque de maladies (via l’urine des rongeurs attirés par les graines), ceci les expose à la prédation. Un chat ou un oiseau ornithophage aura plus de facilité pour les attaquer si les oiseaux sont au sol !

      Quand les nourrir ?

    Le nourrissage ne doit être qu’un coup de pouce. Il est donc important de ne nourrir que lorsque les conditions climatiques sont rudes et empêchent les animaux de pouvoir s’alimenter correctement. Où si le mauvais temps persiste pendant plusieurs jours. Une fois la distribution commencée, il est important de ne pas l’interrompre jusqu’à la fin de la période difficile.

     Afin de les aider à surmonter la rigueur des nuits froides, un nourrissage matinal est le bienvenu. Rien ne sert de remplir les mangeoires le soir, ce qui d’ailleurs fait geler les graines par grand froid. Dénaturées, elles sont alors moins riches et l’apport énergétique qu’elles devaient fournir aux oiseaux s’en retrouve très faible.

     La période préconisé est de la mi-novembre à la mi-février. Toutefois elle peut être prolongée en cas d’abondantes pluies ou des chutes brutales de température pendant plusieurs jours d’affilés.
    Supprimez progressivement ce ravitaillement à l’approche du printemps, ce qui coïncide avec le début de la saison de reproduction (d’avril à septembre). La nourriture que les parents trouvent eux-mêmes dans la nature est redevenue abondante et bien meilleure pour les oisillons.

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  • Inde : Dow Chemical grand absent de l'audience sur la catastrophe de Bhopal

    Communiqué d'Amnesty International le 13/11/2014

    Malgré la mobilisation d’Amnesty International et les 8 340 signatures collectées en France, La société Dow, géant américain de l'industrie chimique, s'est de nouveau dérobée à la justice en ne répondant pas à une convocation d'un tribunal indien le 12 novembre 2014.

     

    DOW CHEMICAL SE DÉFAUSSE

    Cette convocation s’inscrit dans le suivi des conséquences de la terrible fuite de gaz survenue en 1984 à Bhopal. Cette catastrophe a fait des milliers de morts et causé chez un très grand nombre de personnes des maladies chroniques et invalidantes. 
     
    "La société Dow Chemical fait un nouveau pied de nez aux dizaines de milliers de personnes atteintes par la pire catastrophe industrielle de l'histoire de l'Inde. Malheureusement, cette absence de sens des responsabilités n'a rien de surprenant, quand on a l'expérience de longues années de dénégations de la part de Dow.Les autorités de l'Inde et des États-Unis doivent déployer davantage d'efforts pour que Dow se conforme aux demandes des juridictions indiennes. »

    Shailesh Rai,
    Directeur des programmes pour Amnesty International Inde.

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    DÉNI DE RESPONSABILITÉ

    Depuis 13 ans, Dow rejette toute forme de responsabilité vis-à-vis des victimes et des rescapés de Bhopal. Dans un courrier envoyé à Amnesty International plus tôt dans l'année, un membre de la direction de Dow a affirmé que les tentatives d'impliquer directement cette société dans des poursuites judiciaires en Inde étaient « dénuées de fondement » et s'est efforcé de dissocier la société Dow de sa filiale Union Carbide Corporation (UCC), dont elle est propriétaire à part entière.
     
    En 2001, Dow a racheté UCC, une multinationale américaine propriétaire majoritaire de l'entreprise qui exploitait l'usine de Bhopal à l'époque de la fuite. UCC ne s'est pas non plus rendue à plusieurs convocations devant des juridictions indiennes pour répondre d'infractions qui lui sont imputées en rapport avec la catastrophe.
     
    La présente assignation - la troisième signifiée à Dow, le 4 août 2014 - indiquait sans ambiguïté qu'il revenait à Dow, propriétaire d'UCC à part entière, d'amener cette entreprise à répondre des faits qui lui sont reprochés. Le tribunal a décidé qu'une nouvelle assignation serait émise le 22 novembre, l'audience étant programmée au 14 mars 2015.

  • Nucléaire : les Commissions locales d’information réclament un plus grand périmètre de secours

    En cas d'accident nucléaire, la contamination est sensée se limiter à un périmètre de 10 km autour de l'installation.

    C'est cette distance qui est actuellement retenue par les plans locaux d'intervention, la distribution d'iode aux populations, les exercices préventifs et les dispositifs d'alerte sont limités à cette zone. Les accidents récents ont démontré qu'en réalité, la pollution radioactive touche une zone beaucoup plus importante. Et sans préparation spécifique, les dégâts potentiels risquent d'être beaucoup plus lourds, alors qu’ils sont en partie évitables. Les Commissions Locales d'Intervention (CLI) sont chargées de l’information auprès du public sur l’activité des centrales nucléaires, elles représentent la société civile face aux exploitants nucléaires et aux pouvoirs publics. 

    L'Association Nationale des CLI (ANCCLI) vient de réclamer l'extension des PPI (Plans Particuliers d'Intervention) 10 à 80 km autour des centrales. Voici ses arguments, cités par la Gazette des communes.

    « A la lumière de la catastrophe de Fukushima, qui a révélé des traces de contamination dans un rayon de 50 km autour de la centrale », l’Association Nationale des Comités et Commissions Locales d’Information (ANCCLI), pense «qu’il faudrait, en France, relever le périmètre des Plans Particuliers d’Intervention (PPI, plans de protection et de secours, ndlr) à 80km », selon un communiqué.

    « Tracer un cercle de 10 km de rayon autour d’une installation nucléaire ne répond pas à la réalité du terrain », le périmètre actuel est « inadapté », souligne-t-elle. Elle propose «d’avoir une réflexion à l’échelle du bassin de vie de la population autour de chaque installation nucléaire ».

    « On peut citer l’exemple de Gravelines, ville du Nord de 11.000 habitants. Le PPI autour de Gravelines concerne une population d’environ 65.000 personnes. Or, la centrale est située à 25 km à l’ouest de Dunkerque et à 25 km à l’est de Calais. De fait, ni la ville de Dunkerque ni celle de Calais n’entrent dans le PPI de Gravelines », explique l’ANCCLI.

    Selon elle, « dans un rayon de 30 km autour de Gravelines, la population est estimée à 451.000 personnes » et elle est estimée « à 2.490.000 personnes dans un rayon de 75 km ».

    L’ANCCLI déplore, par ailleurs, que les récents vols de drones signalés au-dessus ou aux abords de centrales nucléaires françaises depuis début octobre n’aient « donné lieu à aucune information officielle des services concernés de l’État et à aucune mesure politique de prévention ».

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  • Réduction du gaspillage alimentaire

    A l'occasion de la semaine européenne de réduction des déchets,  des actions se déroulent sur le territoire de la 2C2A.

    Voici un rappel des objectifs de ces journées de sensibilisation qui s'adressent à tous.

    L’objectif de la Semaine est de sensibiliser tout un chacun à la nécessité de réduire la quantité de déchets générée et donner des clés pour agir au quotidien aussi bien à la maison, au bureau ou à l’école, en faisant ses achats ou même en bricolant.

    Le concept de la Semaine est basé sur la prévention des déchets c'est-à-dire avant que ce dernier ne soit produit, car le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas !

    La prévention des déchets c’est donc agir pour ne pas produire les déchets en consommant mieux (consommation de produits peu emballés, écolabellisés), en produisant mieux (production de produits éco-conçus), en prolongeant la durée de vie des produits (réparation et don) et en jetant moins (compost par exemple) !

    La Semaine s'adresse aussi bien aux administrations et collectivités, aux associations, qu'aux scolaires et au grand public. Tout le monde peut agir !

    La Semaine Européenne de la Réduction des Déchets (SERD), inscrite dans le cadre de la campagne nationale sur la réduction des déchets, est un moment fort de mobilisation. Elle dépasse même nos frontières, la Semaine est également organisée en Europe où près de 12 000 actions ont été organisées dans plus de 23 pays.

    Voici une des actions locales :

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    Atelier gratuit accommoder ses restes avec la 2C2A et le FJEP-CS de Vouziers

     Découvrez et réalisez des recettes que vous pourrez reproduire à la maison !

     Samedi 22 novembre de 9h à 13h
     RDV au FJEP - Centre Social, 15 rue du Champ de Foire à Vouziers
    Inscription obligatoire auprès de la 2C2A : Justine Chardin - 03 24 30 55 71

  • 304 m de large, 12 m de haut et 2 km de long d’incompétences

    Le projet du barrage de Sivens, dans le Nord-Ouest du Tarn, fait polémique. Pourquoi ? Réponse du Collectif pour la sauvegarde de la zone humide du Testet, Nature Midi Pyrénées, France Nature Environnement Midi Pyrénées et France Nature Environnement.

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    Un projet qui détruit une zone salutaire

    Le projet de retenue d’eau de Sivens est situé sur la partie sauvage et préservée de la rivière Tescou. Le site, abritant 94 espèces protégées est en partie classé zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF). Le barrage devrait engloutir sous 1,5 millions de m3 d’eau 29 hectares de la forêt de Sivens, certifiée Espace Boisé Classé (EBC) et 18 hectares de prairies. La zone humide du Testet, elle, verrait 12,7 hectares de ses milieux noyés par le barrage.

    Or, les zones humides sont d’importants réservoirs de biodiversité comportant de nombreux avantages environnementaux. Elles contribuent au renouvellement des nappes phréatiques, stockent naturellement le carbone, filtrent les polluants, réduisent l’érosion, et protègent des crues comme des sécheresses en jouant le rôle d'éponge.

    Protéger les zones humides, c’est donc préserver les populations !

    Pourquoi détruire cette zone ?

    Ce barrage est destiné pour 70 % du volume d'eau stocké à l’irrigation des champs d’une trentaine d'agriculteurs en aval de la retenue (Tarn et Tarn-et-Garonne). La majorité d’entre eux cultivent du maïs, une plante tropicale fortement consommatrice d’eau, notamment en été. Le besoin des agriculteurs est donc certain puisque le maïs est inadapté au climat local. Mais pourquoi dévaster l’environnement pour les besoins de cultures inadaptées plutôt que d’adapter les cultures à leur environnement ?

    Les travaux ont commencé mais il n’est pas trop tard !

    Le défrichement de la zone, entamé le 1er septembre, a déjà fortement atteint le site. Cependant, il faut savoir la zone humide concernée est toujours fonctionnelle car elle est alimentée par une nappe de sous-écoulement, non endommagée par le chantier. Tant que le barrage n’est pas construit, la zone humide du Testet peut être restaurée grâce à cette nappe. Il faudra certes du temps pour qu'une forêt humide recolonise le milieu, mais avec quelques éventuelles opérations de génie écologique, les prairies humides et le ruisseau pourront rapidement reprendre leurs fonctionnalités.

     

    Nos reproches sur le fond

    Nos reproches sur la forme

    Une collaboration bien trop opaque