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L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 697

  • Traité budgétaire européen. Et les droits sociaux ? Et la démocratie ?

    Texte d’analyse de la LDH
    La présentation au Parlement français du « Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire » (TSCG), début octobre, inscrit au centre de l’actualité nationale les mécanismes de la construction européenne. Au-delà du débat somme toute conjoncturel, sur sa ratification, ce traité soulève de légitimes inquiétudes, que la Ligue des droits de l’Homme partage avec beaucoup de citoyens en Europe.


    Le texte en question est un traité international et non un traité européen. Son adoption ne requiert pas l’unanimité des Etats membres ; le soutien de douze pays suffira à sa mise en application. Ce système exclut toute garantie de contrôle du Parlement européen. Elaboré pour mettre en place des prêts européens à des pays n’ayant plus d’accès à un taux raisonnable au marché pour financer leurs déficits publics, le traité impose à ces pays des calendriers automatiques, contraignants et extrêmement rapides pour des retours aux équilibres macroéconomiques. Un simple retard de ces rythmes d’ajustement se traduit par des sanctions financières également automatiques et immédiates. Cette mécanique est tout entière construite autour d’une pseudo-rationalité économique, elle traduit un primat du libéralisme économique qui exige des gouvernements qu’ils portent atteinte aux droits sociaux, et ouvre la voie à de graves régressions démocratiques.

    reduire-deficit-public-prix-L-1.jpegC’est cette double régression des droits – sociaux et démocratiques – qui est à l’œuvre en Grèce, au Portugal et en Espagne. Elle se traduit partout par une explosion de pauvreté, un regain d’exclusion, des limitations portées à la délibération démocratique. Elle conduit de surcroît à une impasse économique, et accroît les risques de dérives politiques. Alors que les questions d’intérêt général au niveau européen sont souvent occultées ou instrumentalisées dans des luttes de pouvoir nationales, la crise économique et sociale peut alimenter des dérives antidémocratiques dans les opinions publiques. Nul n’imagine clairement le scénario d’un éclatement possible de la zone euro, ni l’ampleur de ses répercussions, probablement très négatives, y compris pour les pays les plus prospères de l’Union.

    Pour toutes ces raisons, la LDH s’inquiète de cette réponse structurelle aux déséquilibres économiques de la zone euro. De récentes décisions de financer au niveau européen des investissements à potentiel économique de croissance sont, de fait, bienvenues ; mais elles ne porteront leurs fruits qu’au fil des années, alors que l’angoisse sociale se développe dans le présent. Ce décalage dans le temps est très préoccupant et significatif, une fois de plus, d’une certaine conception qui fait du social un sous-produit de la politique économique.

    Le traité de Lisbonne affirmait pourtant avec justesse que « le projet européen vise au bien-être de nos sociétés [et] promeut la cohésion économique, sociale et territoriale, et la solidarité entre les Etats membres ». Cela est encore plus vrai dans la crise actuelle. La Ligue des droits de l’Homme souhaite que les politiques mises en place soient à la hauteur de cet objectif de cohésion et de solidarité et répondent directement, et dans l’urgence, aux situations sociales dramatiques que produit la crise. Au risque que l’avenir européen ne soit pas partagé par l’ensemble de ses résidents.

    Considérant que, dans le temps court qui est celui des marchés financiers, une politique économique automatique symbolisée par la « règle d’or » ne produit que crise et instabilité, elle affirme que c’est la démocratie qui donne de la stabilité et que la construction européenne n’a d’avenir que dans l’effectivité de l’accès aux droits fondamentaux, économiques, sociaux et démocratiques, dans la mise en œuvre de solidarité par-delà les frontières nationales.

    La Ligue des droits de l’Homme estime qu’il y a grand besoin de débats publics et entend y prendre part à partir de ses préoccupations : la défense des droits sociaux et démocratiques, la solidarité. Au-delà d’une approche exclusivement centrée sur l’acceptation ou le refus du TSCG, vision qui aurait le défaut majeur de mélanger des réponses politiques fort hétérogènes, elle travaillera à mettre en débat les conditions d’une construction européenne fondée sur le progrès social et sur l’égalité des droits civiques et sociaux, à l’opposé des politiques d’austérité et des accords de compétitivité, qui ont en général pour conséquence une concurrence destructrice de tous contre tous.

    Car pour avoir des chances de réussir, une politique de sortie de crise doit être comprise et soutenue par les citoyens, rendus capables de faire démocratiquement le bilan des efforts et de leur répartition dans le temps et entre les catégories sociales d’une part, des finalités et des résultats attendus d’autre part. C’est ainsi qu’elles et ils seront disponibles pour y contribuer, et non par la coercition d’une politique automatique obligatoire qui produit toujours plus de privilèges pour les plus riches et toujours moins de droits pour les autres. Un débat citoyen sur la crise de l’euro, celle de l’Europe et sur les moyens d’en sortir est donc éminemment nécessaire. La Ligue des droits de l’Homme entend y tenir toute sa place.

    Paris, le 24 septembre 2012.

  • Chômage, toujours et encore en hausse

    Les chiffres des demandeurs d'emploi continuent à monter, pour atteindre 3 millions pour la catégorie A.

    Le gouvernement semble toujours impuissant à contenir cette hausse. Il met en avant les mauvais choix de l'équipe précédente. Cet argument ne pourra être constamment ressorti, d'autant que l'on n'attend aucune amélioration avant fin 2013.

    Le ministre déclare :"Comme il était prévisible, le seuil des 3 millions de demandeurs d’emploi sansimages?q=tbn:ANd9GcQZ9TlHpKIWyNByeO_5o_cjg0JwBFk1GcTZQi3EKFaBxkVI_N8Q activité a été franchi fin août, en France métropolitaine. En hausse continue depuis début 2008, le chômage atteint aujourd’hui son niveau le plus élevé depuis 13 ans, avec une progression particulièrement forte depuis 16 mois. Ces trois millions de chômeurs traduisent l’échec des politiques économiques et sociales menées au cours de ces dernières années.

     

    Face à ce dur constat, le gouvernement est déterminé à mettre en oeuvre au plus vite les réformes prévues dans la feuille de route sociale, élaborée lors de la Grande conférence sociale de juillet."

    La Dares publie les chiffres nationaux :

    Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A s’établit à 3 011 000 en France métropolitaine fin août 2012. Ce nombre est en hausse par rapport à la fin juillet 2012 (+0,8 %, soit +23 900). Sur un an, il croît de 9,2 %.

    Au total, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégories A, B, C s’établit à
    4 494 600 en France métropolitaine fin août 2012 (4 776 800 en France y compris Dom). Ce nombre est en hausse de 0,9 % (+40 800) au mois d’août. Sur un an, il augmente de 8,4 %.

    Voici les chiffres publiés ce jour par la Dirrecte de Champagne-Ardenne :

    images?q=tbn:ANd9GcQVlT1BhkK3olnPMwpmvLDcEMfx5Ss9ebdpU4ZfB9AOkLxjhTESzQEn Champagne-Ardenne, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A augmente de 2,1 % par rapport à juillet 2012 ( + 19,6 % en un an).

    En Champagne-Ardenne, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A, B, C augmente de 0,8 % par rapport à juillet 2012 (+ 10,0 % en un an).

    Fin août 2012, dans le département des Ardennes, 15 383 personnes sont inscrites à Pôle emploi en catégorie A. Ce nombre augmente de 0,1 % par rapport à fin juillet 2012 ( + 10). Sur un an, il est en
    augmentation de 11,8 %.

    Le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A, B, C s'établit à 22 292 dans le département des Ardennes, fin août 2012. Ce nombre augmente de 0,7 % (+ 155). Sur un an, il augmente de 7,4 %.

  • Les protocoles d’évaluation des OGM sont à réformer d’urgence !

    Communiqué de la FNE

    L’étude conduite par l’équipe du professeur Gilles-Eric Séralini, à propos de la toxicité d’un OGM et révélée aujourd’hui, constitue une très sérieuse remise en cause de la fiabilité des protocoles d’évaluation mis en place par l’industrie agroalimentaire. FNE demande que les autorisations des OGM accordées à des fins alimentaires humaines (MON810 et Amflora) soient suspendues en attendant de plus amples analyses toxicologiques.


    Dans un article paru ce jour dans la très réputée revue scientifique Food and Chemical Toxicology, lesmais-ogm.jpg équipes de Gilles-Eric Séralini, Didier Hennequin et Manuela Malatesta apportent un nouveau regard sur la toxicité d'un OGM, le maïs NK603, et du Roundup.

    À partir d'une étude sur deux ans, au lieu des 90 jours habituels, ils décrivent l'apparition de pathologies lourdes (tumeurs, atteintes rénales sévères notamment). Ces essais étant obtenus avec le Roundup mais aussi avec l'OGM seul, les auteurs émettent des hypothèses très intéressantes quant au mode de survenue de ces pathologies.

    Ces informations sont suffisamment alarmantes pour que des mesures soient prises immédiatement au niveau national et international :

    - - poursuite de cette étude pour confirmer ou non les hypothèses émises sur les modes d'actions pathogènes observées ;

    - - mise en route d'expérimentations pour confirmer ces résultats et portant sur d'autres OGM, notamment le soja tolérant au Roundup, avec au moins 20 rats par groupe ;

    - - suspension immédiate des autorisation de culture du mais MON810 et de la pomme de terre Amflora ;

    - - étiquetage des produits issus d'animaux nourris aux OGM ;

    - - révision en profondeur des protocoles d'évaluation des OGM et des produits issus des nouvelles technologies de modification du vivant avec révision du Codex Alimentarius.

    FNE rappelle que les protocoles d'évaluation des OGM au niveau international ont été mis en place par l'industrie agroalimentaire pour son propre usage, que ce sont ces industries elles-mêmes qui font les études d'accréditation de leurs OGM et que cette situation est inacceptable. Il en résulte une expertise sanitaire et environnementale qui n'a rien à voir avec une pratique scientifique

  • La culture à Boult de bras

    A Boult aux Bois, on cultive de tout, c'est pratiquement dans les gènes, mais sans OGM, c'est culturellement incompatible.

    Ainsi ce dimanche chez Jacques Laloua on pouvait apprendre à faire de la confiture sans les mains et à récolter des légumes traditionnels sans pesticides.

    Dans le cadre du festival "sème la culture" les spectateurs ont eu droit à une présentation en trois temps.

    Et ce en plus des expositions, du marché bio et du repas collectif proposé aux visiteurs du village.

    Dans un premier temps, les élèves de l'école Taine de Vouziers ont présenté une pièce écrite par S. Machinet . Le thème est tiré de leur expérience de visite d'exploitations agricoles. Les petites scènes présentaient les animaux de la ferme avec un regard un peu particulier et plutôt humoristique. Ils se sont offert un beau succès auprès des spectateurs présents.

     

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    L'entracte, forcément culturel, permettait à J. Laloua de faire visiter son exploitation de maraîchage bio, qui fonctionne également en circuits courts (approvisionnement et livraisons des produits).

    Avec sa gouaille habituelle, il a su intéresser à cette journée les participants , que leur origine soit champêtre ou citadine.

     

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    Le troisième temps était réservé au spectacle "la tête en confiote". L'artiste a fait la démonstration qu'il était possible de confectionner de la confiture sans les mains. Puis elle s'est transformée en fildefériste pour démontrer qu'on pouvait marcher sur un cable sans tomber (ou presque).

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  • Faites du sport : revue de détail des clubs de Vouziers

    Tous les deux ans, la journée "Faites du sport" est l'occasion de saisir la richesse de l'offre sportive vouzinoise.

     Au gymnase "Syrienne" et aux alentours, les clubs sportifs peuvent se présenter et faire des démonstrations de leurs activités.

    C'est donc pour les Vouzinois récents ou plus anciens le moment de faire le choix de l'activité physique qui leur convient le mieux. Cette journée est organisée par l'Office Municipal des Sports, et c'est donc son président qui a accueilli le Maire et ses adjoints qui ont fait le tour des stands proposés.

    La météo, malgré quelques menaces nuageuses, s'est maintenue suffisamment pour permettre un bon déroulement de la journée. Les clubs peuvent espérer avoir fait de nouveaux contacts et ainsi augmenter leur effectif tant parmi les jeunes que les adultes.

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    Le tir à l'arc, activité récente à Vouziers

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    L'escrime en démonstration et en première approche pour les plus jeunes

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    Le Rugby, un sport au contact facile.

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    Le judo peut être débuté très jeune.

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    Pétanque ou lancement du poids, la légende ne le dit pas.

     

  • Vouziers : Portes ouvertes au FJEP ce jour

    La rentrée de septembre marque aussi la reprise des activités au FJEP de Vouziers.

     

    Cette après-midi, l'association ouvrait ses deux sites vouzinois pour faire découvrir ses locaux et les activités qui y sont présentées.

    Le local "jeunes" situé rue des Artisans dans la zone artisanale est presque terminé d'aménager. Cet ancien bâtiment commercial accueille une salle de répétition, une salle d'activité pour les jeunes et une salle pour l'aéromodélisme.

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    Une salle de répétition où les musiciens ne risquent pas de gêner les voisins.

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    Ce jour, la musique se jouait plutôt à l'extérieur.

    Dans le même temps, le local "historique" de la rue du Champ de foire accueillait les personnes qui voulaient découvrir les différentes activités proposées tout au long de l'année.

    Une des caractéristique du FJEP est d'être un Centre Social agréé par la CAF, mais les activités qui se déroulent dans ce cadre ne sont pas coupées du reste des sections traditionnelles. A l'inverse c'est le lien créé entre les personnes et la continuité de l'action qui rendent crédibles et efficaces les misions effectuées dans le champ social.

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    Le jardin, une activité qui porte ses fruits (et ses légumes)

    vouziers,fjep-cs,portes ouvertes

    Le Scrabble, ou les mots pour le dire et parfois le tirage pour le pire

    Cette journée c'est terminée par un petit mot de la présidente qui a remercié les bénévoles et les salariés qui ont fait vivre les locaux et qui a salué  les personnes qui ont fait le déplacement ainsi que les personnalités présentes. Parmi elles, le Maire de Vouziers qui a prononcé quelques mots pour souligner le rôle du FJEP dans son environnement.

    Un buffet préparé à l'interne par l'atelier cuisine a permis à chacun de déguster les mets proposés tout en échangeant des propos avec les membres de l'assistance.

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  • La banquise arctique disparaît

    Greenpeace qui mène une campagne pour sauver l'Artique commente les dernières évolutions connues.

    Il y a quelques jours, le NSIDC & la NASA délivraient des images impressionnantes de l’état actuel de la banquise arctique. À 4,1 millions de km2 la surface de la glace de mer n’avait jamais été aussi réduite… Mais le minimum de la banquise arctique n’était pas encore atteint : ce triste record battu, la banquise a continué de se rétracter, jusqu’à diminuer à une surface de 3.41 millions de km2 – soit une chute d’environ 45% depuis 1979 à la même période.

    La fonte de la banquise arctique est l’un des impacts les plus visibles des changements climatiques, avec des conséquences importantes non seulement pour les populations autochtones, la faune et la flore de cette région, mais également pour l’ensemble de la planète.

    La fonte des glaces durant l’été est un excellent indicateur du réchauffement climatique mais c’est aussi une véritable clé du phénomène.

    Le recul de la banquise ne peut plus être expliqué par la variabilité naturelle d’une année sur l’autre.
    Les modèles climatiques montrent plutôt que ce recul est lié au réchauffement climatique, particulièrement prononcé en Arctique. Les éléments de preuve attestant du réchauffement récent de l’Arctique comprennent: l’augmentation des températures enregistrées, la fonte des glaciers, des banquises et du permafrost, ainsi que l’augmentation du niveau des océans.

    GP0497A.jpgLes mesures précises, par satellites, de ces données ont débuté dans les années 1970 : ces données suggèrent que, durant cette période, la quantité de glace de mer dans l’Arctique a diminué d’environ 3% tous les dix ans, mais, de façon inquiétante, les scientifiques ont découvert que le taux de fonte a augmenté de manière significative ces dernières années.

    En moins d’une génération, nous avons changé l’apparence de la planète

    Et cette modification drastique de l’Arctique est exploitée par les compagnies pétrolières qui tentent désespérément de repousser des limites auparavant considérées comme infranchissables, trop risquées ou non rentables. Cette expansion effrénée touche désormais l’Arctique, où la fonte des glaces causée par les changements climatiques ouvre la voie à de vastes régions jusque-là préservées.

    D’après les estimations de l’agence américaine Minerals Management Service, les blocs de concession situés dans l’océan Arctique ou à proximité de l’Alaska ont une chance sur cinq d’être à l’origine d’une marée noire importante au cours de leur durée d’exploitation.

    Ainsi, plus le nombre de blocs exploités sera élevé, plus les risques de marée noire seront importants. Au cours des dernières années, les dangers liés aux icebergs ont augmenté car plusieurs grands glaciers du Groenland ont commencé à se désintégrer en raison des changements climatiques. Un immense bloc de glace, d’une superficie égale à quatre fois celle de Manhattan, s’est récemment détaché du glacier de Petermann. Il devrait dériver en direction du détroit de Nares, pour rejoindre ensuite la mer de Baffin et s’engouffrer dans le courant du Labrador. Il est probable que certains de ces icebergs soient trop gros pour être remorqués hors du passage des appareils de forage. En d’autres termes, les plateformes elles-mêmes devront être retirées à brève échéance.

    Mais les leçons ne semblent pas porter leurs fruits : si l’on part de l’hypothèse qu’un baril, après raffinage et combustion du pétrole, génère environ 300 kg de CO2, les réserves offshore extractibles de l’Arctique pourraient être à l’origine de l’émission de 27 milliards de tonnes de CO2 – un volume comparable à ce qu’émettent chaque année l’ensemble des pays de la planète.

    1,8 millions de personnes ont rejoint la campagne Save The Arctic – pour qu’enfin, cette zone exceptionnelle et précieuse devienne zone naturelle préservée. Il est temps de mettre fin à la course aux intérêts économiques et industriels en Arctique, car cette zone est cruciale pour l’ensemble des habitants de la planète !

    L’Arctique a besoin de nous. L’Arctique a besoin de vous.

    Je deviens défenseur de l'Artique