Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 329

  • Assemblée Générale du FJEPCS : Penser global, agir local.

    "Penser global, agir local ", cette formule employée par René DUBOS (agronome, biologiste et écologue, 1901-1982), lors du premier sommet sur l’environnement en 1972, semble résumer l’esprit du développement durable. Elle s'applique également à la philosophie et aux actions du FJEPCS La Passerelle, telles qu'elles ont été exposées lors de l'Assemblée Générale qui s'est tenue ce jeudi dans la salle des fêtes de Vouziers.
    Une centaine de personnes étaient présentes, et parmi elles nombre de responsables associatifs, de dirigeants d'administration et d'élus. Ils marquaient ainsi l'importance des partenariats noués avec l'association, et la place que celle-ci a prise dans la vie sociale du Vouzinois.
    Dans son rapport moral, la présidente Marie-Christine Géant a souligné la qualité de l'équipe de professionnels et de bénévoles qui porte les actions sous la conduite du directeur. C'est grâce à eux que des liens ont pu se nouer, des rencontre avoir lieu, et des actions se mettre en place.
    Parmi celles-ci, "A plus dans le bus" constitue le projet abouti le plus significatif et le plus représentatif. Ce bus se déplace sur le territoire de l'Argonne Ardennaise, à la rencontre des plus isolés. Autour du food-truck, des moments de convivialité se créent, des réseaux se constituent. Des partenaires ont rapidement rejoint cette initiative, la rendant encore plus pertinente et développant les possibilités. La qualité de cette animation a été validée par les soutiens financiers dont elle a bénéficié, et par l'écho qui en a été fait dans la presse locale régionale et nationale.

    Penser local, les responsables de l'association le font depuis des années, sans qu'une solution concrète soit apportée à l'étroitesse  et à l'inconfort du bâtiment historique de la rue du Champ de Foire. Des espoirs sont nés, toujours déçus jusqu'à ce jour. Des locaux loués en ville ont apporté un peu d'espace pour les activités, mais ils ne constituent que des  solutions de dépannage. Marie-Christine Géant a salué la récente prise de compétence de la gestion et de l'agrandissement des locaux du centre social par la Communauté de communes. Cette étape devrait déboucher rapidement sur la validation d'un projet architectural, et sur le début de travaux.

    Lire la suite

  • Tchernobyl : 33 ans de catastrophe

    4b8027ba0131a841efb44657523f0b4d.pngCommuniqué du réseau "Sortir du nucléaire" du 25 avril 2019

    Le 26 avril 1986, le réacteur n°4 de la centrale nucléaire de Tchernobyl explosait. 33 ans plus tard, les conséquences sanitaires et écologiques de la catastrophe continuent de se déployer. En France, alors que les choix récents en matière de politique énergétique promettent un accroissement des risques, des mobilisations auront lieu pour dénoncer le risque d’accident.

    Tchernobyl : la catastrophe est toujours en cours

    33 ans après l’accident, la catastrophe de Tchernobyl n’est pas finie : certaines substances radioactives resteront encore présentes dans les sols pendant plusieurs siècles. Plus de 3,5 millions de personnes - parmi lesquelles des enfants et des femmes enceintes – vivent dans des territoires contaminés et ingèrent quotidiennement des substances radioactives. Les conséquences sanitaires de cette faible exposition chronique sont lourdes et les effets délétères sur le génome humain ne se résorbent pas : ils augmentent, perdurant de génération en génération.

    Des données récemment collectées par l’association Enfants de Tchernobyl Belarus révèlent des taux anormalement élevés de malformations congénitales dans la population enfantine de la région de Minsk, capitale de la Biélorussie pourtant située à 475 km de Tchernobyl. Les malformations cardiaques y sont par exemple de 10 à 20 fois plus fréquentes que la normale et le nombre d’enfants rendus invalides par une maladie cardiaque a doublé entre 2014 et 2017. Lassées, les personnes habitant dans les zones contaminées baissent la garde sur les précautions concernant leur alimentation, ce qui fait les affaires des autorités, qui ne font pas le nécessaire pour gérer la crise et aider ses victimes sur le temps long. La faune et la flore sont également touchées : la radioactivité continue d’affecter les rongeurs, les oiseaux, les plantes ...

    Lire la suite

  • Les réserves marines, assurance santé des océans

    Communiqué de Greenpeace le 24 avril 2019

    Les exemples de réserves marines ci-dessous sont la preuve que mettre certaines parties des océans hors de portée des industriels peut vraiment faire la différence, lorsque les réserves marines respectent des conditions de conservation clairement définies.


    1 – La baie de Monterey, en Californie

    La baie de Monterey est la parfaite success story. Certaines espèces se sont trouvées au bord de l’extinction, à cause de pratiques de pêche et de chasse totalement irraisonnées. Pour parer à cela, la réserve marine de la baie de Monterey est créée en 1992. Les écosystèmes marins et la biodiversité parviennent à se rétablir à vitesse grand V. Aujourd’hui, des otaries, des pélicans majestueux, et d’adorables loutres de mer évoluent au milieu de forêts de kelp.

    La baie de Monterey est aussi un haut lieu de rencontres pour tous les amoureux des baleines qui souhaitent venir les observer. Toute l’année, les eaux de la baie sont chargées de nourriture et attirent les baleines, qu’il s’agisse de baleines à bosses ou de baleines bleues.

    2 – Monument marin national Papahānaumokuākea, à Hawaï

    Couvrant plus de 1,5 million de kilomètres carré, cette gigantesque réserve marine au milieu de l’océan Pacifique a été créée par le Président George W. Bush en 2006, et étendue en 2016 par son successeur, Barack Obama.

    A l’époque, il s’agissait de la plus grande réserve marine du monde. Elle abritait plus de 7000 espèces d’animaux marins, dont un quart est endémique et vit donc uniquement dans l’archipel hawaïen. Cette réserve marine est un refuge pour les tortues vertes, un havre de paix pour le canard le plus menacé du monde (le canard de Laysan), pour le phoque moine d’Hawaï, pour des millions d’oiseaux marins, pour des récifs coralliens…

    Dans cette réserve se situent également les lointaines îles Midway. L’archipel fait partie du refuge faunistique national de l’atoll Midway, qui permet entre autres à des milliers d’albatros de trouver un peu de repos.

    Lire la suite

  • La Hulotte : le numéro 108 est en préparation

    La Hulotte, c’est la revue qui vous raconte la vie des animaux sauvages, des arbres et des fleurs d’Europe.
    À la fois amusant et très rigoureusement documenté, le journal le plus lu dans les terriers émerveille aussi bien
    les enfants que leurs parents.

    Une véritable petite encyclopédie des bois et des champs, introuvable en kiosque ou en librairie.

    Le numéro 108 est en préparation, suivre ce lien pour s'abonner.


    Si vous ne connaissez pas la réponse aux 7 questions ci-dessous,
    c'est le moment de vous précipiter sur le n°108 de la Hulotte !
    1 • Une Coccinelle à sept points est capable de vivre 7 ans : vrai ou faux ?
    2 • A quoi servent les 7 points noirs de la Coccinelle ?
    3 • Combien a-t-on recensé de noms populaires différents pour la Coccinelle :
    Réponse A — 7
    Réponse B — 70
    Réponse C — 700
    4 • Des noms populaires ci-dessous, quel est celui qui n'a jamais été utilisé autrefois pour désigner la Coccinelle :
    — la Catherinette,
    — la Bête à Bon Dieu,
    — le Dort-midi,
    — la Marivole,
    — l'Horloge,
    — la Catrèle,
    — la Coccinelle,
    5 • Pourquoi la Coccinelle peut-elle se balader tranquillement en plein soleil en se moquant pas mal des prédateurs ?
    6 • A l'aide de quel produit maison les pucerons essaient-ils de repousser les coccinelles ?
    7 • Comment s'appelle le mystérieux sosie de la Coccinelle à sept points qui, après avoir forcé tous les barrages, s'installe au milieu du territoire interdit des fourmis pour y vivre et y pondre ses œufs ?

    Lire la suite

  • Le coût de la dette française diminue : est-ce vraiment une bonne nouvelle ?

    Extraits d'une tribune parue dans Politis 19 avril par Anouk Renaud

    Depuis 2011, le coût  de la dette française ne fait que diminuer. Cette réduction est le résultat de la baisse des taux d’intérêt auxquels emprunte la France. À l’heure actuelle, ces taux s’avèrent même négatifs pour certaines obligations de moins de 5 ans. Si bien qu’on estime que l’État français paie plus ou moins en moyenne 2% d’intérêts annuellement (1,7% en 2018) et que la tendance devrait continuer à la baisse, selon la Banque de France.

    (…)

    image_1-4bb5e.jpg?1555693003

     


     Le problème de l’endettement public ne se limite pas au coût financier de la dette

    Apprécier le caractère problématique ou non d’une dette à l’aune uniquement de son coût amène à confisquer et dépolitiser le débat autour de l’endettement public. Circonscrite à des enjeux techniques et financiers, on nous fait croire (et on le croit nous-mêmes) qu’il faut être expert•e ou économiste pour comprendre quelque chose à la dette et donc émettre un avis dessus. Or, les enjeux techniques et financiers sont précisément des enjeux politiques, sur lesquels nous avons toutes et tous voix au chapitre. De plus, cantonner le débat à la sphère technique, à la question du coût ou de la soutenabilité de la dette, c’est-à-dire de savoir si la dette française est payable, empêche d’interroger sa légitimité, c’est-à-dire de savoir si elle doit être vraiment payée. Les interrogations, telles que « pourquoi l’État s’est endetté ? Quelles ont été les conditions et modalités d’emprunts ? Qui détient la dette ? » ces questions restent que trop peu souvent posées sur les plateaux télévisés et dans les colonnes des journaux, évinçant avec elles, celle des responsabilités.

    Et cela sans compter que les coûts d’une dette ne se limitent déjà pas à son seul coût financier. Ne serait-ce qu’à considérer le coût écologique colossal généré par ces politiques d’endettement (cf. point 7°). Des coûts cachés et des questions qu’un audit citoyen pourrait mettre en lumière pour tenter d’y trouver des réponses.

    Lire la suite

  • Vent de Bure : Cap sur Nancy les 1er et 2 juin !

    Nous, collectif d’associations, de comités de soutien lorrains et d’habitant-es résistant depuis près de 25 ans contre la méga-poubelle nucléaire de Bure, appelons à converger massivement à Nancy, samedi 1er et dimanche 2 juin, toutes celles et ceux qui partout en France et au-delà se sentent touché-e-s et concerné-e-s par la lutte de Bure, toutes celles et ceux qui s’interrogent, veulent comprendre ce qui s’y trame !

    Bure, c’est un petit bout de Meuse pour l’un des plus gros projet industriel européen : enfouir 85000 m3 des pires déchets radioactifs dans 300 kms de galeries, à 500 m sous terre. 130 ans de chantier, garanti sans risque pour 100 000 ans ! Derrière ces chiffres abstraits, des risques réels : explosions, incendies, contaminations, rejets massifs. Depuis 25 ans, pour faire accepter ce projet, État et nucléocrates cherchent à l’imposer en faisant de la population locale leur cobaye et en faisant taire les élu-es à coup de corruption légale d’un milliards d’euros.

    Depuis l’été 2017, la carotte s’est transformée en bâton avec une vague de répression et de criminalisation inédite dans l’histoire récente des territoires en lutte – 60 procès, 28 interdictions de territoires, plusieurs peines de prison ferme, des dizaines de mois de sursis, et une instruction pour « association de malfaiteurs » qui empêche 9 personne de se voir. Coûte que coûte, le trou de Cigéo doit se creuser, quitte à y enfouir quelques opposants avec les déchets nucléaires.

    Lire la suite

  • 4 Saisons Vouzinoises de printemps

    45911_108312372559541_4854752_n.jpg?_nc_cat=109&_nc_ht=scontent-cdt1-1.xx&oh=1f8724ab7a78583c01df9b0fe2211760&oe=5D32DC65Voici venu le temps... des 4 Saisons Vouzinoises de printemps.
    Rémi et Philippe sont honorés de vous convier au Clos de Gobu à Falaise pour une visite d'exploitation et le partage de leur savoir-faire...
    Les adhérents de l'association "Richesses d'Ardennes" et quelques autres producteurs et artisans vous accueilleront aussi devant leurs étals pour ce même partage des savoir-faire!
    A bientôt sous le soleil de Falaise!!!

     

    Pour la troisième fois le Clos de Gobu ouvrira ses portes pour vous faire découvrir son savoir faire.
    Nous vous ferons visiter les plantations et vous expliquerons le travail qui s'y rapporte, vous pourrez également voir une étape de la production du pétillant de groseille.

    Cette date sera également celle de la première commercialisation de notre pétillant de groseille en Magnum.
    En quantité réduite et dégorgé à la demande nous vous invitons à le réserver d'avance (contact au 06 45 77 75 43 / 07 50 07 42 67).

    Comme lors des éditions précédentes cette journée sera accompagnée d’animations:

    -Le printemps des 4 saisons Vouzinoises organisé par Les Richesses d'Ardennes, un marché de producteurs et artisans locaux.

    -Une animation musicale avec Monsieur D dans le cadre du Festival "Les Bars-Bars".

    -Au centre du village, la traditionnelle brocante organisée par les Falairats d'Argonne (contact au 03 24 30 24 13)

    Lire la suite