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L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 268

  • Le directeur de Human Rights Watch pour Israël et la Palestine expulsé

    Publié le 12.11.2019 par Amnesty International.

    L’expulsion d’Omar Shakir, directeur de Human Rights Watch, a été confirmée par la Cour suprême israélienne. Une décision révélatrice de la politique hostile aux droits humains menée par Israël.

    Le 5 novembre 2019 la Cour suprême israélienne a confirmé l'expulsion d'Omar Shakir, directeur de Human Rights pour Israël et la Palestine. Il s’agit d’une nouvelle illustration du rôle important joué par cette institution dans la politique hostile aux droits humains du pays. Avec cette décision, la Cour fait clairement savoir que quiconque ose dénoncer les violations des droits humains commises par les autorités israéliennes est considéré comme un ennemi de l'État.

    Les défenseurs des droits humains jouent un rôle essentiel en révélant les actes répréhensibles du gouvernement et en favorisant le débat public. L'arrêt du 5 novembre 2019 est une décision lâche qui confirme la volonté répressive d'Israël de réduire à tout prix au silence les organisations de défense des droits humains.

    Une organisation de défense des droits humains qui appelle au boycott ou réclame simplement que les entreprises respectent le droit international ne fait qu'utiliser des formes d'expression pacifiques, qui devraient être protégées par les tribunaux.

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  • La cérémonie du 11 novembre à Vouziers

    La loi du 28 février 2012 indique que "Le 11 novembre, jour anniversaire de l'armistice de 1918 et de commémoration annuelle de la victoire et de la Paix, il est rendu hommage à tous les morts pour la France."

    Ce ne sont donc plus uniquement les Morts pour la France de la Grande Guerre de 1914-1918 qui sont honorés ce jour, mais victimes d'autres conflits, y compris les plus récents.

    Les Vouzinois ont à nouveau répondu présent lors de la cérémonie qui s'est déroulée place Carnot ce jour. Elle succédait aux différents hommages rendus dans la matinée à Blaise, Condé, Chestres et Terron.

    Comme habituellement des délégations étrangères étaient présentes, en particulier de la République tchèque et de la République slovaque. Ces deux pays ont succédé à la Tchécoslovaquie, dont les volontaires ont combattu en 1918 à Chestres, Vandy et Terron.

    C'est Jean-Pierre Daumont qui a lu le message de l'UNC des Ardennes, en voici la conclusion :P1470198.JPG

    "Les anciens combattants aiment leur patrie, mais le patriotisme s'accompagne du rapprochement des autres pays, avec ses anciens ennemis dans un désir de construire une paix durable. Leur patriotisme se traduit par un humanisme généreux qui conserve un caractère national.

    Vive la Paix.

    Vive la France"

    Le message officiel de Geneviève Darrieussecq, secrétaire d’État auprès de la ministre des Armées, a été lu par Cyrille Lefeuvre, le nouveau Sous-préfet de Vouziers. En voici un extrait :

    "C’était il y a un siècle.

    Un an après la fin des combats de la Grande Guerre, le 11 novembre 1919 fut le premier de la paix retrouvée.

    Désormais, le silence domine là où l’orage d’acier a tonné avec fureur. Il règne sur d’innombrables champs de batailles qui ont charrié un si long cortège de morts, de mutilés, de blessés et de traumatisés.

    Les traités sont signés, l’allégresse de la Victoire s’est déployée dans une ampleur incomparable le 14 juillet 1919P1470213.JPG, l’état de siège vient d’être levé, la vie sociale et politique reprend ses droits, la démobilisation poursuit sa lente progression. Les Poilus retrouvent leur foyer, leur famille et leur commune. Ils découvrent une vie bouleversée, une France transformée par une épreuve de quatre années et par de profondes séquelles. Partout, le pays est traversé par la sourde évidence que rien ne sera plus jamais comme avant, que le retour à l’avant-guerre est impossible."

    Le Sous-préfet a procédé à l'appel aux Morts en opération extérieure lors de l'année 2019.

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  • L’ancien président Lula vient d’être libéré

    Extraits de l'article de  Guy Pichard, Rachel Knaebel

    C'était la fin de l’après-midi au Brésil quand Lula, l’ancien président brésilien, a été libéré de prison ce 8 novembre à Curitiba (en photo ci-dessus avec, à droite, sa nouvelle compagne, la sociologue Rosângela da Silva). Il était incarcéré depuis avril 2018, suite à une condamnation à 12 ans de prison pour des accusations de corruption largement contestées. Sa condamnation avait été prononcée sur la base de preuves relativement fragiles. Le juge, Sergio Moro, qui a condamné Lula, l’empêchant de se présenter à l’élection présidentielle qui a suivi, est devenu quelques mois plus tard le ministre de la Justice de Jair Bolsonaro, le président d’extrême droite élu.

    (...)

    Incarcéré, Lula n’avait pas pu concourir aux élections présidentielles d’octobre alors qu’il était largement favori dans les sondages. C’est finalement le candidat d’extrême droite Jair Bolsonaro qui a été élu président. Bolsonaro a ensuite nommé comme ministre de la Justice le juge Sergio Moro, celui-là même chargé de l’enquête impliquant Lula. En juin, le site d’informations The Intercept Brasil a révélé des conversations du juge Moro sur Telegram qui étayent largement l’hypothèse d’une manipulation politico-judiciaire pour exclure l’ancien président de gauche de la scène politique.

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  • Paris la blanche

    Lidia Leber Terki met beaucoup d'elle-même dans ce premier long-métrage qui nous fait traverser la Méditerranée, comme tous ces immigrés qui passent d'Algérie en France. Le film relate le voyage de Rekia qui quitte sa Kabylie pour tenter de retrouver son mari. Celui-ci est parti depuis de très longues années en France pour travailler dans le bâtiment. Mais depuis sa retraite, il ne donne plus de nouvelles. Et Rekia veut le revoir pour le convaincre de revenir au pays.

    La réalisatrice explique dans "Allocine" son parcours personnel qui résonne avec celui de ces migrants de générations successives. "Je venais de perdre mon père et, même si ces pages ne racontaient pas son histoire, cela m'a renvoyée à ses origines, et donc aux miennes. Algérien, né en Kabylie, sous la colonisation, mon père a épousé ma mère française à la fin des années 50. Elle a vécu en Algérie durant dix ans par amour. Je suis née là-bas. Nous sommes venus en France quand j'avais trois ans. Je suis sûrement le parfait produit de ce qu'on appelle une intégration réussie, celle de mon père, jusqu’à en oublier mes propres origines. Ma grand-mère kabyle, que j’ai peu connue, se prénommait Rekia, et c’est terrible, car je l’ai appris très récemment ; alors j’ai donné son prénom au personnage principal du film."

     

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    Lidia Leber Terki ajoute a propos de son film :  "L’amour est assez rare dans les films qui traitent de l’immigration algérienne en France. Quand j’ai lu ces pages, cela a été évident pour moi qu’il fallait que je développe et m’approprie cette histoire. On ne parlait pas encore autant des Syriens. Les arrivées en Italie commençaient à peine. Je me suis dit : "C’est la même histoire qui se répète". J'ai toujours voulu faire un film qui englobe toutes les immigrations."

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  • Tribune de Michel Tubiana « Dénoncer l’islamophobie ne suffit pas »

    Publiée sur Mediapart.

    Si la LDH a décidé de participer à la manifestation du 10 novembre 2019 contre l’islamophobie, elle n’a pas signé le texte d’appel à la manifestation et a rédigé son propre appel[1]. Et il semble bien qu’elle ne soit pas la seule à avoir des réserves, non sur le principe même de l’expression d’une solidarité avec les musulmans de France, mais sur la réponse à apporter au déferlement de haine ou, et c’est peut-être pire, au déni qui les atteint. Je n’évoque pas ici celles et ceux qui se réfugient derrière l’emploi du mot « islamophobie ». Avec sa polysémie et ses ambiguïtés, le mot est passé dans le langage courant comme l’intitulé d’une manifestation de racisme dont, le plus souvent, refuser de l’employer revient à nier ce dernier. Je ne m’attarderai pas non plus sur les accusations de « communautarisme ». Accuse-t-on le CRIF de « communautarisme » lorsqu’il appelle, à juste titre, à des manifestations contre l’antisémitisme en y mêlant un soutien bêlant et déplacé à la politique des autorités israéliennes ? Et quant à dénoncer un quelconque consentement au « communautarisme », celui-ci désignant des droits qui dépendraient de l’appartenance ou de la non appartenance à une communauté, cela relève de la même logique et de la même instrumentalisation que l’affabulation du « grand remplacement » . La laïcité des institutions, et non de la société, nous garantit contre ce type de dévoiement.

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  • Le Parc national des forêts : un nouveau venu dans un paysage sinistré

    Extraits de l'article de Reporterre du 7 novembre 2019 / Marie Astier

    Événement rare : un onzième parc national est créé jeudi 7 novembre, afin de protéger les forêts de Champagne et Bourgogne. Mais pour donner des moyens au nouveau venu, on en prend aux parcs déjà existants, alertent les syndicats et présidents de parcs nationaux.

    (...) C’est le 11e parc national, le premier créé en plaine et dédié aux forêts de feuillus, celui situé le plus au nord en France et le plus proche de Paris. Ce jeudi 7 novembre est publié le décret de création du Parc national des forêts de Champagne et Bourgogne, qui protège désormais une partie du plateau de Langres, entre la Haute-Marne et la Côte d’Or.

    (...) Il promet le retour des très vieux arbres : « Un chêne peut vivre jusqu’à 700 ans mais aujourd’hui on ne les laisse aller que jusqu’à 250 ans au plus... » Le parc souhaite également travailler avec les « acteurs » du territoire et notamment préserver les emplois liés à l’exploitation de la forêt. « On va même en créer de nouveaux », espère M. Parmentier.

    « Créer un nouveau parc est ambitieux, ce n’est pas simple et c’est toujours positif, se réjouit Laurent Grandsimon, porte-parole de la Conférence des présidents de parcs nationaux et président du Parc national des Pyrénées. Toutes les études montrent que la biodiversité est en meilleure santé dans les aires protégées. Mais il y a un problème de moyens... », tempère-t-il. « On donne ordre aux directeurs des parcs actuels de baisser leurs effectifs pour créer ceux du onzième parc. C’est le seul point d’amertume. »

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  • Conseil municipal du 12/11/2019

    Le conseil municipal de Vouziers se réunira le mardi 12 novembre 2019, à 19 h, grande salle de l'hôtel de ville.

    Ordre du jour : 

    Informations

    Adoption du procès-verbal du conseil du 23 septembre 2019

    Affaires communication

    1       Création de tarif pour le livre du Centenaire de la 1ère guerre mondiale – cérémonie du 3 novembre 2018

    Urbanisme – Marchés Publics

    2       Débat sur les orientations du Projet d’Aménagement et de Développement Durables du PLUi (le débat doit avoir lieu avant février 2020).

    3       Acquisition par la ville de Vouziers des parcelles AH n° 717, AH n° 720 et AH n° 721

    4       Echange parcellaire Terron/Aisne

    5       Demande de protection des autels en bois de l’église de Blaise

    Affaires générales

    6     Adhésion à la SPL Xdemat

    7     Ouvertures dominicales

    8     Maisons fleuries

    9     Validation convention circuit des Ardennes

    10   Transfert  à la Communauté de Communes de l’Argonne Ardennaise par ses membres de la compétence facultative – création, entretien et exploitation d’infrastructures de charges nécessaires à l’usage des véhicules électriques ou hybrides rechargeables

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