Dessin de Chapatte pour le NZZ am Sonntag (Suisse)
humour - Page 31
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Virage écolo en Chine
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La pénurie des emplois aidés
Dessin de Lacombe pour Sine Mensuel
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Réchauffement climatique, version courte
Dessin de Juin pour Charlie-hebdo
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Simplification
Dessin de Lasserpe pour Sine Mensuel
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De l’eau à Calais !
Soulagement à Calais, la situation des 750 réfugiés connaît une issue heureuse puisqu’une solution a enfin été trouvée : l’installation de cinq robinets. Ajoutons à cela une dizaine de latrines puisqu’il est possible de faire sa toilette avec l’eau des cabinets.
Rappelons que jusqu’à la mi-août, il était encore interdit de donner de l’eau aux réfugiés, le progrès est donc notable. Et pourtant, malgré cela, tous ces gens ne rêvent que d’une chose : gagner l’Angleterre ! Mais il leur faut quoi pour rêver de la France ? Qu’on leur fourgue des écrans plasma ?
L’installation de ces robinets est le résultat d’une longue bataille judiciaire entre les associations et l’État, jusqu’au Conseil d’État qui a confirmé l’ordonnance du tribunal administratif de Lille…
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Ordonnances « travail » : une réduction des droits aux couleurs du mépris social
Communiqué LDH
Les premières observations du texte de cent soixante pages des cinq ordonnances révèlent sa conformité avec les dispositions du projet de loi d’habilitation. La Ligue des droits de l’Homme (LDH) observe que la logique des dispositions prévues qui vont être appliquées dès le 1er janvier 2018 est de fragiliser fortement les droits de l’Homme dans l’emploi et le travail.
Sur le « dialogue social » : dans le prolongement de lois précédentes, l’accord d’entreprise va permettre de légitimer et de sécuriser les décisions unilatérales de l’employeur et, dans les entreprises « inorganisées », le-la chef-fe d’entreprise pourra « négocier » en contournant les syndicats ;
Sur le « droit au juge » : la capacité juridique de contestation par les organisations syndicales d’un accord d’entreprise pour des raisons de légalité (délais, charge de la preuve, pouvoirs du juge) est fortement réduite ;
Sur le « droit à l’emploi » : face à un licenciement sans « cause réelle et sérieuse », la capacité juridique du-de la salarié-e à contester est, elle aussi, réduite (motivation dans la lettre de licenciement, délais de saisine et pouvoirs du-de la juge) ;
Sur le droit à la réparation intégrale des préjudices : la réparation est fortement réduite pour les salarié-e-s en cas de licenciement injustifié, et le-la juge devrait appliquer un barème obligatoire de réparation forfaitaire, assurant ainsi à l’employeur-euse une situation sécurisée ;
Sur les « licenciements économiques » : les droits des salarié-e-s, confronté-e-s aux décisions des multinationales sont réduits par des mesures destinées à faciliter les licenciements pour motif économique ;
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Questionnement protocolaire
Dessin de Juin pour Charlie-Hebdo