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écologie - Page 74

  • SOS Stocamine – Héritage empoisonné !

    Article publié le 16.08 sur le site de Bure 

    Stocamine, c’est :

    - 42 000 tonnes de déchets ultimes contenant de l’arsenic, du cyanure, des pesticides et probablement des déchets radioactifs.
    - une réelle menace pour la nappe phréatique qui alimente des millions de personnes en Alsace, en Allemagne et en Suisse. Les études montrent qu’elle sera gravement polluée d’ici 70 à 300 ans.
    - un passage en force de la ministre de l’écologie pour sceller la mine plutôt que d’extraire les déchets afin de les traiter en surface ! La plupart des élu.e.s alsacien.ne.s étant opposé.e.s à l’enfouissement définitif.
    - une urgence de se mobiliser car tout est en place pour le bétonnage en septembre !

    Pour ça, RDV aux rayonnantes à Bure lundi 23 août à 10h pour en savoir plus ! 

    Dans le sud de l’Alsace, à Wittelsheim près de Mulhouse, 44000 tonnes de déchets toxiques ont été enfouis à la fin des années 90 dans le site Stocamine. Les industriels ont creusé de nouvelles galeries sous les cavités des anciennes mines de potasse d’Alsace afin de se débarrasser de déchets ultimes contenant de l’arsenic, du cyanure, du mercure, des pesticides… Certains contiendraient même probablement des déchets radioactifs d’après Cécile Germain-Ecuer, élue à la Région Grand Est. Cet enfouissement était censé être provisoire. En effet, le préfet du Haut-Rhin, en 1997, avait signé un arrêté stipulant que « l’autorisation est accordée pour une durée maximale de 30 ans et qu’à l’expiration de cette durée, les déchets doivent être retirés ».

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  • Mais c'était cui celui-là ?

    Voici les réponses à notre série de clichés à identifier. Certains oiseaux étaient faciles à reconnaître, d'autres plus ardus à nommer. Sauf mention complémentaire, tous ces photos ont été prises dans le même jardin à Vouziers. Bravo à Karine qui a validé 4 bonnes réponses sur 4.

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    Choucas des tours 

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    Étourneau sansonnet

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    Pic épeiche

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    Rougequeue noir

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    Héron cendré, près du Chesne.

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    Gobemouche gris

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    Chardonneret élégant

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    Linotte mélodieuse

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    Fauvette à tête noire (femelle)

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    Mésange bleue

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    Corbeau freux

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    Mésange charbonnière

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    Pinson des arbres

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    Pic vert

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    Cigogne blanche ( au-dessus du canal, entre Terron et Voncq)

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    Geai des chênes

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    Grues cendrées ( près de la gare de Voncq)

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    Troglodyte mignon

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    Grande aigrette ( Marais de Germont)

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    Accenteur mouchet

     

  • Amazonie : nouveaux chiffres alarmants de la déforestation

    Publié le 6 août 2021 par Greenpeace

    L’Institut brésilien de recherche spatiale (INPE) vient de publier les résultats de son système de calcul DETER. Il a enregistré en Amazonie brésilienne le deuxième plus haut taux de déforestation annuelle depuis 2015. Sur l’année qui vient de s’écouler du 1er août 2020 au 31 juillet 2021, ce sont 8 712 km² de forêts qui ont été détruits. 

    Le gouvernement brésilien, loin de participer à l’enrayement de la déforestation, manœuvre pour encourager l’expansion d’exploitations agricoles illégales en Amazonie. Mardi dernier, le 3 août 2021, la Chambre des députés brésilienne a voté une loi qui, si elle était adoptée dans les mêmes termes au Sénat, faciliterait la régularisation de l‘exploitation de terres publiques occupées illégalement. Or au Brésil, un tiers de la déforestation de l’Amazonie est lié à des accaparements de terres publiques. 

    Malgré ses récentes promesses de s’attaquer à la déforestation illégale, et alors qu’il négocie des accords commerciaux avec l’Union européenne, Jair Bolsonaro avance avec ses alliés une série de projets de loi qui permettraient d’accélérer la déforestation et de porter atteinte aux droits fonciers des peuples autochtones. Si ces lois étaient adoptées, elles pousseraient encore un peu plus l’Amazonie vers ce point de non-retour menant à la destruction irréversible de cet écosystème.

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  • Rapport du GIEC : l'état d'urgence climatique

    Communiqué de FNE le lundi 09 août 2021

    Qu’apprend-on de nouveau du dernier rapport du GIEC sur le climat ? Pas grand-chose. Le dérèglement climatique continue. Les effets dévastateurs se font ressentir. L’avenir s’assombrit. Autant d’éléments qui sont connus depuis longtemps, tout comme les causes de ce dérèglement.

    C’est sur la compréhension de l’être humain que ce rapport interroge le plus : alors que les mécanismes du réchauffement climatique anthropique sont compris depuis plus d’un demi-siècle, alors que l’on sait ce qui doit être fait pour l’arrêter, les émissions de gaz à effet de serre continuent de croître, amplifiant la catastrophe à venir. L’état d’urgence climatique est là. Il est vital d’en prendre la mesure.

    Une urgence vitale

    Par où commencer ? Les fontes record de glaces au Groenland ? La Sibérie, le Canada, la Grèce, la Turquie, la Californie en feu ? Les pluies torrentielles en Allemagne, en Belgique et en Chine ? La famine à Madagascar ?

    L’humanité se prend de plein fouet les premiers effets du dérèglement climatique qu’elle a causé. Or ces effets ne sont en aucun cas une surprise. Ils sont prévus, anticipés, annoncés depuis des décennies par les scientifiques. Si l’on se retourne sur les 50 dernières années d’évolution du climat, deux constantes apparaissent :

    • Toutes les prévisions des climatologues se sont révélées justes.
    • Toutes les promesses de réduction des émissions de gaz à effet de serre ont été bafouées.

    En 2022, l’humanité battra un nouveau record d’émissions de gaz à effet de serre. Le rapport du GIEC manque de mots pour alerter sur le danger d’extinction de l’espèce humaine. Tout simplement. Et pourtant, rien ne bouge.

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  • Réforme de la gestion des risques climatiques: le monde paysan, grand perdant!

    Communiqué de la Confédération Paysanne le 28.07.2021

     Le député Frédéric Descrozaille a remis hier au Ministre de l'agriculture son rapport sur l'avenir des indemnisations climatiques en agriculture, après une concertation de sept semaines avec les parties prenantes. Mais cette proposition, qui consiste à démanteler le dispositif public des calamités agricoles au profit de l'assurance privée, emmène l'agriculture droit dans le mur.

    Non seulement il n'est prévu aucune prise en compte de la baisse du potentiel de production liée au changement climatique, mais cette réforme supprimera surtout les indemnisations de la moitié de l'agriculture française à l'horizon 2030 ! Renforçant de ce fait les inégalités qui traversent le monde agricole... Ainsi, seuls bénéficieront de cette réforme les productions générant déjà un revenu élevé et les agricultrices et agriculteurs déjà en capacité de s'assurer (en viticulture et grandes cultures en particulier). Il est remis à plus tard les questions sur les productions pas assurables et déjà mal couvertes par les calamités – tout en reconnaissant leurs spécificités.

    Cette moitié délaissée de l'agriculture française n'aura même plus aucun accès aux aides à l'investissement, puisqu'elles seront désormais conditionnées à la souscription à une assurance privée.

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  • Sécheresse en Angola  six millions de personnes sous alimentées

    Publié le 27.07.2021 par Amnesty International

    Dans le sud de l’Angola, la vie de millions de personnes est menacée à cause de la sécheresse. Déplacements de population, malnutritions et pauvreté : voici les conséquences dévastatrices du dérèglement climatique.

    Dans le sud de l’Angola, des millions de personnes sont au bord de l’inanition. Elles sont victimes à la fois des effets dévastateurs du dérèglement climatique et de l’affectation de terres à l’élevage commercial de bétail.

    La création d’élevages commerciaux de bétail sur des terres communautaires ont chassé des populations pastorales de leurs terres depuis la fin de la guerre civile, en 2002. Ainsi, une grande partie de la population s’est retrouvée en situation d’insécurité alimentaire, ce qui a ouvert la voie à une crise humanitaire dans la mesure où la sécheresse aiguë persiste depuis plus de trois ans. La pénurie d’eau et de nourriture ne fait que s’accentuer, obligeant des milliers de personnes à fuir vers la Namibie voisine.

    Pour survivre, la fuite vers la Namibie

    Les populations des provinces de Cunene et de Huíla sont frappées de plein fouet par la sécheresse persistante. La saison des pluies 2020-2021 ayant été anormalement sèche, il est probable que la situation empire grandement dans les mois à venir. Cette sécheresse est la pire depuis 40 ans.

    Elle a rendu la vie des communautés pastorales traditionnelles très difficile et la faim a conduit des milliers de personnes à traverser la frontière avec la Namibie depuis le début de mars 2021.

    En mai 2021, des ONG angolaises ont rapporté que plus de 7 000 Angolais, principalement des jeunes et des femmes avec enfants, avaient fui vers la Namibie. Un nombre de « déplacés climatiques » qui ne cesse d’augmenter.

    Le manque de ressources et la sécheresse poussent ces personnes à migrer dans une tentative désespérée de survivre. Un phénomène qui n’est pas près de s’améliorer car, selon le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), « l’intensité des sécheresses continueront d’augmenter, en particulier dans le bassin méditerranéen et en Afrique australe ».

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  • Maison de la Nature de Boult-aux-Bois

     

    En août, plusieurs animations vous sont proposées par la Maison de la Nature ; il s'agit à chaque fois d'une balade en forêt à la découverte, entre autres, des arbres remarquables que l'on peut trouver dans nos bois et leur histoire...

    - mercredi 11 août de 14h à 17h : découverte de la forêt de Boult-aux-Bois + arrêt au Hêtre Éléphant pour vous conter son histoire !

    - mercredi 18 août de 14h à 17h : découverte de la forêt de Boult-aux-Bois + arrêt au Gros Chêne pour vous conter son histoire !

    - mercredi 25 août de 14h à 17h : découverte de la forêt de Boult-aux-Bois + arrêt à l'Orme Lisse pour vous conter son histoire !

    Toutes ces sorties sont gratuites, car financées par la Région Grand Est

    Info et réservation (obligatoire) de préférence à maisonnatureboult@gmail.com sinon au 0324302498.

    N.B. : le pass sanitaire ne sera pas demandé, car nous appliquons une jauge de 25 participants environ, mais en respectant toujours les gestes barrières

    Au plaisir de partager avec vous ces petites balades nature !

    Merci et à bientôt !

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