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écologie - Page 287

  • Espionnage de Greenpeace: EDF inculpée

    Greenpeace a été espionné par une agence spécialisée qui travaillait pour EDF.

     

    EDF a affirmé que ce n'était pas elle qui avait donné l'ordre de pratiquer la surveillance de Greenpeace. Une instruction judiciaire est en cours, et des responsables d'EDF ont été entendus par le juge d'instruction. Des responsables de l'entreprise ont été contraints de démissionner. (voir nos notes du mois d'avril 09).

    L'étau se resserre autour d'EDF et de ses dirigeants : le juge vient de mettre en examen l'entreprise. Voici l'info commentée par Le Figaro :

     

    27/08/2009 | Mise à jour : 19:59

    Le groupe EDF a été mis en examen hier à Nanterre par le juge d'instruction en charge de l'affaire d'espionnage informatique présumé de manif-12-07-6.jpgGreenpeace, a annoncé ce soir l'avocat d'EDF, Me Alexis Gublin.

    L'entreprise a été mise en examen pour "complicité et recel d'intrusion frauduleuse dans un système de traitement automatisé", a-t-il précisé.  Interrogé par l'AFP, le parquet de Nanterre a indiqué que cette mise en examen ne figurait pas à l'heure actuelle au dossier.

    "Le juge d'instruction, revenant sur sa décision du 25 juin dernier --confirmant le statut de témoin assisté d'EDF-- a souhaité mettre en examen l'entreprise, sans qu'aucun élément nouveau ne soit intervenu depuis la dernière audition", a expliqué à l'AFP Me Alexis Gublin. "EDF conteste cette décision, qui à ce stade ne préjuge en rien de la responsabilité de l'entreprise, et va engager un recours en demandant l'annulation devant la Chambre de l'Instruction", a-t-il ajouté.

    Le 28 mai, EDF avait été placé en tant que personne morale sous le statut de témoin assisté. Le groupe, qui s'estime "victime" des agissements de la société Kargus Consultant, coupable à ses yeux d'avoir dépassé le cadre d'un contrat de 2006 qui stipulait simplement une "veille" des actions menées par les écologistes, avait tenté de se constituer partie civile.

    Le juge d'instruction de Nanterre en charge de cette affaire Thomas Cassuto avait déclaré irrecevable cette constitution de partie civile, ce qu'a confirmé, le 25 juin, la chambre d'instruction de Versailles. Dans cette affaire, un haut responsable de la sécurité du groupe, Pierre François, a été mis en examen fin mars pour "complicité d'intrusion informatique". Son supérieur hiérarchique, Pierre Durieux, placé sous le statut de témoin assisté dans un premier temps a été mis en examen le 10 juin pour complicité et recel d'intrusion informatique.

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  • Eoliennes dans les Ardennes

    Les éoliennes vont bientôt devenir une réalité dans notre secteur.

     

    eolienne2.jpgAprès une longue phase d'étude, la réalisation d'un parc éolien dans notre secteur va se concrétiser. C'est la 2C2A qui a pris la compétence pour la proposition et élaboration des périmètres de zones de développement éolien, imposée par la préfecture pour la cohérence des projets.

    Maintenant, ce sont des sociétés spécialisées qui vont intervenir pour la construction proprement dite.

    Voici l'annonce officielle de l'autorisation des travaux :

     

    Parcs éoliens
    Par arrêté de juillet 2009, la SFE - Parc éolien de Leffincourt, (38, rue Jean-Mermoz, 78600 Maisons-Laffitte), est autorisée à exploiter le parc éolien de Leffincourt, d’une capacité de production de 12 MW, localisé lieudit La Voie de Leffincourt, à Contreuve (Ardennes).


    Il faudra développer toutes les sources d'énergies renouvelables et surtout réduire notre consommation pour créer une alternative au développement du nucléaire.

  • Algues vertes : réduire les pollutions à la source



    François Fillon a annoncé une mission interministérielle sur la gestion du risque des algues vertes et Chantal Jouanno a dévoilé les résultats d’une étude soulignant que les algues vertes sont un vrai risque pour la santé. Réaction de France Nature Environnement.


    Selon cette étude, les algues vertes en décomposition sur les plages "présentent un vrai risque pour la santé". Elle précise que la concentration d'hydrogène sulfuré peut dépasser "les doses mortelles". Les détections obtenues au-dessus de la vase ont montré des teneurs en hydrogène sulfuré de 200 ppm (parties par million). Dans certains endroits, la concentration avoisine les 1 000 ppm. On sait que, au-delà de 500 ppm, la dose peut être mortelle

    José Cambou est la pilote du réseau santé-environnement de FNE. « C’est désormais un fait avéré que les algues vertes dégagent des doses mortelles de gaz. Insister sur les risques sanitaires nous semble plus qu’important. La prévention ne peut se limiter à la pose d’un panneau sur une barrière en bord de plage – puisque tout le monde ne lit pas forcément le français – et au ramassage des algues, ce qui ne règle pas le problème à la source. »

    Mettre en place une véritable politique de prévention4.jpg

    France Nature Environnement demande une réelle réduction des pollutions qui entraînent une prolifération des algues vertes. José Cambou : « Il est temps de mettre en place une véritable politique de prévention et que les problèmes environnementaux et sanitaires liés aux pollutions aux nitrates ne soient plus niés par une partie du monde agricole. Ce lobbying est inadmissible. »

    Jean-Claude Bévillard est pilote du réseau agriculture de FNE. « L’élevage hors-sol produit en Bretagne une quantité de déjections qui dépasse largement la capacité d’absorption du milieu naturel. Les expédients mis en œuvre sont inefficaces. La responsabilité du modèle agricole intensif est évidente, tant en matière d’élevage que de cultures, mais aussi celle de l’industrie agro-alimentaire et de l’agro-business en général. »

    La France déjà condamnée par l’Europe

    algues-vertes-dd292.jpgSi la situation n’évolue pas, la France pourrait se retrouver une nouvelle fois condamnée par la Cour de Justice de l’Union Européenne et s’exposer à des amendes record. Raymond Léost, pilote du réseau juridique explique : « Elle n’avait pas mis en œuvre des programmes de reconquête de la qualité des eaux brutes nitratées, destinées à la fabrication d’eau potable. Il ne faut pas oublier que les algues vertes sont en milieu terrestre la cause de l'eutrophisation des lacs, plans d'eau et des rivières. »
    Le problème est ancien : la question des algues vertes a été soulevée par le Professeur Lefeuvre, ancien président de France Nature Environnement, dès les années 70.

    L’urgence d’une réunion

    Jean-Claude Bévillard conclut : « Conformément aux engagements du Président de la République à l’issue du Grenelle de l’environnement, FNE demande la réunion urgente des responsables politiques, économiques, sociaux et associatifs pour élaborer des solutions véritables au niveau national. »

  • Militant menacé

    La pollution aux algues vertes est particulèrement forte cette année.

     

    Ces algues se développent quand elles trouvent un milieu favorable.

    Certaines pratiques agricoles sont à l'origine des nitrates, un des principaux facteurs de cette prolifération. La Bretagne concentre des productions animales (porc surtout), qui sont pratiquées dans des conditions où les rejets ne sont plus maitrisés.

    Ces pratiques évoluent peu malgré le travail des militants écologiques locaux. De forts enjeux financiers sont en cause, et les gros producteurs bénéficient d'appuis politiques.

    Malgré la gravité de la situation, ce ne sont pas les responsables qui sont menacés, mais des militants qui font un travail d'information qui dérange des situations acquises.

    La FNE dénonce les pressions qui s'exercent sur ces militants écologiques. Voici son comminiqué :

     



    algues_vertes_20070928-xl.jpgAndré Ollivro, porte-parole de l'association Halte aux marées vertes, a été victime d'intimidations et de menaces. France Nature Environnement et Côtes d’Armor Nature Environnement lui apportent tout leur soutien.

    Les mottes de paille déposées devant chez lui. Un avis d’obsèques dans sa boîte aux lettres. De l’huile dans le réservoir de son camion. Du fumier devant sa porte. André Ollivro, porte-parole de l'association Halte aux marées vertes, a été victime de menaces à répétition. Face à une situation devenue insupportable, une plainte est déposée.

    France Nature Environnement, fédération nationale des associations de protection de la nature, et Côtes d’Armor Nature Environnement, fédération départementale, lui témoignent tout leur soutien.

    Le courage des militants
    Les associations locales alertent les pouvoirs publics depuis de nombreuses années sur la prolifération des algues vertes. «
    Elles ont énormément travaillé sur le sujet et sont constamment confrontées à l’hostilité ouverte de certains agriculteurs. Il faut du courage pour militer dans ces conditions », souligne Thierry Dereux, président de Côtes d’Armor Nature Environnement et administrateur de FNE. « De notre côté, nous leur apportons tout notre soutien, moral, mais aussi logistique, en les appuyant dans leurs démarches administratives, juridiques » continue-t-il.

    « Les associations concernées se retrouveront lundi soir, précise Thierry Dereux. « Nous souhaitons accompagner André Ollivro dans ses plaintes et réfléchir à la suite des évènements. »

    Représenter les associations au niveau national
    Sébastien Genest, président de France Nature Environnement : « Nous soutenons pleinement le combat mené avec courage par les militants des Côtes d'Armor contre les marées vertes. Nous exprimons tout notre soutien à André Ollivro et l'accompagneront si besoin pour saisir la justice. »

    France Nature Environnement demande la réunion urgente des responsables politiques, économiques, sociaux et associatifs pour élaborer des solutions véritables au niveau national, conformément aux engagements du Grenelle de l’Environnement.

    Sébastien Genest conclut : « Une fois encore, comme nous le prouve André Ollivro, la défense de l’intérêt général n’est pas toujours une partie de plaisir. Malgré une prise de conscience de plus en plus forte des problèmes environnementaux, les écologistes sont toujours victimes de pression. La force du mouvement France Nature Environnement, c’est d’être là pour ses militants dans ces moments difficiles à vivre. »

     

     

  • Classement sans suite pour Stéphane Lhomme

    Comuniqué du réseau Sortir du nucléaire

    Plus de 30 000 signataires ont obtenu un classement "sans suites" en faveur de Stéphane Lhomme, porte-parole du Réseau "Sortir du nucléaire", menacé de 5 ans de prison pour avoir révélé la vulnérabilité du réacteur nucléaire EPR en cas de crash d'avion de ligne. En effet, le Vice-Procureur de Paris, en charge des questions de "terrorisme" et de "compromission des secrets", vient d'informer le Réseau "Sortir du nucléaire" du classement "sans suite" de cette procédure au cours de laquelle Stéphane Lhomme a été placé deux fois en garde à vue par la DST (aujourd'hui DCRI).

    Il est très frappant de constater que ce haut magistrat, tout en rappelant l'interdiction de révéler des documents classifiés (infraction passible de 5 ans de prison), classe l'affaire sans autre commentaire. Il est donc implicitement reconnu que, dans certaines circonstances, il est justifié de révéler un document confidentiel défense. En l'occurrence, il s'agissait d'informer les citoyens d'un grave mensonge, de la part d'Areva, d'EDF et de autorités françaises, qui prétendent que le réacteur EPR serait conçu pour résister à un crash d'avion de ligne.

    En novembre 2003, le Réseau "Sortir du nucléaire" révèle qu'il détient un document confidentiel défense issu d'EDF qui reconnaît que, stephane-lhomme.jpgcontrairement à ce que prétendent les autorités françaises, le réacteur français EPR n'est pas conçu pour résister à un crash d'avion de ligne (voir notre dossier Document confidentiel défense). Ce document a été évoqué à de nombreuses reprises dans la presse, et a jeté le trouble sur le débat public officiel organisé en 2005 et 2006 sur le réacteur EPR : la Commission nationale du débat public a même censuré la contribution de "Sortir du nucléaire" qui évoquait le fameux document.

    En mai 2006 et mars 2008, Stéphane Lhomme, porte-parole du Réseau "Sortir du nucléaire", a été placé en garde à vue par la DST (aujourd'hui DCRI), sur réquisition du Parquet de Paris... section antiterroriste. Accusé de "compromission du secret de la défense nationale", alors qu'il n'a fait que son devoir de citoyen, Stéphane Lhomme risque 5 ans de prison et 75 000 euros d'amende.

    Depuis novembre 2003, Stéphane Lhomme était donc visé par une enquête "préliminaire" bien curieuse puisqu'elle courrait... depuis plus de 5 ans : une durée tout à fait hors norme. Les conséquences principales de ce "sur-place" judiciaire était l'impossibilité d'accéder au dossier et le fait de garder sur la tête une "épée de Damoclès" de 5 ans de prison.

    Lancée en juin dernier, la pétition demandant la clôture de l'enquête préliminaire, et surtout un classement "sans suites" en faveur de Stéphane Lhomme, a rencontré un très vif succès avec plus de 30 000 signataires, que le Réseau "Sortir du nucléaire" remercie chaleureusement.

    Désormais, Stéphane Lhomme demande à pouvoir accéder au dossier, ce qui est de droit après le classement sans suites. Par ailleurs, en lien avec cette affaire de document confidentiel défense, EDF aurait mis en place des opérations illégales d'espionnage (**) de Stéphane Lhomme et du Réseau "Sortir du nucléaire", lesquels se sont constitués parties-civiles. Il est nécessaire que toute la vérité soit faite sur cette seconde affaire.



    (*) Parmi les signataires, on note des personnalités comme Corinne Lepage, Noël Mamère, Olivier Besancenot, José Bové, Jacqueline Fraysse, Yves Cochet, mais aussi le navigateur Eugène Riguidel, des représentants associatifs comme Jean-Marie Harribey (co-président d'Attac), Roland Desbordes (Président de la Criirad), des artistes renommés comme Stéphane Sansévérino, Henri Texier, Kent, Etienne Davodeau, etc.

    (*) Dans son édition du 8 avril 2009, le Canard enchaîné affirme que, depuis 2006, EDF a placé Stéphane Lhomme sous surveillance par le biais de sociétés privées. Le magazine Le Point, dans son édition du 23 avril 2009, affirme que "La boîte mail de Stéphane Lhomme aurait été espionnée grâce à un contact chez Wanadoo".

  • Loisirs motorisés et protection de l’environnement.

     

     

    98574355tracteur-pulling-jpg.jpg

    On rencontre souvent des quads et autres motos"vertes" dans la nature autour de Vouziers.

     

    Ces loisirs sont parfois difficiles à concilier avec d'autres usagers de la nature. Il n'est pas simple de pratiquer des activités différentes dans un même lieu.

    A cet usage de loisir, il faut ajouter dans la catégorie loisir le rassemblement de tracteurs de compétition à Bouconville. Ce championnat se déroule depuis plusieurs années, et le principe d'économie d'énergie ne semble pas modifier leur pratique.

    Un tel spectacle se justifie-t-il encore dans le contexte actuel ?

    Les Ardennes sont département pilote pour les économies d'énergie, ce principe devrait concerner aussi les pilotes de tracteurs.

    Vous pouvez lire ci-dessous un article de la FNE sur les loisirs motorisés :

     

     

     

     

    Alors que la saison estivale bat son plein, 83 % des Français estiment que les loisirs motorisés (quads, mini-motos, 4x4…) doivent être pratiqués dans le respect de l’environnement. Tel est le résultat du sondage CSA / FNE. France Nature Environnement fait le point sur les liens entre loisirs motorisés et protection de l’environnement.


    C’est l’été et les chemins de France connaissent leur grande période d’affluence. Nombreux sont ceux qui les arpentent à pied, à cheval, en vélo, seul ou en famille, pour une petite balade ou une grande randonnée. Nombreux sont aussi ceux qui vont s’initier aux loisirs motorisés, quad, mini-moto, 4x4, ignorant parfois la législation et les conséquences du passage d’un véhicule sur une dune.

    Selon le sondage réalisé les 5 et 6 août par l’institut CSA pour FNE,
    83 % des Français considèrent que les loisirs motorisés doivent se pratiquer dans des zones délimitées et sécurisées, leur pratique étant dangereuse et peu respectueuse de l’environnement. Leur avis est tranché, puisque seulement 3 % des sondés ont préféré ne pas se prononcer sur la question. 

    Gilles Benest est pilote du réseau tourisme et environnement de France Nature Environnement. « Au même titre que les Français, pour les associations de protection de l’environnement, le but n’est pas de s’opposer systématiquement à la pratique des sports motorisés. Mais celle-ci doit se faire dans des conditions bien précises, dans le respect de la faune, de la flore et des milieux traversés, dans le respect des autres usagers des chemins. » 

    Une pratique d’un autre temps

    Randonnee-Quad-Montlhery-Paris-Ile-de-France-91.jpg« Ce sondage répète une évidence, analyse Sébastien Genest, président de France Nature Environnement. Les Français ont fait de la protection de l’environnement l’une de leurs premières préoccupations. La circulation des véhicules en dehors des voies ouvertes à la circulation publique est lourde de conséquences pour bon nombre d’espèces, des mammifères aux insectes. Les pratiquants de loisirs motorisés ne peuvent plus l’ignorer. Par ailleurs, au moment où les énergies fossiles se raréfient et où la réduction des gaz à effet de serre est dans tous les esprits, la pratique des loisirs motorisés semble d’un autre siècle. »



    Pour un encadrement des loisirs motorisés

    FNE demande que les loisirs motorisés soient encadrés par les pouvoirs publics de manière à mettre un terme aux violations de la loi et aux dégradations de l'environnement que certains génèrent et cautionnent. 

    Pour Arnaud Gossement, porte parole de FNE : « Les pouvoirs publics doivent intervenir : nous demandons le respect scrupuleux de la loi, le renforcement des contrôles et des sanctions contre les récidivistes, la publication régulière de statistiques sur les infractions constatées, l'interdiction des publicités mettant en valeur la circulation de 4x4 ou de quads en pleine nature. Il faut également que la justice se prononce plus rapidement, notamment en référé. Une mobilisation des professionnels du tourisme est évidement indispensable pour que chacun découvre le plaisir de la nature de préférence à celui de brûler du pétrole... »

    Faire le point sur les loisirs motorisés

    La publication de ces résultats est accompagnée d’un dossier qui fait le point sur les loisirs motorisés : que dit la loi sur leur pratique, les impacts des véhicules sur la faune, la flore et les espaces naturels, les victoires déjà remportées par les associations de protection de l’environnement et les dossiers en cours. 

    Enfin, pour mieux comprendre l’attrait de l’homme pour les loisirs motorisés, nous avons sollicité l’avis de Pouly, canard humanologue et éminent spécialiste de l’Homo Petroleum, descendant direct de l’Homo Sapiens et espèce remarquable par sa consommation de pétrole. Il décrypte avec humour notre étrange addiction au carburant, même en vacances.

    Télécharger le dossier de presse
    /com/pdf-2/dossierdepresse_fne_loisirsmotorises.pdf

    Lien Dailymotion actif à partir du 16 août au soir : http://www.dailymotion.com/user/Pouly/video/x9yi29_loisirs-nature-de-lhomopetroleum_news