Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

écologie - Page 288

  • Auxon (10) : le projet d'enfouissement enterré

     

    Le conseil municipal d'Auxon doit se réunir ce soir, mardi 11/08.

     

    Ce doit être l'occasion de confirmer le choix de la majorité des conseillers et de la population de refuser l'implantation d'un centre de stockage de déchets nucléaires. Voici un article de FR3, et des liens avec des videos de la station régionale sur cette affaire.

     

    Reportage FR3


    interview d'un adjoint au maire d'Auxon

     

    Auxon dit Non aux déchets nucléaires


    La démission du maire résulte d'un désaccord avec ses habitants sur un projet d'enfouissement de déchets FA-VL.

    Jean-Louis Caillet (DVD), en désaccord avec son conseil municipal, a remis sa démission au Préfet la semaine dernière.image_56038222.jpg

    Le conseil municipal d'Auxon devrait voter ce mardi soir le retrait du projet de construction d'un centre de stockage de déchets radioactifs sur la commune. Ce vote intervient un mois après le retrait de la candidature de la commune de Pars-lès-Chavanges.

    Ce sera le dernier conseil municipal du maire d'Auxon, Jean-Louis Caillet (DVD), qui a remis sa démission la semaine dernière au Préfet de l'Aube (voir plus bas).


    Lors de la phase de l'appel à candidature, la commune avait répondu favorablement à l'ANDRA à l'issue d'un vote en conseil municipal.
    Depuis, la commune a été retenue par l'Agence Nationale pour mener plus avant les études techniques de faisabilité du projet. Une annonce qui a suscité la colère dans la commune, de la population mais aussi des conseillers municipaux qui avaient à l'époque voté en faveur de la candidature d'Auxon (10).
    C'est ce revirement qu'accepte mal Jean-Louis Caillet qui déplore que ses conseillers "retournent [ainsi] leur veste".

     

  • Incident à la centrale de Gravelines (suite)

    Nous vous avons informés hier d'un incident à la centrale de Gravelines .

    Voici les constats et les conclusions de la FNE sur ce sujet:


    Dans la nuit de samedi à dimanche, un incident grave s’est produit à la centrale nucléaire de Gravelines, dans le département du Nord. Réaction de FNE.

    Autorité de sûreté nucléaire : communication ou information ?

    Un incident nucléaire s’est produit à 3 h 45 dans la nuit de samedi à dimanche à la centrale de Gravelines, dans le département du Nord. Il est asn.jpgsurvenu lors du déchargement du combustible situé au coeur du réacteur n°1, en arrêt pour une opération de maintenance. Un assemblage constitué de 264 « crayons » qui contiennent le combustible nucléaire est resté accroché aux structures internes supérieures au cours des opérations d'enlèvement.

    L’incident n’a été dévoilé que lundi soir par l’Autorité de Sûreté Nucléaire. Sébastien Genest, président de France Nature Environnement, réagit : « L’ASN nous apprend avec plus de 30 heures de retard qu’un accident nucléaire s’est produit sur le site de Gravelines. De plus, l’ASN confond information et communication. Plutôt que des paroles rassurantes et des accidents systématiquement classés de niveau 1, nous préférerions qu’une expertise contradictoire et indépendante des installations nucléaires soit enfin réalisée. »

    Un incident grave et minimisé

    ASN_0006910_b.jpgCet incident technique a ensuite été qualifié par la direction de la centrale de Gravelines, citée par La Voix du Nord, d'« exceptionnel » et de « délicat ». « Cet incident est grave, » explique Jean Séname, membre de la Commission Locale d'Information de la Centrale Nucléaire de Gravelines et président de l’Adelfa. « Déclarer, comme l'a fait le directeur adjoint du CNPE de Gravelines que la chute éventuelle de cet assemblage serait sans incidence réelle sur la sécurité des personnels et de la population n'est que pure supputation. »

    Jean Séname, également membre du directoire du réseau risques industriels de FNE, suit au plus près cet évènement. Il raconte : « Nous avons été prévenu dimanche soir par la centrale. Les représentants de l’Adelfa siégeant du CLI ont demandé en urgence la tenue d’une réunion du bureau de cette instance réglementaire. Ce mardi matin, je me suis rendu sur le site de Gravelines avec une équipe de journalistes. La direction de la centrale a refusé de répondre à leurs questions. Cela en dit long sur l’esprit de transparence qui y règne. »

    La démocratie écologique une fois de plus irradiée

    LOGO_ASN_Quadri-asn-dev.jpg« Le fait que cette information soit diffusée par l’ASN, composée de directeurs juridiquement irresponsables et inamovibles, et non par un ministre responsable devant le Parlement, démontre une fois de plus que le nucléaire n’est pas compatible avec la démocratie », souligne Arnaud Gossement, porte parole de la fédération.

    FNE s’était battue au Parlement contre le vote de la loi du 13 juin 2006, appelée - non sans ironie - « transparence et sécurité nucléaire ». FNE en demande toujours l’abrogation pure et simple, ainsi que la création d’un mécanisme de contrôle citoyen et démocratique de la filière nucléaire.

    Réduire la part du nucléaire, vite !

    Pour France Nature Environnement, cet accident rappelle que l’énergie nucléaire fait peser des risques intolérables sur notre sécurité et notre environnement. FNE déplore que le lobby nucléaire se soit battu pour échapper aux engagements du Grenelle de l’environnement et pour ne pas siéger lors de la table ronde sur les risques industriels organisée en début d’année.

  • Un incident dans une centrale nucléaire

    D'après l'APF, reprise par Metro, un incident s'est produit dimanche à la centrale de Gravelines.

    Va-t-on à nouveau connaître une série d'incidents comme cela s'est passé l'an dernier? On ne peut en être sûr, mais il est évident que le nombre élevé des centrales nucléaires en France multiplie le risque d'incidents.
    Et si un accident sérieux est heureusement plus rare, avec le temps qui passe et le nombre de centrales qui augmente, la probabilité d'une catastrophe n'est pas nulle.
    Qui aurait pu croire qu'un avion moderne pourrait avoir un accident en plein vol ? C'est pourtant arrivé à Airbus, un des avions les plus sûrs.
    Cette tragédie a fait de nombreuses victimes, mais  n'a entrainé que très peu de conséquences  à distance. Qu'en serait-il d'un accident nucléaire?
    Le gouvernement n'est toujours pas clair en ce domaine : nous apprenons cet incident avec un jour de retard. Et il n'existe aucun plan national réellement mis en place en cas d'accident nucléaire. En cas de grippe dans votre entourage, vous pouvez savoir comment réagir, mais en cas d'accident à Chooz ou ailleurs, vous savez ce qu'il faut faire ?

    Voici la nouvelle développée par Metro :

    Un incident, décrit comme "significatif" par l’ASN (Autorité de sûreté nucléaire), s’est produit dimanche à la centrale nucléaire de Gravelines,gravelines-une-des-plus-grand dans le Nord. Cet incident serait toutefois "sans conséquence pour le personnel" de la centrale et n’aurait pas entraîné de rejets dans l'environnement. Selon la préfecture du Nord, il n’y aurait " aucun risque de pollution".

    Incident de niveau 1
    L’accident a eu lieu lors des opérations de déchargement du combustible du réacteur numéro 1 de la centrale. "Un assemblage combustible est resté accroché aux structures internes supérieures au cours de ces opérations alors interrompues, avant l'évacuation du bâtiment réacteur et son isolement", indique l’ASN dans un communiqué.

    L’ASN classe cet incident au niveau 1 de l’échelle INES, numérotée de 0 à 7. EDF travaillerait actuellement "à la préparation des opérations de remise en place de l'assemblage dans sa position normale". Un incident de même nature s’est produit en septembre dernier à la centrale nucléaire exploitée par EDF au Tricastin, dans la Drôme.

  • biodiversité : agir dans le bon sens

    Le maintien de la biodiversité tend à être reconnu comme essentiel pour l'avenir de notre planète.

     

    La nature n'a pas comme seul but de servir à l'homme pour ses besoins à court terme. Elle est le résultat d'un équilibre, et ce que nous pourquoi-animal-nuisible-z.jpgconsidérons comme inutile ou nuisible contribue également à cet équilibre.

    C'est pour cela qu'il est nécessaire de maintenir la plus grande biodiversité possible, et donc de préserver les très nombreuses espèces animales et végétales qui risquent de disparaître.

    Ce combat ne concerne pas que les zones tropicales ou exotiques, il doit aussi se mener chez nous. Dans notre région, il existe des zones dites humides qu'il est essentiel de conserver. La vallée de l'Aisne, où la rivière peut divaguer librement, en fait partie.

    Les pouvoirs publics ont pris un retard important à mettre en place  des zones protégées prévues dans le programme Natura 2000. L'état a tergiversé  devant la pression de certains lobbies dont ceux des chasseurs et des agriculteurs.

    Concernant le classement de certains animaux en"nuisibles", il semble que la même erreur soit en train d'être faite. Le gouvernement a commandé un rapport sur ce point, et les conclusions du rapporteur vont dans un sens rétrograde : on retrouve la notion de nuisibles telle qu'elle existait au siècle dernier.

    La FNE (fédération France Nature Environnement) réagit contre cette optique antiécologique. Voici leur communiqué :

     

    Le député de Moselle, M. Pierre Lang, vient de remettre au ministre de l’écologie M. Borloo son rapport sur la notion d’espèce « nuisible ». A l’heure où la société prend conscience du rôle et de l’importance de la biodiversité pour notre avenir, où les états se mobilisent pour enrayer son déclin, on pouvait espérer trouver dans ce rapport des propositions allant dans le sens d’une meilleure protection de la faune sauvage et d’une réhabilitation des espèces dites « nuisibles ».


    Or c’est tout l’inverse : les propositions du rapport Lang visent à aggraver les menaces sur les espèces sauvages ! Il s’agit notamment :

    - de déroger au statut d’espèce protégée pour permettre la destruction des rapaces ;

    - d’autoriser la destruction des nids et des œufs des oiseaux chassables, actuellement interdite ;

    - de permettre le piégeage et la destruction des espèces classées « nuisibles » sur toute la France, au lieu de les limiter aux départements où ces espèces causent des dégâts ;

    - et même de légaliser l’usage du poison pour le pigeon ramier, alors que les conséquences du poison en milieu naturel sont catastrophiques pour les espèces sauvages.


    chasse.jpgSi la faune sauvage peut poser à certaines activités humaines des problèmes ponctuels qu’il faut résoudre, elle joue aussi un rôle essentiel dans le fonctionnement des écosystèmes, rôle que le rapport occulte totalement. Ainsi, les prédateurs, grands consommateurs de petits rongeurs, sont de précieux alliés de l’agriculture. Répondre aux dégâts par la seule destruction n’est plus acceptable aujourd’hui, alors que des méthodes de prévention, non nocives pour la faune, existent et sont efficaces.


    Pourtant, FNE, la LPO et la Ligue Roc avaient rencontré M. Lang et lui avaient fait des propositions précises pour une amélioration du statut des « nuisibles ». Mais le rapport n’en retient aucune ! M. Lang semble n’avoir entendu que les revendications des chasseurs et des piégeurs, qu’il reprend très largement.


    Ce rapport traduit une vision rétrograde et partisane de la faune sauvage : il ne répond pas aux enjeux de la protection de la nature du XXIe siècle.

    FNE, la LPO et la Ligue Roc appellent à une réhabilitation des espèces dites « nuisibles », qui passe par une réforme de leur réglementation, en phase avec les enjeux cruciaux de sauvegarde de la biodiversité et les attentes de la société.

  • Un nouvel aéroport à Nantes ?

    Parmi le moyens de transports, l'avion est le plus gourmand en énergie dépensée par kilomètre parcouru.

     

    Malgrè le Grenelle de l'environnement, le projet d'un nouvel aéroport à Nantes n'est pas abandonné. Les opposants ont perdu devant le conseil d'état, qui vient de rejeter les recours contre le décret d'utilité publique. Un tel projet ne se justifie pas dans la perspective d'une politique où l'écologie serait prioritaire.

    Les opposants restent mobilisés, et un camp action climat va se tenir jusqu'au 9 août. Voici des infos du site evous.fr :



    Les opposants au projet d'aéroport Grand Ouest, à proximité de Nantes, installent un camp du 3 au 9 août sur le futur site pour promouvoir leur cause.

    La folle semaine des opposants au nouvel aéroport a commencé ce dimanche 2 août et se poursuit jusqu'au dimanche 9. Le camp n'a pas encore ouvert ses portes mais ce midi, il s'agissait de rassembler pour un pique-nique géant.


    Plus de 1.500 participants au pique-nique


    3.500 personnes, selon les organisateurs, 1.500 selon la gendarmerie, ont participé à ce rassemblement. Si l'ambiance se voulait familiale et conviviale, tout le monde est déjà en ordre de bataille. Les banderoles affichent la couleur : "Non à l'ayraultport" (le maire nantais Jean-Marc Ayrault étant l'un des plus grands fervents défenseurs du projet) "Oui à l'oxygène, non au kérosène", "Conservons nos terres"...


    "Semaine de resistance"


    Cette journée ouvrait une "semaine de resistance" au cours de laquelle sont programmées une série de rencontres et débats sur le thème des OGM, de l'eau, des réfugiés climatiques, des déchets nucléaires, etc... José Bové est notamment attendu vendredi.

    Le "Camp action climat" entend "faire progresser les pratiques d'autogestion, les modes d'action non-violente et les alternatives écologiques" en mettant en place "de nouvelles formes d'actions médiatiques et de résistance", lit-on sur le site dédié. Sur le site, des campclimet-b913b.jpgprincipes écologiques et de vie en commun sont mis en pratique : marché bio, nourriture végétarienne, toilettes sèches, temps calmes...


    Construction officiellement autorisée mais...


    Le futur aéroport Grand Ouest prévu entre Nantes et Rennes d'ici à 2015. La construction du nouvel aéroport a été officiellement autorisée le 10 février avec la publication au journal officiel d'un décret d'utilité publique. Une décision de nouveau confirmée : Le Conseil d'État a rejeté vendredi trois recours déposés contre le projet.

    Cependant, le débat s'éternisant, les partisans hésitent... Comme le maire PS de Saint-Nazaire, Joël Batteux, qui déclare dans Les Echos du 28 juillet : "Entre l'atteinte à l'environnement, que l'on voit bien, et l'intérêt économique et social, que l'on pressentait, le doute vient de la crise et il n'est pas exclu que nous ayons à revoir définitivement ou temporairement la décision de faire partir le projet d'aéroport."

    Le projet, dont le coût est estimé à 580 millions d'euros, vise à faire face à des prévisions de saturation du trafic de l'actuel aéroport de Nantes que remplacerait celui de Notre-Dame-des-Landes. Selon ses opposants, le nouvel aéroport recouvrirait "2.000 hectares d'un bocage très préservé et détruirait une cinquantaine d'exploitations agricoles".

     

  • Trop de nucléaire.

    Il y a trop de centrales nucléaires en France, et les projets de construction sont trop importants.

     

    Ce message n'est pas tout à fait surprenant: il y a longtemps que nous disons que le parc nucléaire français est surdimentionné. Et Edf fait du forcing après pour vendre son électricité (voir la promotion du chauffage électrique).

    Comme les centrales vieillissent, le gouvernement prépare la relève.  Sarkozy a décidé de construire un EPR (centrale nouvelle génération), puis un deuxième. Les risques liés à ces nouvelles centrales ne sont pas maitrisés, et leur construction pose de gros problèmes technologiques. Les conséquences sont des retards importants, et des coûts de construction qui dépassent les prévisions.

    Le journal économiques "Les  Echos" voit les choses du côté des investisseurs, mais son analyse rejoint celle des anti-nucléaires : trop de centrales, trop coûteuses. Voici un extrait de leur article :

     

    On a le sentiment qu'on reproduit les mêmes erreurs que dans les années 1970-1980 : on « prévoyait » en 1975, sous la pression du lobby stopeprpenly.gifnucléaire, une consommation de 1.000 TWh en 2000 (contre 474 TWh en réalité) d'où le surdimensionnement du parc nucléaire, d'une douzaine de tranches, qu'on a connu.

    Et ce n'est pas la perspective d'une percée du véhicule électrique (« Les Echos » du 26 décembre 2008) qui risque de changer la donne : si l'objectif ambitieux de 1 million de véhicules électriques en 2020 était tenu, pour 10.000 km/an par véhicule, cela ne représenterait que 2, 5 TWh/an de consommation supplémentaire, moins d'un quart de la production d'un EPR, 0,5 % de la consommation nationale …

    On comprendrait mal dans ces conditions que le débat national sur le nouvel EPR de Penly, qui va s'ouvrir, se borne à des considérations locales et ne soit pas l'occasion de revenir sur les prévisions de demande et la pertinence des choix d'investissement. Et puis, dans la période actuelle, ne vaudrait-il pas mieux investir dans la réhabilitation thermique des bâtiments dont le contenu en emplois par million d'euros dépensé est au moins 5 fois supérieur à celui d'une centrale nucléaire.

    Les investisseurs éventuels qui s'intéressent à l'EPR de Penly seraient bien inspirés de ne pas trop se fier à ces « prévisions » officielles, mais de faire sérieusement leurs calculs de rentabilité en fonction de perspectives plus réalistes.

  • Auxon: la population s'est exprimée

    Auxon faisait partie des deux communes retenues pour recevoir un centre de stockage de déchets nucléaires.

     

    Ces deux communes, qui avaient fait acte de candidature, se sont maintenant retirées, sous la pression des anti-nucléaires et des habitants de la région.

    A Auxon, le maire est très remonté contre ses conseillers qui ont voté à l'unanimité contre le projet. Le maire a annoncé sa démission, qui deviendrait effective en août.

    Le conseil municipal s'appuie sur une consultation locale, dont les résultats sont clairs. Voici les chiffres repris de "L'Est Républicain":

     

    Les élus signataires en profitent également pour donner les résultats de la consultation des habitants d'Auxon sur le projet d'enfouissement. Il y a eu 556 bulletins exprimés pour environ 650 inscrits sur les listes électorales, soit 71 % de votes contre, 15 % de votes pour le projet et 14 % de sans avis.


    Le nombre de votant est élevé, et le score sans appel. Pourtant, le maire pense avoir Bure-ANDRA.JPGraison contre la majorité de sa population, et met en avant la création d'emplois dans ce secteur qui en est dépourvu.

    Malgré cet argument, les habitants n'ont manifestement pas voulu lier leur village au nucléaire,et prendre le risque à plus ou moins long terme de voir leur terres et leurs nappes phréatiques polluées de manière irréversible.

    L'ANDRA qui recherche un site au nom du gouvernement, n'est pas au bout de sa peine pour trouver une commune candidate. Nul doute que cela cogite dur dans les hautes sphères pour trouver une tactique plus efficace.