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actualités Ardennes - Page 102

  • GHSA : des annonces alarmantes.

    Le GHSA, Groupe Hospitalier Sud Ardennes, regroupe deux sites qui sont les anciens Centres Hospitaliers de Vouziers et Rethel.

    Une fusion pour rien

    La fusion imposée de ces deux établissements devait amener des synergies et générer des économies d'échelle. Le bilan montre une réalité beaucoup plus sombre, avec la fermeture de services (dont lesLogo_ghsa.gif deux maternités), une absence de complémentarité, et des difficultés financières croissantes.

    Dans les deux arrondissements on compte plus de 55.000 habitants, un bassin de vie qui semble suffisant pour justifier l'existence de services hospitaliers de base. Mais le contexte social et géographique, les choix politiques, et surtout la manière avec laquelle cette fusion s'est réalisée n'ont donné aucun résultat positif.

    Le site de Vouziers périclite sans chirurgie et sans maternité, avec un secteur d'hébergement de personnes âgées qui se trouve dans un état déplorable.

    Le site de Rethel vit quelques années plus tard la même descente, avec en plus des problèmes financiers majeurs. Le site traîne un déficit ancien, les choix politiques nationaux et des erreurs de gestion locale l'ont aggravé.

    Un conseil qui marque un nouvel échec

    Ce mercredi 24 octobre, s'est tenu un conseil de surveillance, instance statutaire de l'établissement. Il succède au conseil d'administration qui existait au sein des centres hospitaliers, mais le conseil n'a aucun pouvoir décisionnel.

    Ce conseil recevait le directeur de l'Agence Régionale de Santé (A.R.S.) et était élargi à l'occasion aux élus du secteur.

    Le directeur de l'ARS a annoncé la fin de la mission du directeur actuel Celui avait été nommé il y a 18 mois pour sortir l'hôpital de ses difficultés (voir notre note ). Ce départ précipité marque de l'échec de sa mission, puisque le déficit financier s'est aggravé et que la situation interne ne s'améliore pas . En particulier l'activité chirurgicale reste insuffisante pour de multiples raisons.

    Deux directeurs intérimaires vont arriver dès novembre, mais n'auront le réel pouvoir. Deux inspecteurs de l'IGAS (Inspection Générale des Affaires Sociales) vont être détachés sur le GHSA. Les tutelles nationales et régionales vont donc préparer les décisions à venir, pendant que les directeurs se chargeront des affaires  courantes.

    Dans six mois les choix seront validés et les restructurations débuteront.

    Une situation financière catastrophique

    Le site de Rethel connaît des difficultés budgétaires depuis des années. Les choix récents (en particulier la construction d'un nouveau bloc chirurgical) ont encore plus déséquilibré les finances.

    images?q=tbn:ANd9GcQEg6cPCq3mpZw_U1K29Z8WjfOo07v2ZWnuEO88L9uhvQa9QUgSTwOn arrive  maintenant à  une situation de cessation de payement. L'ARS va devoir combler une partie du déficit sur ses propres fonds. C'est cette situation qui fait que l'établissement n'est plus en mesure de négocier en face de l'ARS qui va imposer ses choix.

    Le trou se compte en millions d'euros sachant qu'à lui seul le bloc a coûté 6 millions . Au total le déficit atteint au minimum 9 millions. Il est possible de contester ce chiffre et de condamner à nouveau les choix qui ont été faits, mais en bas des livres de comptes c'est bien cette somme qui apparaît.

    Des investissements sont encore nécessaires (sécurité incendie à Rethel en particulier) et dans le contexte actuel aucun espoir de relance forte de l'activité ne semble crédible.

    Et Vouziers dans tout cela?

    Le site de Vouziers n'était pas le siège d'une situation financière difficile. Il a subi une baisse d'activité suite aux fermetures de services (maternité, chirurgie, réanimation), et a vécu difficilement la fusion avec Rethel.

    Le déficit est maintenant dans le pot commun, et plombe les projets locaux.

    Vouziers attend depuis de longues années la construction d'un nouvel EHPAD (Établissement d'Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes).

    La situation actuelle va compliquer ce dossier :

    Comment monter un projet sans véritable équipe de direction ?

    Comment financer la construction si l'établissement n'a plus de fonds propres et n'est plus en capacité d'emprunter ?

    Alors qu'ORPEA, opérateur privé finalise la construction de son EHPAP à Vouziers, l'établissement public n'a ni  projet architectural  disponible,  ni plan de financement crédible.

    Ce qui ne peut paraître n'être "que" des aberrations de gestion et de choix politiques aboutit à ce que des personnes âgées vivent leurs derniers jours dans des chambres communes indignes du respect qu'on leur doit.

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    L'EHPAD "Les Tilleuls" de Vouziers (Photo D.R.)

  • Chômage : et file le navire

    Michel Sapin, le ministre de l'emploi a comparé le chômage à un navire lancé à pleine vitesse.

    Ce fléau est effectivement difficile à stopper, mais on peut se demander si l'équipage en place a bien conscience du problème et s'il se donne tous les moyens pour le freiner. La dette est également préoccupante et le gouvernement se donne comme objectif de la réduire dès l'an prochain et promet un retour à l'équilibre budgétaire très rapidement. On se demande quelle priorité doit avoir une politique économique : la dette ou bien le chômage ? Les choix fiscaux, les priorités d'investissements ne seront pas identiques selon que l'un ou l'autre soit jugé primordial. Il semble à peu près acquis que l'élève soit au coeur de la politique de l'enseignement, que le malade soit au coeur de la politique de la santé. Mais au coeur de la politique économique que doit-on mettre ? L'homme, travailleur ou chômeur, ou bien l'argent et la logique financière?

    Pour ce mois de septembre, le navire chômage ne ralentit pas, et le voir s'arrêter en 2013 devient de plus en plus illusoire. F. Mitterrand se battait sur la ligne des 2 millions de chômeurs, nous voici à plus de 4 millions ! Et dans toutes ces batailles perdues depuis des décennies, combien de victimes qui ont souffert non pas quelque temps, mais la quasi totalité de leur vie.

    Voici les chiffres nationaux selon le ministère:

    Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A s’établit à 3 057 900 en France métropolitaine fin septembre 2012. Ce nombre est en hausse par rapport à la fin août 2012 (+1,6 %, soit +46 900). Sur un an, il croît de 10,1 %.
    Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégories B et C s’établit à 1 457 600 en France métropolitaine fin septembre 2012. En septembre, le nombre de ceux de catégorie B est en baisse de 0,2 % (+7,6 % sur un an) et le nombre de ceux de catégorie C diminue de 2,8 % (+2,7 % sur un an).
    Au total, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégories A, B, C s’établit à 4 515 500 en France métropolitaine fin septembre 2012 (4 797 200 en France y compris Dom). Ce nombre est en hausse de 0,5 % (+20 900) au mois de septembre. Sur un an, il augmente de 8,3 %.

    Pour la région, on constate que les Ardennes continuent  de souffrir, et ce n'est pas fini quand on voit l'actualité, à Revin en particulier. :

    Fin septembre 2012, dans le département des Ardennes, 15 780 personnes sont inscrites à Pôle emploi en catégorie A. Ce nombre augmente de 2,6 % par rapport à fin août 2012 ( + 397). Sur un an, il est en augmentation de 9,6 %.
    En Champagne-Ardenne, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A diminue de 1,2 % par rapport à août 2012 ( + 5,3 % en un an).


    Le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A, B, C s'établit à 22 457 dans le département des Ardennes, fin septembre 2012. Ce nombre augmente de 0,7 % (+ 165). Sur un an, il augmente de 7,0 %.
    En Champagne-Ardenne, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A, B, C reste stable de 0 % par rapport à août 2012 (+ 8,5 % en un an).

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  • Electrolux fermé...Dans deux ans !

    La réaction du blog des Lenoir et Mernier à l'annonce de la fermeture d'Electrolux à Revin

    Un nouveau coup brutal vient d'être annoncé par la Direction générale d'Electrolux. L'usine de lave-linge à Revin sera définitivement fermée dans deux ans, entrainant le licenciement de 419 salariés.

    Une décision surprenante car le groupe suédois  Ardam-Electrolux annonce une augmentation des bénéfices de 19% (115 millions d'Euros).

    Alors pourquoi fermer le site de Revin?

    Un projet initié par les syndicats, appelé "ARdennES" a pourtant été jugé constructif afin de produire une nouvelle machine à laver et relancer l'usine.

    Mais l'ambition des dirigeants n'est pas d'apporter de la valeur ajoutée ou de développer une activité industrielle et commerciale, mais de rentabiliser la valeur boursière des actionnaires.

    Et pour cela elle décide de délocaliser la production dans des pays à bas coût.

    Solidaire avec les salariés d'Electrolux, nous savons que rien ne sera facile. Deux ans pour retrouver un repreneur ou pourquoi pas créer une SCOP.

    Deux ans pour les syndicats et ouvriers a avaler les promesses des pouvoirs publics et de certains élus, alors que depuis longtemps déjà la plupart des décideurs ont condamné la vallée de la Meuse à ne devenir qu'un parc d'attractions pour bobos citadins, retraités fortunés ou touristes étrangers

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  • Pas de miracle pour L'Union

    Le journal de la région est la propriété du groupe Hersant, qui traverse de grosses difficultés financières .

    Des négociations ont été engagées pour la vente des différents titres du groupe, et le groupe belge Rossel était un des candidats au rachat. Le groupe possède de nombreux titres en Belgique (dont "Le Soir") et aussi en France (La voie du Nord ).

    image_73853074.JPGCette vente ayant échoué, le groupe Hersant dont l'endettement serait de 200 millions d'€ n'a pas réussi à trouver une autre issue. Il cède donc ses biens "par appartement" c'est à dire en  plusieurs lots.

    Le groupe Rossel ne semble pas devoir débourser une grosse somme pour cette acquisition, étant donnés la dette existante et les investissements à faire.

    Sur le plan social, Rossel envisagerait 220 départs pour un effectif actuel de 619 salariés : des départs "volontaires" pour la majorité des cas, mais tout dépend de ce que l'on considère comme volontaire.

    Dans un communiqué, le groupe Rossel confirme cet achat qui renforce sa place prépondérance enRossel_logo_1575%E2%80%86%C3%97%E2%80%86460.jpg Belgique et dans le nord de la France. Il y écrit " le pôle CAP est remarquable pour le taux de pénétration que ses journaux ont avec le temps réussi à atteindre dans leurs territoires. Ces titres constituent avec certitude des canaux essentiels d’information pour leurs habitants et de communication publicitaire pour les acteurs économiques".

    Mettre sur le même plan la fonction d'information et la communication publicitaire en dit long sur les valeurs défendues par le groupe.

    On peut toujours se rassurer en voyant que L'An Vert n'est toujours pas racheté, d'ailleurs sa valeur est largement au-dessus des possibilités du groupe Rossel, tout en fonctionnant sans recettes publicitaires !

    Quelque soit l'avenir réservé à notre (désormais belge) confrère, souhaitons que les employés actuels ne soient pas les  premières victimes de ce rachat.

  • Quelques photos de la manifestation pour la défense de l'hôpital à Rethel

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    Merci à Y.C. pour les clichés

  • Le GHSA Vouziers Rethel doit être sauvé : mobilisation le 11 octobre

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    Sauvez votre Hôpital !

     

     

    Les syndicats CGT-UNSA appellent à la mobilisation de

    la population Sud Ardennaise

    jeudi 11 octobre 2012

    de 9h à 12 h

    devant l’hôpital de Rethel

     

     

     

     

     

    Le directeur et l’ARS complices bradent l’hôpital

     

    Quels sont les projets de l’ARS pour le GHSA ?

     

    Le GHSA dispose d’une équipe médicale complète

     

    Les Syndicats veulent préserver le Service Public Hospitalier de Proximité

     

     

     

     

    Il faut affirmer, haut et fort que la Santé n’est pas une marchandise !

     

    L’hôpital n’est pas une entreprise !

    Votre présence est indispensable

    Sauvez votre hôpital

     

    Les syndicats CGT-UNSA appellent à la mobilisation de la population

    le jeudi 11 octobre 2012 de 9H à 12h

    devant l’hôpital de Rethel

     

    Le directeur et l’Agence Régionale de Santé complices bradent le GHSA

     

    La mise en vente de la partie historique du site rethélois n’était pas un canular !

     

    Suite aux multiples réactions l’annonce parue dans une agence immobilière a été retirée.

    Cependant cela démontrait la volonté de démantèlement du site de Rethel et de la délocalisation de services : plus de cuisine, plus de restauration pour le personnel, plus de service administratif, plus de réseau informatique.

    L’apport financier (sous évaluation du prix) que cela aurait apporté n’aurait pas couvert les investissements nécessaires à la réinstallation de ces services.

     

    Plus d’accouchement dans le Rethélois et le Vouzinois !

     

    Quels sont les projets de l’ARS pour le GHSA :

     

    La fermeture de la maternité en 2010 attestait la volonté de l’ARS de donner le départ du déclin du GHSA.

    Ce plan est une copie conforme de la restructuration du site de Vouziers, (fermeture en 1992 de la maternité, en 1994 menace de fermeture du bloc opératoire, fermeture définitive en 2009)). 20 accouchements réalisés en 2011 dans le véhicule SMUR avec mise en danger de la parturiente et du nouveau né.

     

    Comment l’ARS dans un premier temps permet au GHSA de faire des investissements (construction d’un nouveau bloc opératoire) puis dans un autre temps ne pas permettre à ce bloc de fonctionner correctement.

    L’ARS, responsable de la politique médicale dans notre région, fait tout pour fermer nos activités de soins. A aucun moment, l’ARS ne s’est engagée à pérenniser et développer notre offre de soins. Le taux de fuite vers les autres établissements est de 65% et peut être évité : pourquoi l’ARS ne fait pas le nécessaire pour nous aider à renforcer nos équipes et les éventuelles collaborations pour que nos citoyens se fassent opérés sur le site de Rethel et éviter ainsi les déplacements notamment en période d’intempérie. Un tel engagement rendrait service à la population et pourrait être économiquement très efficient.

     

    Plus d’activité chirurgicale dans le Rethélois et le Vouzinois !

     

    Pourtant nous avons un potentiel !

     

    Le GHSA dispose actuellement d’une équipe complète de praticiens chirurgiens:

    - 2 traumato-orthopédistes et 2 viscéralistes

     

    Ces chirurgiens renforcent les spécialistes de l’établissement : ORL, urologie, pneumologie, gastro-entérologie, phlébologie, anesthésie réanimation….

     

    Il est vital que l’hôpital continue d’assurer les activités chirurgicales, pour que la sécurité des patients soit optimale.

     

    Toutes les conditions sont réunies pour réussir le pari de sauver l’hôpital de proximité et de répondre au besoin de la population en matière de soins pour le sud Ardennes desservant 14 cantons pour environ 60000 habitants à condition que l’ARS aide l’établissement au lieu de l’achever.

     

    La survie du GHSA dépend de l’activité chirurgicale !

     

    Préserver le fonctionnement du bloc opératoire c’est pérenniser les activités restantes notamment

    Le scanner et l’accueil des urgences.

     

    Se faire soigner et pouvoir être suivi prés de chez soi est essentiel pour la qualité d’une prise en charge humaine.

     

    Les Syndicats CGT -UNSA veulent préserver le Service Public Hospitalier de Proximité.

    Nous devons agir pour que l’hôpital ait les moyens humains et techniques pour répondre aux besoins des sud ardennais

     

    Pour sauver votre hôpital rejoignez nous le jeudi 11 octobre

  • Vers une société sans services publics ?


    Soirée débat organisée par la Ligue des Droits de l’Homme

    le mardi 9 octobre 20H30 à Vouziers

    au C.P.R rue de l'Agriculture

     

    La suppression des services publics se fait dans le silence et la discrétion. Celle-ci n’est-elle pas un facteur aggravant des inégalités entre riches et pauvres, entre la ville et la campagne, quand ces services désertent des zones géographiques importantes ?

     

    Les services publics sont pourtant garants de la cohésion sociale et de l’égalité de traitement des citoyens. L’action publique ne doit-elle être considérée que comme une charge ? Le citoyen est-il usager ou client ?

     

    Pour débattre de ces questions cruciales dans notre arrondissement, la section vouzinoise de la Ligue des Droits de l’Homme invite, mardi 9 octobre à 20h30, au Centre Polyvalent Rural de Vouziers, deux personnalités fortement investies sur ce sujet, Patrick TASSIN et Gérard ASCHIERI.

     

    Patrick TASSIN Gérard ASCHIERI

     

    Patrick TASSIN, Ardennais, enseignant de lycée professionnel, militant syndical à la CGT, représente les organisations syndicales de salariés au CESER (Conseil Economique, Social et Environnemental de Champagne-Ardenne) qu’il préside depuis 2007. Le CESER regroupe au niveau régional des membres de la société civile (représentants des employeurs, des salariés, des chambres consulaires, du secteur associatif, de la recherche, de l'enseignement supérieur, de la protection sociale...). Son rôle, consultatif, consiste à émettre des propositions au Conseil Régional qui peut aussi solliciter l’avis du CESER sur des dossiers dont il est à l’initiative.

    Parmi ses réalisations, le CESER a rendu le 11 avril 2011, en partenariat avec l'INSEE, une étude régionale consacrée aux activités économiques de proximité.

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    Tandis que Patrick TASSIN apportera son expertise des réalités locales et sa connaissance des spécificités de notre milieu rural, Gérard ASCHIERI enrichira le débat de sa vision nationale de l’évolution des services publics. Professeur agrégé de lettres notoirement connu, Gérard ASCHIERI a été secrétaire général de la FSU, puissant syndicat de l’Enseignement dont il préside toujours l'Institut de recherches.

    Membre du Conseil Economique, Social et Environnemental National, il représente ce conseil à la Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme. Enfin, membre du Comité Central de la LDH, Gérard ASCHIERI est l'auteur du chapitre intitulé « Face à la crise, la solidarité : garantir les droits et investir dans le service public » de l’édition 2012 de l’ouvrage collectif publié par la LDH : L'Etat des droits de l'Homme en France.

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    Alors que les politiques d’austérité se succèdent, La Ligue des Droits de l’Homme vous invite à venir nombreux mardi soir au CPR manifester votre soutien aux services publics, garants des droits fondamentaux des populations rurales.