Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 5

  • L'ACIPA solidaire des militants opposés au projet de barrage du Testet

    De Notre Dame des Landes au Testet, non aux projets inutiles, oui à la préservation des zones humides.

    Communiqué de presse du mercredi 3 septembre 2014

    L'ACIPA apporte son total soutien aux défenseurs de la zone humide du Testet dans le Tarn, sur laquelle est prévue la construction d'un barrage.

    De très nombreuses similitudes sont en effet évidentes entre ce projet de barrage et le projet de Notre Dame des Landes : projet inutile, destruction de zone humide, pas de concertation possible, répression des opposants, etc....

     

     Ces derniers jours ont vu le démarrage de travaux de déboisement sous haute protection policière et la résistance pacifique des opposants a été violemment réprimée. Une grève de la faim a aussi été commencée.

    L'ACIPA en appelle aux autorités et les enjoint à geler les travaux jusqu'à l'issue des recours juridiques en cours, sur le modèle de ce qui se passe à Notre-Dame-des-Landes, avancée arrachée aux politique locaux à l'issue d'une longue grève de la faim de 28 jours. Faudra-t-il une attente aussi intolérable au Testet où les grévistes entament leur 2ème semaine ?

     L'ACIPA appelle ses adhérents, sympathisants et comités de soutien qui le peuvent, à apporter leur soutien à la lutte du Testet.

    Pour en savoir plus sur la lutte du Testet

     

     

    -51643e855cf73.jpg

     

  • Jaures assassiné deux fois !

    jaures_1.jpgVendredi 19 Septembre à 20h30
    au THEATRE MUNICIPAL de
    CHARLEVILLE - MÉZIÈRES
    Tél réservat.: 03.24.32.44.50 au théâtre (de 14h à 18h)

     

    Le spectacle commence le 31 juillet 1914... Jaurès vient d'être assassiné.
    Trois jours plus tard, un autre coup de tonnerre bouleverse la France: la guerre éclate.
    Grâce à Louise, sa femme, qui reçoit de plein fouet la mort de son mari, nous découvrons l'intimité de ce grand tribun qui croyait en la fraternité et s'est battu toute sa vie pour la paix entre les peuples.
    Elle évoque ses combats pour l'amélioration de la vie de ses concitoyens, ses engagements, ses discours enflammés sur la laïcité, sur le courage, sur le pacifisme, son admiration pour Victor Hugo, ses indignations devant l'injustice, sa prise de position dans l'affaire Dreyfus...
    Le spectacle aborde aussi la peur des jeunes soldats jetés dans la "sale guerre".
    Il se termine par le procès de l'assassin de Jaurès, un extrémiste de droite, en 1919 et le verdict...

     

    jaures-assassine-deux-fois-zegs.jpg

  • Sénatoriales, on vote dans les Ardennes

    Cette élection ne passionne pas habituellement les foules, et ce pour plusieurs raisons.

    Le sénat est renouvelé tous les trois ans, par tiers des départements, ce qui fait que le scrutin peine à prendre une importance nationale, d'autant que le rôle du Sénat est mal connu. D'autre part, il s'agit d'un vote indirect, seuls les "grands électeurs" votent, c'est-à-dire les élus locaux ou leurs représentants.

    inauguration foire  05. 2014 073.jpgPourtant lors du dernier renouvellement la gauche est devenue majoritaire, conséquence logique des conquêtes des villes et collectivités territoriales dans les élections précédentes. Le dernier renouvellement des équipes municipales a été un véritable désastre pour le PS, ce qui laisse penser qu'un nouveau basculement à droite est possible. Jean-Pierre Raffarin s'est d'ailleurs déjà positionné en candidat à la présidence du Sénat. Les Ardennes sont représentés par deux sénateurs de droite, et la perte de nombreuses villes lors du scrutin municipal de l'an dernier ne laisse aucune possibilité à la gauche d'obtenir un siège. D'après le site FR3, voici les candidats possibles localement :

    "Dans les Ardennes, les deux sénateurs sortants UMP se représentent : respectivement président et vice-président du Conseil Général, Benoît Huré et Marc Laménie (photo ci-dessus) sont aussi soutenus par l'UDI et les divers droites.
    Quatre autres candidats ont déjà affirmé qu'il se présentait : Baptiste Touchon du Parti Socialiste, Eric Samyn du Front National, Sylvain Dalla Rosa, Parti Communiste et Jean-François Leclet de l'UDI."

  • La radiation de Rebsamen s’impose

    4 septembre par Patrick Saurin, qui est porte-parole de Sud BPCE, membre du CADTM (Comité pour l’annulation de la dette du Tiers-Monde) et du CAC (Collectif pour un audit citoyen de la dette publique).

     

    Rebsamen contrôle les chômeurs… Nous avons contrôlé Rebsamen !

    Après avoir préconisé en mai dernier un moratoire sur les seuils sociaux |1|, seuils considérés par les patrons comme des « freins à l’embauche », François Rebsamen, ministre du Travail, de l’Emploi et du Dialogue Social, vient de s’illustrer une nouvelle fois en demandant à Pôle emploi « de renforcer les contrôles pour être sûr que les gens cherchent bien un emploi ». En clair, il y aurait des chômeurs qui abusent, profitent et contribuent à creuser le déficit du pays. Et le ministre de réclamer « un état d’esprit différent » se traduisant par « des convocations, des vérifications, […] sinon on est radié ». Ainsi, la préoccupation du ministre n’est pas de lutter contre le chômage et faire en sorte que des emplois soient proposés aux travailleurs qui en sont privés, mais de mettre l’accent sur le contrôle des chômeurs et sur la sanction le cas échéant.

    Les propos tenus par François Rebsamen sont tout à la fois scandaleux, malhonnêtes et déplacés au vu de l’absence d’exemplarité dont fait preuve l’intéressé comme nous allons le démontrer dans les lignes qui suivent.

    Ces propos sont scandaleux car, singeant ceux de la droite et de Nicolas Sarkozy |2| , ils jettent l’opprobre sur plus de 6 millions de personnes inscrites à Pôle emploi |3|, auxquelles il faut ajouter celles qui ne touchent aucune aide de la part de l’État, soit du fait d’une radiation, soit parce qu’elles ne sont tout simplement pas inscrites à Pôle emploi. Ce type de critique essentialiste véhiculant le discours « classes laborieuses, classes profiteuses », cher à la droite et à l’extrême droite, en dit long sur l’état de délabrement du parti socialiste et de ses dirigeants.

    La déclaration du ministre est également malhonnête, car en focalisant son attaque sur les travailleurs privés d’emploi il laisse penser que la fraude des chômeurs représente un coût considérable pour la collectivité, bien avant d’autres fraudes. Or la réalité est tout autre. Dans son rapport Lutte contre la fraude. Bilan 2012 |4|, la délégation nationale à la lutte contre la fraude nous apprend que les montants de fraude détectée représentent 39,2 millions d’euros pour Pôle Emploi |5|, sur un total de fraude détectée de 4,629 milliards d’euros |6|. Les « fraudes des chômeurs » ne représentent que 0,8 % des fraudes détectées, alors que les fraudes fiscales constituent 79 % du total, sachant que le syndicat Solidaires finances publiques estime le manque à gagner du fait de la fraude et de l’évasion fiscales entre 60 et 80 milliards d’euros par an |7|. Rebsamen préfère faire les poches des chômeurs pour leur soutirer quelques euros que de s’attaquer à des Cahuzac, des évadés fiscaux et des sociétés qui domicilient des milliards en toute impunité dans les paradis fiscaux.

    arton10630-8bae7.jpgL’intervention de François Rebsamen en posture de donneur de leçons est tout simplement scandaleuse. Nous en voulons pour preuve la façon dont il a géré la ville de Dijon jusqu’à ce qu’il abandonne ses fonctions à l’occasion de sa nomination dans le gouvernement de Manuel Valls. En effet, Dijon présente la particularité d’avoir une dette constituée à 45 % d’emprunts toxiques. Au 31 décembre 2012, sur un encours total de 214 millions d’euros, la ville avait une dette toxique de 97 millions d’euros. Les emprunts risqués de la collectivité au titre de ses trois budgets sont au moins au nombre de 30 (23 emprunts classés E et 7 emprunts classés F) |8|. Le risque se vérifie à travers le montant démesuré des soultes (les indemnités à régler pour dénouer les contrats). Pour preuve, l’état de la dette du compte administratif 2012 fait ressortir des coûts de sortie considérables |9|. Citons par exemple les trois prêts n° 200709-1, 200709-2 et 200804 souscrits auprès du Crédit Foncier de France qui présentent selon l’état de la dette 2012 un coût de sortie chiffré respectivement à 3 294 207,79 euros, 809 422,45 euros et 18 126 219,04 euros, des sommes plus de deux fois supérieures aux capitaux restant dus de ces prêts qui s’élèvent respectivement à 1 369 684,17 euros, 336 546,20 euros et 7 536 620,90 euros ! Enfin, le risque est également attesté par les multiples instruments de couverture souscrits pour couvrir les risques attachés à certains contrats (cf.) qui ont représenté un coût net de 1 479 133,79 euros pour le budget principal et de 14 003,34 euros pour le budget stationnement, autant de charges s’ajoutant aux intérêts des emprunts |10|. Au vu de ce bilan catastrophique, un aussi piètre gestionnaire que Monsieur Rebsamen est illégitime pour faire la leçon à d’autres.

    Plus grave, bon nombre de ces emprunts toxiques ont été souscrits auprès de Dexia Crédit Local de France |11|, sachant que François Rebsamen a été administrateur de Dexia jusqu’au 23 octobre 2008 et percevait à ce titre 20 000 euros par an, une situation susceptible de relever de la prise illégale d’intérêt |12|. Dès 2003 |13|, il était déjà membre du conseil de surveillance de Dexia Crédit Local, présidé à l’époque par Pierre Richard, et touchait à ce titre une rémunération annuelle de 15 000 euros |14|.

    Enfin, à une inaptitude caractérisée en matière de gestion du bien public, à une conception toute particulière de la déontologie, il faut ajouter au bilan du ministre du travail une pratique assidue du déni de démocratie dont peuvent témoigner les membres du Collectif de Côte-d’Or pour un audit citoyen de la dette (CAC 21). En effet, soucieux de faire la lumière sur la dette de leur collectivité, ces citoyens dijonnais ont sollicité à plusieurs reprises |15| François Rebsamen pour obtenir la copie des contrats d’emprunt, tableaux d’amortissement et autres documents nécessaires à la réalisation de l’audit de la dette de leur ville. Sollicité à de multiples reprises, le maire a opposé à chaque fois une fin de non-recevoir, et ce en totale infraction avec les droits accordés aux administrés |16|. Ce déni de démocratie a amené ces citoyens à saisir le tribunal administratif de Dijon pour se substituer au maire défaillant dans le cadre d’une action connue sous le nom d’ « autorisation de plaider ».

    Au terme de ces pitoyables états de service de François Rebsamen, une seule solution s’impose pour lui : la radiation définitive du paysage politique.

    Notes

    |1| Cela consisterait à dispenser les employeurs de l’obligation de mettre en place des délégués du personnel dans les entreprises de plus de 11 salariés ainsi qu’un Comité d’Entreprise et un Comité d’Hygiène et de Sécurité des Conditions de Travail dans celles de plus de 50, ce qui détermine également la représentation syndicale mais aussi le déclenchement d’un « Plan de Sauvegarde de l’Emploi ».

    |2| Voir sur cette question l’article de Laurent Mauduit, « Que la chasse aux chômeurs commence », publié sur Mediapart : http://www.mediapart.fr/journal/france/020914/que-la-chasse-aux-chomeurs-commence

    |3| Selon le communiqué de presse du 27 août de la DARES et de Pôle emploi, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi s’élève à 6 050 100 personnes : http://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/Communique-de-presse-PPBVN18.pdf

    |4| http://www.economie.gouv.fr/files/files/directions_services/dnlf/DNLF_nov_2013.pdf

    |5| Ibid., p. 55.

    |6| Ibid., p. 5.

    |7| Rapport du syndicat national Solidaires Finances Publiques, « Evasions et fraudes fiscales, contrôle fiscal », janvier 2013, p. 19 : http://solidairesfinancespubliques.fr/gen/cp/dp/dp2013/120122_Rapport_fraude_evasionfiscale.pdf

    |8| pp. 219-221 de l’état de la dette 2012 de la ville de Dijon.

    |9| pp. 187 à 202 pour le budget principal, pp. 205-208 pour le budget stationnement et pp. 210 à 212 pour le budget auditorium de l’état de la dette du compte administratif 2012 de la ville de Dijon.

    |10| Ibid., pp. 214-217.

    |11| Ces emprunts sont mentionnés dans l’état de la dette avec le nom de ce prêteur ou avec celui de la Société Française de Financement Local – Caisse Française de Financement local (SFIL-CAFFIL sont les structures publiques qui ont repris les encours de Dexia après le démantèlement de cette banque décidé fin 2012).

    |12| L’article 432-12 du Code pénal réprime le fait, « pour un élu municipal de prendre, recevoir ou conserver, directement ou indirectement, un intérêt quelconque dans une entreprise ou dans une opération dont l’intéressé a la charge d’assurer la surveillance, l’administration, la liquidation ou le paiement ».

    |13| Nous n’avons pas pu remonter plus avant car les comptes de Dexia Crédit Local ne sont pas accessibles au-delà de cette date sur le site de cette banque.

    |14| Voici les liens et les références permettant de consulter les rapports annuels de Dexia Crédit Local de 2003, 2007 et 2008 :
    http://www.dexia-creditlocal.fr/SiteCollectionDocuments/dexia%20credit%20local/rapport%20annuel/rapport_annuel_2003.pdf(sur la qualité de membre du conseil de surveillance et sur le montant de la rémunération de Monsieur François Rebsamen : cf. pp. 8 et 23 de ce rapport).
    http://www.dexia-creditlocal.fr/SiteCollectionDocuments/dexia%20credit%20local/rapport%20annuel/Rapport-annuel_%202007_%20FR.pdf
    (sur la qualité de membre du conseil d’administration et sur le montant de la rémunération de Monsieur François Rebsamen : cf. pp. 57 et 60 de ce rapport).
    http://www.dexia-creditlocal.fr/SiteCollectionDocuments/dexia%20credit%20local/rapport%20annuel/Rapport-annuel_2008_FR.pdf
    (sur la qualité de membre du conseil d’administration et sur le montant de la rémunération de Monsieur François Rebsamen : cf. p. 54 et 58 de ce rapport).

    |15| Peuvent l’attester les courriers du collectif d’audit citoyen datés des 30 septembre 2013, 5 juin 2013, 14 janvier 2014, 4 juillet 2014 restés sans réponse, et la visite de certains membres du collectif à la Mairie le 25 février 2014 tout aussi infructueuse.

    |16| Selon la loi n° 78-753 du 17 juillet 1978, « toute personne physique ou morale a le droit de demander communication des procès-verbaux du conseil municipal, des budgets et des comptes de la commune et des arrêtés municipaux ».

  • 64e prix pédestre de Vouziers

    La course en ville organisée pendant la fête de Vouziers constitue plus qu'une tradition, elle est devenue une véritable institution.

    Le 64e prix pédestre a donc animé ce dimanche, avec la participation d'un soleil qui a rapidement fait monter la température dans l'après-midi, durcissant les conditions de l'épreuve. Les concurrents de la course des as avaient 10 Km à parcourir, soit trois tours d'un circuit exigeant. Les bénévoles de Vouziers Oxygène avaient bien préparé la compétition, en tant qu'organisateurs bien entendu, mais aussi pour beaucoup en tant que participants.

    Voici des images de la course :

    Prix pédestre fête de Vouziers 09.2014 105.jpg

    Aymeric Lecomte, vainqueur en 34' 14"

    Prix pédestre fête de Vouziers 09.2014 113.jpg

    Auguste Martinot a terminé deuxième

    Prix pédestre fête de Vouziers 09.2014 244.jpg

    Chistopher Gérard, le troisième de l'épreuve

    Prix pédestre fête de Vouziers 09.2014 250.jpg

    Nicolas Suquet termine 6e et premier local.

    vouziers,prix pédestre,course à pied

    Celine Bosc (dossard 162) première féminine.

    vouziers,prix pédestre,course à pied

    Jennifer Tribut, arrivée deuxième chez les féminines.

    vouziers,prix pédestre,course à pied

    Séverine Limousin complète le podium des féminines, à la troisième place.

    Prix pédestre fête de Vouziers 09.2014 078.jpg

    Quand on aime (courir), on ne compte pas (les années)

     

  • 9 ans de retard en prévision pour l’EPR finlandais

    Extrait du communiqué de "Sortir du Nucléaire"

    Le 1er septembre 2014, Areva a annoncé dans un communiqué un énième retard pour le chantier du réacteur nucléaire EPR en construction à Olkiluoto (Finlande). La mise en service serait précédée d’une longue "phase d’essais" qui laisse déjà anticiper de nombreux problèmes non réglés. En attendant, le gâchis financier et humain se poursuit

    L’EPR d’Olkiluoto ne sera pas mis en service avant 2018

    Selon le calendrier actualisé élaboré par Areva, la construction de l’EPR d’Olkiluoto pourrait prendre fin à la mi-2016, avec une mise en service prévue en 2018 suite à plusieurs essais. Avec cette longue période d’essai, Areva prévoit donc déjà que tout ne sera pas au point et qu’il faudra du temps pour régler de nombreux bugs. Au vu des retards récurrents sur ce chantier, on peut raisonnablement s’attendre à ce que cette période "d’essais" s’étale encore sur quelques années supplémentaires…

    Pour rappel, lorsque la construction avait démarré en 2005, l’EPR était censé produire ses premiers mégawatts dès le printemps 2009.

    Areva_EPR_finlandais.jpg

    Pourquoi ce retard ?

    Officiellement, "l’approbation du contrôle-commande de la centrale est le facteur principal à l’origine des retards enregistrés dernièrement par le projet". Cela fait en effet 5 ans que ce mécanisme crucial pour la sûreté du réacteur pose problème : en 2009, les autorités de sûreté nucléaire françaises, anglaises et finlandaises avaient exprimé leurs inquiétudes devant les insuffisances de sa conception. Récemment validé quant à sa conception théorique, ce mécanisme complexe reste encore à construire.

    Toutefois, la complexité du réacteur n’est pas seule en cause. Les bisbilles entre Areva et TVO, l’opérateur finlandais, ont largement contribué au retard. En février 2014, le quotidien finlandais Kauppalehti avait révélé que le chantier était au point mort suite à ces différends, les deux parties s’accusant mutuellement des retards et surcoûts et se réclamant plusieurs milliards d’euros de compensation.

    La situation ne semble pas apaisée, Areva indiquant que "le calendrier actualisé repose sur des hypothèses et des engagements qui requièrent l’implication de TVO". Une manière bien facile de se décharger en imputant la responsabilité de retards supplémentaires à la mauvaise volonté de l’opérateur finlandais...

  • Inauguration de la fête communale de Vouziers

    Ce samedi  a débuté la fête communale de Vouziers, qui a été inaugurée par les personnalité tandis que les manèges commençaient leur ronde habituelle.

    Pendant 5 jours, les manifestations habituelles vont se succéder (bals, course à pied, concert, manège, pétanque, ...), marquant pour les Vouzinois la fin de la période des congés et une rentrée qui est difficile pour beaucoup : Les restrictions budgétaires des ménages risquent de se répercuter dans la fréquentation des attractions foraines.

    Voici des images de cette inauguration :

    Inauguration fête de Vouziers 09.2014 004.jpg

    Les attractions sont pratiquement identiques d'année en année, heureusement que les générations qui les fréquentent se renouvellent naturellement.

    Inauguration fête de Vouziers 09.2014 010.jpg

    Le Maire et le Conseiller Départemental de Vouziers ont coupé le ruban traditionnel.

    Inauguration fête de Vouziers 09.2014 024.jpg

    Les officiels et l'Harmonie Municipale se sont frayés un passage dans les allées de la fête.

    Inauguration fête de Vouziers 09.2014 044.jpg

    L'Harmonie Municipale a interprété plusieurs morceaux devant la salle des fêtes. Elle a ainsi fait patienter les personnes présentes, un problème technique ayant retardé l'entrée dans la salle.

    Inauguration fête de Vouziers 09.2014 053.jpg

    Après quelques mots de bienvenue de la part du Maire, c'est Magali Roger, son adjointe chargée des fêtes, qui a prononcé un discours annonçant le programme de ces jours de fête communale.