Depuis quelques jours, des éclairages sont installés au niveau des passages protégés du centre ville.
Le maire s'était engagé à sécuriser ces points, en particulier sur le trajet des enfants vers les établissements scolaires.
A l'entrée de l'hiver, la réalisation concrète de cette promesse trouve toute son utilité. Il est parfois difficile d'apercevoir un piéton qui s'engage, surtout en cas de pluie et en croisant d'autres véhicules avec des lumières allumées.
Cette mesure s'ajoute à la vitesse limitée à 30 au centre ville, et devrait sécuriser un peu plus le parcours des écoliers, collégiens et lycéens.
Ce qui n'empêche pas de rester d'une grande prudence au volant, tant un choc avec un piéton laisse peu de chances à celui-ci de s'en sortir avec des blessures légères.
Il reste des conducteurs au comportement impardonnable dans le secteur, certains accidents récents en sont la triste preuve. Ce samedi, les autorités locales, Sous-préfet en tête, étaient encore mobilisés contre l'alcool au volant.
Il faudra résoudre le problème de points noirs sur certains axes, mais l'état des finances du département nous laisse penser qu'il faudra faire preuve d'une grande patience avant la prise en compte de toutes ces situations à risque.
Le Grenelle de l’environnement avait mis en place une taxe générale sur les activités polluantes (TGAP) qui s’applique aux déchets entrant dans les incinérateurs ou les centres d’enfouissement techniques. Le produit de cette taxe devait être intégralement reversé à l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (ADEME) pour financer la politique prioritaire « déchets », donc principalement la réduction à la source, puis le recyclage. Depuis le Grenelle, les parlementaires votent abattement sur abattement réduisant la portée de la TGAP tandis que l’ADEME ne tient pas ses engagements.
La position d'Eva Joly se trouve affaiblie, puisqu'elle n'a pas participé aux négociations. Elle garde ses positions sur l'EPR (c'est à dire l'arrêt de Flamanville) alors que l'accord ne comporte pas le même choix.
Dans la
majeur. Cela entraîne des tensions, et les forces de l'ordre tentent d'empêcher l'immigration venue des îles voisines : leurs habitants sont considérés comme des immigrants clandestins, alors qu'ils font partie de la même ethnie, voire de la même famille que les habitants de Mayotte.
2007-201 : un quinquennat d'incohérences et d'injustices »1 et celui de la mission Sainteny pour le Conseil d’Analyse Stratégique sur « les aides publiques dommageables à la biodiversité »2 contiennent de nombreuses propositions qui auraient l’avantage de supprimer des subventions à la pollution, tout en dégageant de nouvelles recettes.
Ces subventions à la pollution pèsent lourdement sur le budget de l’Etat et vont à l’encontre des objectifs que la France s’est fixée lors du Grenelle de l’Environnement, en matière de lutte contre le changement climatique et de protection de la biodiversité. Elles sont aussi contraires à l’engagement du G20 de réduire et de réorienter les subventions aux énergies fossiles, au profit de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables.
canif supplémentaire à l'accompagnement de modes de vie respectueux de l’environnement (rabot sur le crédit développement durable, augmentation de la TVA pour les travaux de rénovation des logements). De même, afin de réaliser des économies sur le PTZ+, il devrait non pas le centrer sur le neuf (et favoriser ainsi l’étalement urbain), mais le conserver à la fois pour le neuf et l’ancien en le conditionnant à un niveau élevé de performance énergétique3 .
Collectif des Citoyens perdus) opposées à la participation du syndicat Force Ouvrière (F.O.) à ces discussions ont claqué la porte. A 9 heures lundi, le négociateur Denis Robin, les patrons de la grande distribution et le secrétaire général de FO, Madi M'Colo étaient déjà à la table des négociations. A leur arrivée à 9 heures 45, les leaders de l'intersyndicale ont signifié leur opposition catégorique à la présence de F.O. et ont rebroussé chemin vers la grande terre.
pas cessé de faire entendre clairement sa position au négociateur Denis Robin qui, selon lui, veut absolument imposer sa méthode de travail.