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ardennes - Page 2

  • Cabaret durable

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    DURABLE JUSQU’À LA MOELLE

    Le développement durable, c’est pas juste un concept à la mode. C’est l’affaire de tous, et c’est l’âme du Cabaret Vert. Le festival ne se serait jamais monté sans l’envie des organisateurs de sensibiliser le public à ces problématiques.

    Le Cabaret est un tout. On la joue durable dans tous les compartiments du festival… La musique, le cinoche, la BD, les spectacles, la nourriture, la boisson, l’accueil, les intervenants. On essaie être cohérent.
    On parle d’écologie bien sûr, de biodiversité, de gestion des déchets, d’énergie, mais aussi de lien social, de consommation responsable, de circuits courts, de la vie d’un territoire, d’entrepreneuriat social, de solidarité…

    Parce que le développement durable, c’est une question de vivre ensemble. Cette année, tous les intervenants, les prestataires, les partenaires, les bénévoles du festival ont signé les Engagements du Cabaret durable, avec des objectifs à long terme et d’autres à atteindre dès cette année. Un véritable engagement concret, chiffrable, réel. Histoire que cet idéal ne soit pas que des mots jetés en l’air. On dit, on fait. Qu’est-ce qu’on construit ? Qu’est-ce qu’on va laisser ? Qu’est-ce qu’on peut apprendre les uns des autres ? Et comme en Ardennes on a du savoir-vivre, on se nourrit de tout ça sans se prendre la tête, et sans jouer les naïfs, en écoutant un bon concert et buvant une bonne bière, au vert.

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  • Tribune libre

    En cette période de campagne électorale, nous publions une tribune libre que nous a fait parvenir un lecteur de l'An Vert.

    Cette tribune est signée, et le texte proposé n'engage que son auteur.

    Sous réserve de ne pas contenir des mentions racistes, xénophobes ou d'exclusion, et d'éviter les attaques sur les personnes, nous publierons d'autres contributions qui nous parviendraient.

     

    Suite à l’article paru dans l’édition de l’Ardennais du samedi 21 mai sur la candidature aux législatives dans la 3ème circonscription des Ardennes de M. Jean-Luc Warsmann, je tenais à réagir et faire part de quelques remarques et interrogations personnelles :

    Pourquoi je ne peux pas apporter mon vote à Jean-Luc Warsmann, député sortant, candidat à sa réélection dans la 3ème circonscription des Ardennes ( Sans étiquette cette fois : indépendant après 4 mandats sous l’étiquette d’un parti politique ) ?

    Il n’est pas question de divergences politiques profondes, voire de sanction sur les mandats effectués, M. Warsmann n’étant certainement pas le député le moins actif, ni le moins capable de proximité avec notre ruralité excentrée.

    Mon incompréhension et mes reproches portent sur le choix de son suppléant, et cela pour 2 raisons : en premier il peut paraître surprenant alors qu’on parle de la nécessaire parité en politique, que le choix se soit arrêté sur un homme.

    Mais là n’est pas le plus surprenant voire regrettable, je ne comprends pas le choix de M. Villenet, ardennais certes depuis 2016, qui dit vouloir "mettre son expérience au service de la circonscription pour défendre le maintien d’une médecine de proximité" ! ! ! soulève quelques doutes et interrogations de ma part !

    Comme il le précise M. Villenet a été délégué territorial de l’ARS des Ardennes pendant plusieurs années et grand maître de la " réorganisation " du secteur médical et des centres hospitaliers du département . Quand j’évoque la réorganisation et la restructuration, les termes de déstabilisation et d’annihilation me sembleraient plus appropriés. Certes il s’est montré rigoureux et efficace dans l’application et la mise en œuvre strictes voire brutales des consignes et préconisations gouvernementales souvent incohérentes et inadaptées au regard des situations locales, laissant peu de place à la concertation et au dialogue avec les professionnels, élus et usagers du secteur ; peut-être écoutait-il par obligeance mais n’entendait certainement pas car il semblait être seul à détenir la connaissance, la vérité et surtout le pouvoir. Chacun a pu constater ce qu’il en résultait de cette incapacité à tenir compte et adapter en fonction des disparités et spécificités locales.

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  • Les Ardennes plus que nature

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  • Mais c'était cui celui-là ?

    Voici les réponses à notre série de clichés à identifier. Certains oiseaux étaient faciles à reconnaître, d'autres plus ardus à nommer. Sauf mention complémentaire, tous ces photos ont été prises dans le même jardin à Vouziers. Bravo à Karine qui a validé 4 bonnes réponses sur 4.

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    Choucas des tours 

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    Étourneau sansonnet

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    Pic épeiche

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    Rougequeue noir

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    Héron cendré, près du Chesne.

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    Gobemouche gris

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    Chardonneret élégant

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    Linotte mélodieuse

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    Fauvette à tête noire (femelle)

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    Mésange bleue

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    Corbeau freux

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    Mésange charbonnière

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    Pinson des arbres

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    Pic vert

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    Cigogne blanche ( au-dessus du canal, entre Terron et Voncq)

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    Geai des chênes

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    Grues cendrées ( près de la gare de Voncq)

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    Troglodyte mignon

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    Grande aigrette ( Marais de Germont)

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    Accenteur mouchet

     

  • Pour l'amélioration des conditions d'accès à l'IVG dans les Ardennes

    Le 8 octobre, l’Assemblée Nationale a approuvé plusieurs avancées de la loi IVG indispensables pour permettre aux femmes d’accéder réellement à ce droit fondamental que la situation actuelle ne leur donne pas.

    Ainsi dans le département des Ardennes, sur les trois centres d’orthogénie, seul celui de Rethel propose encore l’IVG chirurgicale, les médecins de Charleville ayant fait valoir leur clause de conscience.

    Dans le chef-lieu comme à Sedan, les sages-femmes peuvent pratiquer l’IVG médicamenteuse, mais dans un délai bien trop court.

    Que dire des secteurs éloignés tels que la Vallée et le Vouzinois dont les CPEF de Revin et Vouziers ne peuvent, concernant l’IVG, que recevoir pour les entretiens préalables ? Il faut alors orienter les femmes vers les autres centres du département, entraînant un déplacement qui constitue pour beaucoup un obstacle, pour d’autres la nécessité de chercher hors du département ou à l'étranger des lieux où se pratique l'IVG.

    Notons que 20 % des femmes accueillies pour ces entretiens ont subi des violences.

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  • IVG, un accès restreint dans les Ardennes

    Alors que les députés doivent examiner cette semaine un texte de loi modifiant les conditions d'accès à l'IVG, les femmes habitant les Ardennes ne bénéficient pas des conditions minimales pour accéder aux dispositions prévues par la législation actuelle.

    Les sections de Charleville et de Vouziers de la Ligue des Droits de l'Homme se sont adressées aux députés ardennais pour dénoncer les manquements existants et pour réclamer la mise en place d'améliorations nécessaires.

    Vous trouverez ci-dessous une copie de ce courrier.

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  • Sécheresse : les centrales nucléaires de Chooz sont à l'arrêt, le débit de la Meuse étant trop faible

    Extraits de l’article de la rtbf.be

    La production électrique d’origine nucléaire est désormais réduite. Chooz, sur la Meuse, en France, a mis ses deux centrales à l’arrêt. Le débit du fleuve est trop bas depuis une douzaine de jours.

    Dans ces circonstances, l’eau pompée pour refroidir les réacteurs et ensuite rejetée dans le fleuve, perturberait l’écosystème et l’approvisionnement en aval.

    10% de la production nucléaire française

    Techniquement, les centrales de Chooz pourraient fonctionner mais un accord belgo-français les en empêche. Dès que le débit descend sous les 22m³/seconde pendant 12 jours consécutifs, un réacteur doit s’arrêter. Si l’on passe sous les 20m³/seconde, les deux unités sont stoppées.

    La perte n’est pas mince. Elle représente un dixième de la capacité de production nucléaire française.

    Vulnérabilité nucléaire

    Les étés mettent régulièrement en évidence la difficulté des sites nucléaires à s’adapter au changement climatique. La situation de Chooz n’a d’ailleurs rien d’exceptionnel : en automne 2018, elle a déjà dû se mettre en veilleuse pour les mêmes raisons.

    Chaque année, EDF doit d’ailleurs stopper la production de plusieurs centrales : 22 réacteurs sur 58 ont été touchés par des arrêts ou des baisses de production ces 20 dernières années.

    La nouvelle normalité

    Depuis 4 ans, le scénario se répète. Le débit des cours d’eau ralentit, les prairies et les champs sont desséchés, les forestiers redoutent des incendies.

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