Après 2012, les élections ont été une succession de catastrophes pour le PS.
Aux Européennes de mai 2014, le PS rassemble à peine 14 % des exprimés, loin derrière le FN et l'UMP.
Pour les municipales de la même année, le chiffrage en voix est plus difficile, mais le PS perd plus de 50 villes importantes. Dans la région, la conquête de Reims et de Charleville-Mézieres par l'UMP est typique de ce basculement, sans parler de villes symboles pour les Ardennes comme Revin ou Vouziers.
Il faut ajouter à ce tableau la série d'élections partielles qui se sont déroulées ici ou là, avec des résultats presque toujours négatifs pour le PS.