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politique internationale - Page 112

  • Solidarité avec les victimes du tremblement de terre au Népal

    Communiqué de Oxfam France le 27/04/2015

    Dernière mise à jour : 29 avril

    Samedi 25 avril, un grave tremblement de terre a frappé le centre du Népal.  Au 28 avril, plus de 5 000 personnes avaient déjà trouvé la mort. D'après les Nations unies, 8 millions de personnes (soit plus d'une personne sur quatre) ont été touchées par cette catastrophe. Au milieu de destructions épouvantables et d'immeubles effondrés, on dénombre des milliers de blessés et des milliers de vies sont encore en danger.

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  • 2 ans après le Rana Plaza, où en est la loi sur la responsabilité des entreprises en France?

    Un bien triste anniversaire est fêté aujourd’hui : celui des deux ans de la catastrophe du Rana Plaza, au Bangladesh, où un immeuble s’était effondré sur des ouvriers du textile. Alors que les entreprises n’ont pas suffisamment alimenté le fonds d’indemnisation nécessaire pour les victimes, une solution juridique est pourtant à portée de main en France avec la loi sur le devoir de vigilance des sociétés-mères, adoptée en 1ère lecture le 30 mars dernier. Il faut maintenant qu’elle passe au Sénat.

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  • Ne laissez plus mourir les migrants aux frontières de l’Europe

    Tant que les gouvernements européens n'offriront pas de voies d'accès  sûres et légales à l'Europe, les migrants et réfugiés continueront d'emprunter des itinéraires dangereux. Les choix auxquels les gouvernements européens sont confrontés sont véritablement une question de vie ou de mort.

    14 associations interpellent le président de la République sur la nécessité d’actes forts face aux drames humains qui se multiplient en Méditerranée. Un seul mot d’ordre : il faut sauver les vies !

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  • Nouveau drame en Méditerranée

    Dans la nuit du 14 au 15 avril 2014, 400 migrants seraient morts noyés en Méditerranée après avoir quitté les côtes libyennes. Une nouvelle illustration de la politique migratoire désastreuse de l’Europe.

    Des informations font état de près de 400 personnes portées disparues dont plusieurs enfants, noyés. Un nouvel épisode de la terrible inaction volontaire de l’Union européenne.

    Selon les  150 personnes qui ont survécu au naufrage, 400 personnes seraient portées disparues. Encore une fois, il s’agit d’une embarcation de fortune.

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  • Boko Haram : des femmes et des jeunes filles forcées de participer aux attaques

    Un an après la mobilisation #BringBackOurGirls, au moins 2 000 femmes et jeunes filles ont été enlevées par Boko Haram. Nombre d’entre elles ont été réduites à l'état d'esclaves sexuels et forcées au combat. 

    Fondé sur près de 200 témoignages, dont 28 émanant de femmes et de filles qui se sont échappées, un nouveau rapport intitulé « Notre métier est d’abattre, de massacrer et de tuer. Boko Haram fait régner la terreur » recense de nombreux crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis par Boko Haram, notamment le meurtre d’au moins 5 500 civils, alors que le groupe semait la terreur dans le nord-est du Nigeria en 2014 et début 2015. 

    Notre rapport apporte de nouvelles informations sur les méthodes brutales employées par le groupe armé dans le nord-est du Nigeria. Les hommes et les garçons y sont régulièrement embrigadés ou systématiquement exécutés, tandis que les jeunes femmes et les filles sont enlevées, emprisonnées et parfois violées, mariées de force et contraintes de participer à des attaques armées, parfois dans leur propre ville ou village. 

    Les preuves apportées dans ce rapport-choc, un an après l’enlèvement des jeunes filles de Chibok, mettent en évidence l’ampleur et la cruauté des méthodes de Boko Haram. 

    Des hommes et des femmes, des garçons et des filles, des chrétiens et des musulmans ont été enlevés et brutalisés par Boko Haram dans un règne de la terreur qui a frappé des millions de personnes. Les récentes victoires militaires représentent peut-être le début de la fin pour Boko Haram, mais il reste encore énormément à faire pour protéger les civils, résoudre la crise humanitaire et entamer le processus de reconstruction.

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  • Hausse des condamnations à mort à cause d'une "lutte contre le terrorisme"

    Article d'Amnesty international

    On a recensé une hausse de près de 500 condamnations à mort en 2014 par rapport à 2013, principalement en raison du pic constaté en Égypte et au Nigeria, où les tribunaux ont prononcé des condamnations collectives dans un contexte de conflit interne et d’instabilité politique.

    Les pays symboliques de l'année 2014

    Le Pakistan a repris les exécutions au lendemain du terrible attentat perpétré par les talibans contre l’école de Peshawar. Sept personnes ont été exécutées en décembre. Le gouvernement a promis d’exécuter des centaines de personnes condamnées à mort pour des infractions liées au terrorisme. Les exécutions se sont poursuivies à un rythme soutenu en 2015.

    En Chine, les autorités ont recouru à la peine de mort dans le cadre de la campagne « Frapper fort » menée pour lutter contre les troubles qui secouent la région autonome ouïghoure du Xinjiang. Au moins 21 personnes ont été exécutées en 2014 en lien avec différents attentats, tandis que trois personnes ont été condamnées à mort lors d’un procès collectif qui s’est déroulé dans un stade, devant des milliers de spectateurs. 

    Dans des pays comme la Corée du Nord, l’Iran et l’Arabie saoudite, les gouvernements continuent de se servir de la peine de mort pour éliminer la dissidence politique.

    D’autres États ont fait usage des exécutions pour tenter de faire face de manière inappropriée aux taux de criminalité. En décembre, la Jordanie a repris les exécutions après une interruption de huit ans, et a mis à mort 11 hommes déclarés coupables de meurtre. Le gouvernement a fait savoir qu’il souhaitait ainsi juguler l’accroissement de la criminalité violente. En Indonésie, le gouvernement a annoncé qu’il prévoyait d’exécuter principalement des personnes condamnées pour des infractions à la législation sur les stupéfiants, afin de faire face à une « situation d’urgence nationale » - promesse qu’il a tenue en 2015.

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    La suite sur le site d'Amnesty Inernational

  • Le Japon ferme définitivement 5 réacteurs nucléaires

    Le Japon n'est pas la France, même si les deux pays ont été parmi les plus développés pour l'installation de centrales nucléaires.

    Mais le Japon a connu, et connaît encore, une catastrophe nucléaire avec Fukushima. Depuis la population et les responsables politiques ne voient plus du même œil la présence de centrales nucléaires sur leur sol. Toutes ont été fermées petit à petit après la catastrophe, et très peu ont pu réouvrir. Les plus anciennes ne fonctionneront plus jamais. Cette décision vient d'être prise en raison de la vulnérabilité des centrales anciennes, en cas de catastrophe naturelle

    Le lobby nucléaire français, dont Nicolas Sarkozy, se bat pour maintenir ouverte la centrale vieillissante de Fessenheim. Faudra-t-il un accident majeur pour leur faire prendre conscience des risques liés à exploitation de cette centrale ?

    Voici le compte-rendu du site lematin.ch sur cette actualité japonaise.

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