Comme tous les ans, un rassemblement s'est tenu dans la grande salle de la mairie, où la municipalité de Vouziers avait convié les Vouzinois à échanger sur la situation sociale.
Un certain nombre de personnes s'étaient rendues à Charleville, où se déroulait à la même heure la manifestation départementale.
Malgré cela, l'assistance était plus nombreuse qu'habituellement : une quarantaine de personnes étaient présentes.
Après une introduction du maire, des débats ont eu lieu sur la crise et ses conséquences, et sur les possibilités de l'émergence d'une politique différente pour en sortir. Il a été regretté le peu de présence de jeunes, mais plusieurs signes de mobilisation dans divers domaines laissent à penser que beaucoup ne resteront pas passifs devant les conséquences de cette crise.
L'unité syndicale pour cette journée a été saluée, démontrant que l'agitation médiatique de notre président ne suffit pas à cacher ses réponses insuffisantes et ses responsabilités en tant que responsable politique, vis à vis de cette crise du libéralisme : Il voulait développer en France les solutions les plus ultra libérales, il en est réduit à s'appuyer sur l'Etat pour sauver les banques et l'économie.









villes réputées difficiles. La proximité de la frontière (vers la Belgique et la Hollande) n'est pas un des facteurs principal de cette consommation. Que ce soit pour l'alcool, l'héroïne ou toute autre substance, on devient dépendant à partir de nombreux facteurs personnels, de société et bien sûr du produit lui-même.
Notre société laisse sur le bas-côté un certain nombre de personnes. Il ne faut pas s'étonner qu'elles aient tendance à se marginaliser de plus en plus. Les moyens donnés à la lutte contre les toxicomanies sont insuffisants : les résultas seront en proportion .


présentée comme nécessaire pour préserver les activités de chirurgie dans les deux sites, en mutualisant les moyens.