Une victoire pour les ex-salariés d'Ardennes Forge
Cette société qui a succédé à Thomé-Génot, s'est retrouvée elle-même en liquidation. Les salariés ont gagné aux prud'hommes, avec une indemnité fixée à 900.000 euros à se partager pour les 40 ex-ouvriers.
La société ayant fait faillite, c'est un organisme les AGS qui doivent se substituer à elle. Mais les AGS, expliquant que dans la situation économique actuelle sa trésorerie était en difficulté, a refusé de verser la somme.
Il a donc fallu aller au pénal pour obtenir justice, m^me si un appel est possible, c'est une victoire pour les"Ardennes Forge" et c'est une sécurité pour l'avenir de tous les victimes des licenciements abusifs.
Voici un extrait du blog des Thomé-Génot:
rappel des faits:
Contrairement à l'habitude dans ce type de dossier, en effet, invoquant ses propres difficultés financières, l'organisme avait refusé de verser les indemnités fixées par les prud'hommes de Charleville pour « licenciement sans cause réelle et sérieuse » et « travail dissimulé » aux quelque 40 anciens salariés de la société liquidée en juin 2008. Soit un total de 900.000 euros à répartir.
D'ordinaire, les AGS versent l'indemnité même si un appel est formulé sur le fond. Et l'avocat des salariés conseille alors à ses « clients » de bloquer la somme en cas de décision en appel infirmant la première.
Ardennes Forge est cette société qui avait tenté de prendre la succession de Thomé-Génot à Nouzonville.
Une procédure est également en cours au pénal pour détournement de fonds destinés à la formation professionnelle.
L'appel du tribunal des prud'hommes à rendu son verdict ce matin :
Les AGS ont été débouté, ils devront payer la somme de 900000 euros aux salariés d'Ardennes Forge.
De plus, une somme de 120 euros pour chaque salarié pour frais de dossier leurs sont allouée.
Alors que l'année officielle France-Russie 2010, célèbre la Russie partout en France, la question des droits humains est passée sous silence.
La protection des réfugiés n’est pas une affaire de chiffres ni de résultats. Les réfugiés n’ont pas choisi de quitter leur pays, ils ont fui des persécutions. La France a l’obligation de protéger ces personnes, conformément à la Convention de Genève de 1951 relative au statut des réfugiés, qu’elle a signée et ratifiée.
La France a immédiatement réagi en demandant à la Commission européenne de démontrer que les quotas des bateaux français avaient été atteints.
représente 40 % du quota de pêche fixé par l’Iccat, l’organisme international qui gère la pêche du thon rouge.
La compagnie responsable n'existe plus : pas de risque judiciaire pour elle. L'ancien PDG de nationalité américaine est réfugié aux Etats-Unis, il ne risque pas d'être extradé.
de l’Intérieur, ce que chacun avait compris : des Maghrébins.