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  • Libérés du nazisme !

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    Dessin de Chappatte dans Le Temps

  • Contre l’Unef, une manœuvre politique indigne

    Tribune publiée par Libération le 30.03.2021

    Actrices et acteurs du mouvement social, féministes, syndicalistes, militant·e·s antiracistes, parfois ancien·ne·s de l’Unef, nous avons découvert avec stupeur et colère la polémique organisée par la droite et le gouvernement sur l’Unef.

     

    Nous sommes indigné·e·s que le gouvernement fasse ce choix en pleine crise sanitaire, au lieu d’engager un vrai dialogue avec les organisations étudiantes et la communauté universitaire pour trouver des solutions à la situation catastrophique des étudiant·e·s. Alors qu’il stigmatise, met en opposition et banalise la parole raciste, le gouvernement est mal placé pour faire des leçons sur la République. Mais ce qui choque peut-être le plus, c’est le cynisme de la manœuvre qui occulte, caricature et empêche un débat nécessaire. Le calcul électoral est connu et la ficelle est grosse : à l’image de la polémique orchestrée sur l’islamo-gauchisme, l’enjeu est de créer des divisions identitaires pour occulter les questions sociales, et organiser ainsi le tête à tête avec l’extrême droite en 2022. Une stratégie malsaine et dangereuse, qui n’a d’autre effet que de légitimer les thèses de l’extrême droite.

     

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  • La Hulotte n° 101

     "La Hulotte" a réussi à devenir une publication de référence en France et même au-delà.  Elle n'en reste pas moins une réussite locale liée à son auteur Pierre Deom et à tous ceux qui contribuent à sa parution régulièrement irrégulière.

    Le numéro 101 nous éclaire sur la mulette perlière, une huitre de rivière en voie de disparition pour cause de pollution des cours d'eau. Le journal "Libération" lui consacre une chronique sous la plume de son journaliste scientifique, Sylvestre Huet. Voici un extrait de cet article :

    Pour son 101e numéro, La hulotte, le non-périodique le plus lu dans les terriers, dévoile les secrets de la Mulette perlière. L’huître de rivière, capable de produire des perles en enrobant de nacre des objets incrustés dans sa coquille.

    Cette livraison, la seule de l’année 2014, mérite un grand coup de chapeau. Pour l’œuvre complète de Pierre Deom l’homme-orchestre depuis l’origine de cette aventure, en 1972 sous la forme d’un journal de classe d’un instituteur de la campagne ardennaise. Une œuvre singulière, puisque artisanale mais toujours fondée sur le recueil des informations scientifiques. Et dont les qualités —exactitude, humour, élégance du trait et de l’écriture, passion pour la nature— ne sont jamais dénaturées par une quelconque dérive.

    (...)

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  • Libe va-t-il disparaître ?

    En difficulté financière depuis plusieurs années, le journal Libération voit sa diffusion continuer de chuter. Les actionnaires actuels semblent réticents à investir d'avantage pour sauver le titre.

    Un projet a été présenté, qui ferait de Libération « un réseau social, créateur de contenus monétisables sur une large palette de supports multimédias (print, vidéo, tv, digital, forums, évènements, radio, etc.) ».

    D'après "Le Monde" , les actionnaires estiment que le déménagement du journal est « inéluctable » mais réfléchissent, avec le designer Philippe Starck, à transformer les 4 500 m2 du siège du journal, situé rue Béranger, à Paris, en « un espace culturel et de conférence comportant un plateau télé, un studio radio, une news room digitale, un restaurant, un bar, un incubateur de start-up ». Ce « lieu d'échange ouvert et accessible à tous, journalistes, artistes, écrivains, philosophes, politiques, designers » serait « entièrement dédié à Libération et à son univers » dans l'esprit d'un « Flore du XXIe siècle, carrefour de toutes les tendances politiques, économiques, ou culturelles » en misant sur « la puissance de la marque Libération ».

    On peut remarquer que la rédaction du journal n'a plus sa place dans ce projet, ce qui inquiète fortement les journalistes du quotidien qui ont observé une journée de gréve hier. Liberation a connu beaucoup de crises et de nombreuses évolution de sa formule, mais cette dernière proposition pourrait bien signifier sa fin définitive.

     

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    La une du journal daté de samedi

  • Commémoration de la libération de Vouziers

    Le 31 aoüt 1944, Vouziers était libéré par l'avant-garde des armées alliées.

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    Un véhicule américain au port de Vouziers en septembre 1944

    Image reprise du site http://nicokubel.blogspot.fr/



    En cette fin d'été 2012, la ville commémorait cet événement par une cérémonie devant le monument aux morts. La place Carnot étant occupée par les manèges de la fête communale, les participants s'étaient regroupés juste devant la mairie.

    On notait la présence du député Jean-Luc Warsmann, de la conseillère régionale Joëlle Barat et bien entendu du Maire de Vouziers et d'adjoints ou conseillers de Vouziers.

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    C'est le sous-préfet de Sedan, Mourad Chenaf, en tant que sous-préfet par intérim de Vouziers qui représentait l'Etat. Le nouveau sous-préfet, Jean-Luc Jaeg, doit arriver dans les prochains jours et il prendra ses fonctions dès la semaine prochaine.

    Des gerbes ont été déposées aux monuments aux morts, la flamme a été ravivée par un représentant des anciens résistants et l'Harmonie Municipale a joué l'hymne national.

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    Cette cérémonie sobre n'est pas l'ocasion habituellement d'une prise de parole, et elle est restée brève cette année également. Elle s'est terminée par le salut des personnalités aux différents participants.


  • Cérémonie de commémoration de la libération de Vouziers

    Les premiers libérateurs de Vouziers sont arrivés dans la ville le 31 août 1944.

    Ce sont les soldats de l'avant-garde américaine qui ont pénétré à Vouziers, presque 3 mois après le débarquement de Normandie. Les combats ont été beaucoup moins rudes que sur les plages normandes, les armées allemandes se retirant sous la pression trop forte, avant la dernière contre-offensive l'hiver suivant dans les Ardennes belges.

    Ce 31 juillet 2011, la cérémonie a attiré peu de monde, il est vrai que la date correspond à la période charnière entre les vacances et la rentrée, où beaucoup n'ont pas encore repris le rythme et les habitudes de la vie quotidienne.

    Il n'y avait pas la foule, mais des personnalités : le Sous-préfet de Vouziers,  le député Jean-Luc Warsmann, le président du conseil régional Jean-Paul Bachy, et bien entendu Claude Ancelme le maire de Vouziers et plusieurs adjoints ou conseillers municipaux de la ville.

    Voici quelques clichés de cette cérémonie.

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    Les personnalités pendant que l'Harmonie municipale joue la sonnerie aux Morts.

     

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    Le dépôt de gerbe par le Maire de Vouziers

     

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    Le chef de l'Harmonie est félicité pour sa prestation

     

  • Vouziers libéré

    31 août 1944, libération de Vouziers.

     

    Ce jour était donc le 65ème anniversaire de la libération de la ville par les armées américaines. Les survivants qui ont connu cette époque ou participé à ces journées sont de moins en moins nombreux.

    La disparition progressive des témoins directs rend cette cérémonie à la fois plus nécessaire, mais également plus banale : très peu de jeunes sont présents, pas un message ou un discours ne rappellent le sens et le pourquoi de la cérémonie.

    A qui s'adresse cette journée ? Cela ne peut simplement être un hommage officiel à ceux qui ont combattu contre l'Allemagne hitlérienne. Pour que le sens de leur lutte et de leur sacrifice continue d'exister, il faut que les valeurs qui les ont motivés soient transmises aux générations suivantes.

    Et si on peut regretter la faible participation de la jeunesse sur la place Carnot ce jour, on peut se réjouir de voir reprendre dans certaines luttes actuelles les thèmes du conseil national de la résistance.

    Le programme que ce CNR avait écrit a guidé beaucoup de politiques mises en place après la libération ( santé, éducation , solidarité, etc ).

    Que ces idées soient encore source d'inspiration actuellement montre qu'elles s'appuyaient sur une vision particulièrement réfléchie de la vie en société.

     

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    Le 31 août à Vouziers

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    Les officiels saluent les portes-drapeaux