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L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 922

  • Signez l’appel pour le climat !

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    Lundi 25 mai, à l’occasion de l’ouverture du Forum des grandes économies, qui rassemble durant deux jours les représentants des 17 économies les plus riches mais aussi les plus émettrices de gaz à effet de serre, Greenpeace et 10 ONG françaises ont lancé l’appel “Ultimatum climatique” lors d’une conférence de presse.

    Signez l'appel pour le climat ! (cliquez ici)

     

     

     


     

     



    Œuvrant dans des domaines aussi variés que l’action humanitaire, le développement, la défense des droits de l’homme et la protection de l’environnement, c’est une coalition inédite d’organisations qui lance un grand appel qui vise à rassembler 1 million de signatures d’ici le début du mois de décembre pour que la France, au sein de l’Union Européenne, prenne la tête du combat contre les changements climatiques et contribue à la conclusion d’un accord ambitieux sur le climat à Copenhague en décembre.

     

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    la forêt amazonienne en train de disparaître
  • ça marche toujours

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    Dessin du Canard Enchaîné

    Lien permanent Catégories : humour Imprimer 0 commentaire Pin it!
  • Arrêt de travail

    Frédéric Lefebvre est un  porte-parole de l'UMP, et il est bien sûr également un des proches de N Sarkozy. C'est un provocateur, ce qui est une façon de communiquer un peu facile pour passer dans les médias.


    Mais il peut difficilement lancer une idée sans l'aval des son patron. Sa provocation sur le travail pendant les congés maladie ou de maternité doit être prise au sérieux, même si l'UMP ne la soutient pas pour le moment. Il suffit de voir la réaction de X Bertrand pour comprendre que ces gens-là ne jugent pas cette proposition irréaliste.

    Voici l'éditorial  de la-croix.com à ce sujet :

     

    C’est l’une de ces propositions dont on ose croire qu’elle ne vivra pas plus que le temps d’une vive polémique politique. Un amendement frederic_lefebvre_reference.jpgprésenté par le porte-parole de l’UMP, Frédéric Lefebvre (qui aime décidément attirer sur lui les foudres de l’opposition), rejeté lundi soir en commission des affaires sociales, pourrait, selon le souhait de son promoteur, être quand même présenté devant les députés. L’idée fait écho au postulat présidentiel « travailler plus pour gagner plus ». Un slogan qui résonne désormais étrangement, sur fond de crise et de montée du chômage. Travailler plus, alors que pour des millions de Français, il s’agit simplement de travailler, et surtout de ne pas gagner moins !

    On permettrait, cette fois, à des salariés en congé maladie ou en congé maternité de continuer à travailler, de chez eux, pour leur entreprise. Volant au secours de Frédéric Lefebvre, Xavier Bertrand, le secrétaire général de l’UMP, a expliqué qu’il ne s’agissait pas d’imposer cette « idée nouvelle », bien sûr, mais de la réserver à ceux qui le désirent, de respecter le « libre choix des salariés ». Si le monde du travail n’est pas toujours la jungle que décrivent certains, il n’est pas non plus un club de bienfaisance. Comment croire au parfait « libre choix » des salariés, dans un environnement économique où les places se font chères et les exigences de rentabilité rudes ? Que l’on sache, congé maladie ou congé maternité – comme le repos hebdomadaire du dimanche, d’ailleurs – ne sont pas des luxes mais répondent à des besoins. On ne peut, par exemple, se féliciter du nombre d’enfants en France et imaginer de rogner sur le congé maternité.

    07-12-12-code-travail-deputes.jpgLe travail a une valeur, un sens, une utilité, mais il n’est pas le tout de la vie humaine. La société, et l’entreprise elle-même, ont tout à gagner, s’il est permis aux salariés de préserver l’équilibre entre toutes les dimensions de leur vie. De plus en plus, les outils modernes de communication (ordinateur, téléphone…) effacent les frontières entre vie privée et vie professionnelle : où s’arrête le bureau, où commence la maison ? Au risque de l’empiétement réciproque. Évitons, même pour le plaisir d’agiter des « idées nouvelles », d’ajouter à la confusion des temps !

  • 4 juin 1989 le jour qui n'existe pas

    A la veille du 20ème anniversaire de la répression sanglante de la place Tiananmen, Amnesty International revient sur ces tragiques journées et sur ce qui en est suivi:



    Amnesty International commémore les vingt ans de la répression du mouvement pro-démocratique de la place de Tiananmen survenue les 3 et 4 juin 1989 à Pékin.


    La répression militaire de la place Tiananmen en 1989 a entraîné la mort de centaines de personnes et la détention d’autres alors qu’elles manifestaient pacifiquement pour des réformes démocratiques et pour plus de respect des droits humains les plus fondamentaux.
    A ce jour, aucune enquête exhaustive, impartiale et indépendante n’a été diligentée pour déterminer les présumés responsables de ce massacre tiananmen_tank_1.sized.jpget les proches des victimes pour certains n’ont toujours pas eu d’indemnités.
    Dans le flot de la répression, les autorités chinoises ont arrêté, torturé et détenu, à l’issue de procès inéquitables, de nombreuses personnes dont certains sont toujours emprisonnées.



    20 ans après Tiananmen, 20 ans de déni du gouvernement

    Le gouvernement chinois cultive un total déni du mouvement pro-démocratique de 1989 en le faisant disparaître de la mémoire collective; si bien que les jeunes chinois ignorent tout de ce mouvement revendicatif des droits humains.

    Une censure s’abat sur les sites internet qui affichent «Tiananmen» ou «4 juin 1989» et les militants qui osent s’y référer sont poursuivis, harcelés et même détenus.

  • L' Europe sans nucléaire

    Le nucléaire  ou la mise en place d'énergies renouvelables : c'est aussi un des enjeux des élections européennes.


    Le lobby pro-nucléaire est bien représenté à Bruxelles. Elle tente de brouiller le message sur le réchauffement climatique, en faisant passer le nucléaire pour une "énergie propre". Le développement de la fillière nucléaire est incompatible avec des objectifs de développement durable (production la plus proche possible de la consommation, utilisation d'énergies renouvelables, priorité à la réduction de consommation,...)

    Voici un communiqué de "sortir du nucléaire" qui interpelle les candidats aux européennes.

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    Le nucléaire contre les crises climatique et économique ? Une illusion !

    Les derniers rapports sur le climat prévoient d’ici à la fin du siècle une augmentation inquiétante de la température moyenne du globe, une hausse d’un mètre du niveau de la mer, la multiplication des tempêtes, sécheresses et inondations… En décembre 2009, les délégations réunies à la conférence internationale de Copenhague devront adopter les mesures nécessaires pour éviter le pire scénario.
    L’industrie nucléaire entend tirer parti de cette crise pour mettre fin à sa traversée du désert.

    Cette traversée du désert est liée notamment aux catastrophes de Three Mile Island (1979) et Tchernobyl (1986), ainsi qu’au risque de prolifération des armes atomiques. A grand renfort de communication dans les médias français et européens, elle présente la construction de nouveaux réacteurs comme une solution miracle. Pourtant, le nucléaire est une énergie très marginale, qui contribue fort peu à la lutte contre le dérèglement climatique et entrave de fait les vraies solutions.

    Confrontée à de graves difficultés financières, l’industrie s’efforce de faire passer le nucléaire pour un ingrédient indispensable de la relance économique, voire d’une "croissance verte" !

    Elle passe sous silence les coûts et les subventions pharaoniques liés à la construction des réacteurs et à leur futur démantèlement, tout comme les risques considérables (rejets radioactifs, accidents, terrorisme) et le problème irrésolu des déchets. Grâce à cette stratégie agressive, le nucléaire a de nouveau le vent en poupe en Europe, contre toute logique. Certains gouvernements évoquent de nouveaux programmes nucléaires ; d’autres, comme l’Italie, la Suède et la Belgique, envisagent de mettre fin à leur programme de sortie du nucléaire. En Allemagne, la coalition gouvernementale se déchire sur cette question.

    A cette fin, le lobby pro-nucléaire monte à l’assaut des institutions européennes.

    Le Conseil de l’Union européenne, qui réunit les chefs de gouvernement et les ministres de tous les Etats de l’Union européenne, rechigne à couv_doc_europeenne_2009_web.jpgprendre les mesures qui permettraient de lutter efficacement contre le dérèglement climatique… et certains de ses membres aimeraient faire étiqueter le nucléaire comme "énergie propre" !
    La Commission européenne, qui élabore les directives, apporte un soutien actif et à peine voilé à la relance du nucléaire en Europe. Très ouverte aux lobbies, elle s’est faite le relais des industriels du nucléaire, qui sont devenus ses interlocuteurs privilégiés.

    Énergie et climat, sûreté nucléaire, financement des programmes de recherche : les décisions correspondantes se prennent de plus en plus au niveau des institutions européennes.

    Face à cette offensive pro-nucléaire, le Parlement européen, seul organe démocratiquement élu, peut tenter de faire barrage. Les projets de lois de l’Union européenne sont soumis au vote et aux propositions d’amendements des députés européens ; on leur doit l’objectif de 20 % d’énergies renouvelables dans la consommation énergétique européenne d’ici 2020. Mais eux aussi sont désormais courtisés par le lobby nucléaire...

    C’est pourquoi nous devons impérativement, avant les élections du 7 juin prochain, interpeller les futur-e-s député-e-s, quelle que soit leur couleur politique. En leur envoyant les cartes postales (à commander ou à télécharger), vous leur rappellerez avec force que le nucléaire n’est pas une solution aux défis qui attendent l’Europe !

  • La journée du 26 mai à Vouziers

    La note précédente vous informait que la journée du 26 mai verrait une mobilisation syndicale décentralisée et diversifiée.


    A Vouziers, il est prévu un rassemblement place Carnot entre 12h et 14h. 200_MairecoteEst28205.jpg

    Si vous voulez marquer votre opposition à la politique économique et aux choix sociaux actuels, rendez-vous demain devant la mairie de Vouziers.

    Des initiatives diverses sont prises dans toute la France (arrêts de travail, distribution de tracts, rassemblements,..)

    Cette journée est une étape, avant un nouveau temps fort prévu le 13 juin prochain.

  • Nouvelle mobilisation syndicale

    Mardi prochain aura lieu une nouvelle journée de mobilisation des syndicats.


    A quelques jours d'une échéance électorale, il était difficile d'organiser une journée nationale de manifestations. Cette journée prendra donc un jour différent, mais les raisons de la mobilisation restent valables, puisque le gouvernement ne veut rien céder.

    Ci-dessous l'analyse du"Monde"

     

    Contrairement aux journées des 29 janvier, 19 février et du 1er mai, il ne s'agira pas mardi pour les centrales syndicales d'une mobilisation d'ampleur nationale mais d'actions décentralisées, d'arrêts de travail et de distributions de tracts.

    L'objectif est d'occuper le terrain et de préserver l'unité syndicale dans l'attente d'une journée plus classique le 13 juin, alors que le gouvernement campe sur ses positions en dépit d'impressionnants défilés au début de l'année.

    Malgré la baisse de la mobilisation le 1er mai, l'intersyndicale estime que cette journée a témoigné "d'un enracinement de la mobilisation et de la détermination des salariés, demandeurs d'emploi et retraités".

    "Le gouvernement et le patronat auraient tort de les traiter par le déni et le mépris, alors que la crise, le chômage, les licenciements, les suppressions d'emploi et les politiques de fragilisation des services publics les percutent de plein fouet", écrit l'intersyndicale dans son appel.

    Sur le front des grèves, la journée de mardi sera surtout marquée par un arrêt de travail de 24 heures - du lundi 25 mai à 20h00 au mercredi 27 mai à 08h00 - à la SNCF à l'appel de quatre syndicats (CGT, CFDT, Sud-Rail, Unsa).

    Les cheminots veulent des garanties sur le maintien de l'emploi dans une période de restructuration et des mesures salariales.

    A la RATP, seule la CGT a déposé un préavis de grève et le trafic des métros et des bus devrait être peu perturbé.

    Dans la fonction publique, les syndicats ont invité les personnels à participer "massivement" à la journée de mobilisation. Une intersyndicale de l'enseignement supérieur a suivi cet appel, de même que des fédérations de La Poste, des impôts et du secteur de l'énergie.