Le 29 janvier a été un fort mouvement de revendications sociales qui allait au-delà des traditionnelles journées de protestations syndicales : en premier lieu l'unité de tous les syndicats était un fait remarquable . Ensuite la gravité de la crise actuelle atteint profondément les conditions de vie des salariés, des retraités et d'une grande majorité des Français .
Dans son intervention télévisée, Nicolas Sarkozy n'a pu éviter de prendre en compte cette situation et le mécontentement qu'elle génère . Mais les mesures sociales qu'il a annoncées ne sont pas à la hauteur des demandes (sauf pour le "pauvre"Medef qui obtient la suppression de la taxe professionnelle) .
Le président doit rencontrer le 18 février les syndicats, et on peut affirmer sans prendre trop de risques qu'il va essayer de rompre le front syndical unitaire par quelques mesures : mais il n'est plus capable de prévoir le financement pour des gestes significatifs envers les salariés, chômeurs et retraités .
Déjà se pose la question de l'après 29 janvier et 18 février . Tout le monde se prépare, d'apès l'AFP :
Le président a donné rendez-vous aux partenaires sociaux à l'Elysée le 18 février, et le gouvernement a annoncé vendredi que chacune des huit organisations syndicales et patronales serait reçue d'ici là, pour préparer ce sommet social.
 Ces réunions commenceront mardi, mais dès lundi les syndicats se retrouveront pour décider d'une éventuelle suite à la mobilisation, après le succès de la journée du 29 janvier.
Ces réunions commenceront mardi, mais dès lundi les syndicats se retrouveront pour décider d'une éventuelle suite à la mobilisation, après le succès de la journée du 29 janvier.
Le Figaro annonce que la CGT est prête pour une deuxième journée de protestation :
Le 29 janvier n'a pas suffi : faisons-en un second. C'est en tout cas ce que pensent les syndicats, qui se retrouvent lundi pour préparer leur rencontre avec le président Nicolas Sarkozy le 18 février. Selon le numéro un de la CGT Bernard Thibault, les différentes organisations envisagent une nouvelle journée nationale de protestation contre la politique du gouvernement face à la crise.
Les enjeux sont très importants pour le président qui joue sa crédibilité devant le mouvement social et l'opinion en attendant les élections, ils sont également très marqués pour les syndicats, tellement est grande la souffrance ressentie dans beaucoup de foyers et difficile la situation dans le monde du travail .
 
 




 massive et pourrait bien paralyser le pays le temps d'une journée. Au départ, la volonté des huit principales organisations syndicales était d'organiser une journée commune de protestations pour l'emploi, le pouvoir d'achat et «les conditions d'une relance économique». Depuis, l'idée a fait son chemin, et de nombreuses organisations ont rejoint le mouvement.
massive et pourrait bien paralyser le pays le temps d'une journée. Au départ, la volonté des huit principales organisations syndicales était d'organiser une journée commune de protestations pour l'emploi, le pouvoir d'achat et «les conditions d'une relance économique». Depuis, l'idée a fait son chemin, et de nombreuses organisations ont rejoint le mouvement. Journalistes, avocats, intermittents du spectacle, assistantes maternelles, employés agricoles ou métiers de la formation professionnelle se sont un à un ajoutés à la longue liste des participants. «Je pense que ça va être pire que
Journalistes, avocats, intermittents du spectacle, assistantes maternelles, employés agricoles ou métiers de la formation professionnelle se sont un à un ajoutés à la longue liste des participants. «Je pense que ça va être pire que  légitimité», estime quant à lui le créateur de
 légitimité», estime quant à lui le créateur de  • Les actions des associations se voient remises en cause.
• Les actions des associations se voient remises en cause.
 L’encre de la commémoration de son 60e anniversaire est à peine sèche que la DUDH confirme son utilité et son actualité. Elle définit les principes sur lesquels doivent se fonder les sociétés. Les Droits économiques, sociaux et culturels en sont partie intégrantes, et l’engagement de la LDH pour les défendre est constant. Crise ou pas, les droits de l’Homme ne sont pas un sous-produit pour matin calme.
L’encre de la commémoration de son 60e anniversaire est à peine sèche que la DUDH confirme son utilité et son actualité. Elle définit les principes sur lesquels doivent se fonder les sociétés. Les Droits économiques, sociaux et culturels en sont partie intégrantes, et l’engagement de la LDH pour les défendre est constant. Crise ou pas, les droits de l’Homme ne sont pas un sous-produit pour matin calme. 
  partage les grands objectifs majeurs face à la crise que sont :
partage les grands objectifs majeurs face à la crise que sont : la défense de l’emploi et des salaires ;
 la défense de l’emploi et des salaires ;
 29 janvier.
29 janvier. Des résistances existent ! Des salarié-e-s se mobilisent contre les licenciements, organisent des manifestations avec le soutien de la population. Les mouvements dans l'Education Nationale, notamment des lycéen-ne-s et de leurs professeur-e-s montrent qu'il est possible de faire reculer ce gouvernement. Des familles mal logées ou sans logis se battent pour l'application de la loi de réquisition des logements vides. Les salarié-e-s sans papiers poursuivent la lutte pour leur régularisation. Nous sommes parties prenantes de toutes ces résistances et nous nous inscrivons dans les prochaines mobilisations de janvier, Education Nationale le 17, Santé et Hôpital Public le 24, grève interprofessionnelle et manifestations de masse du 29 janvier.
Des résistances existent ! Des salarié-e-s se mobilisent contre les licenciements, organisent des manifestations avec le soutien de la population. Les mouvements dans l'Education Nationale, notamment des lycéen-ne-s et de leurs professeur-e-s montrent qu'il est possible de faire reculer ce gouvernement. Des familles mal logées ou sans logis se battent pour l'application de la loi de réquisition des logements vides. Les salarié-e-s sans papiers poursuivent la lutte pour leur régularisation. Nous sommes parties prenantes de toutes ces résistances et nous nous inscrivons dans les prochaines mobilisations de janvier, Education Nationale le 17, Santé et Hôpital Public le 24, grève interprofessionnelle et manifestations de masse du 29 janvier. proposons l’annulation du paquet fiscal de l’été 2007; une redistribution du budget de l’Etat pour répondre aux besoins sociaux et développer les services publics à tous les niveaux; une réforme de la fiscalité afin que les entreprises ne puissent plus, comme aujourd’hui, privilégier la spéculation au détriment de l’emploi et des conditions de travail.
proposons l’annulation du paquet fiscal de l’été 2007; une redistribution du budget de l’Etat pour répondre aux besoins sociaux et développer les services publics à tous les niveaux; une réforme de la fiscalité afin que les entreprises ne puissent plus, comme aujourd’hui, privilégier la spéculation au détriment de l’emploi et des conditions de travail.
 Nous refusons les suppressions d’emplois dans le secteur public, exigeons l’annulation des 30.000 suppressions de postes décidés, le retrait de la privatisation de la santé (loi Bachelot), la création d’emplois socialement utiles (Santé, l’Ecole, Poste, Recherche, et de nouveaux services publics, du logement, de la petite enfance, etc.) Nous agissons pour la réduction du temps de travail sans flexibilité ni annualisation avec embauches correspondantes.
Nous refusons les suppressions d’emplois dans le secteur public, exigeons l’annulation des 30.000 suppressions de postes décidés, le retrait de la privatisation de la santé (loi Bachelot), la création d’emplois socialement utiles (Santé, l’Ecole, Poste, Recherche, et de nouveaux services publics, du logement, de la petite enfance, etc.) Nous agissons pour la réduction du temps de travail sans flexibilité ni annualisation avec embauches correspondantes.