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buzancy - Page 2

  • Election départementale mars 2015 : pour des Ardennes actives et solidaires

    Le groupe Ecologie -Solidarité de Vouziers et L'An Vert soutiennent la candidature de Pierre Potron et de Geneviève de Rubeis pour le nouveau canton de Vouziers.

    Voici la reproduction de leur premier tract de campagne, qui sera distribué largement dans les boites à lettres du canton.

    La page Facebook des candidats : https://www.facebook.com/vouziers2015

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  • Canton de Vouziers : déclaration de candidature

    Déclaration de candidatures – Canton de Vouziers, Buzancy, Le Chesne, Raucourt.

    Pierre Potron - Geneviève de Rubeis

    Pour des Ardennes actives et solidaires

    Madame, Monsieur

    Dans un contexte difficile, où la solidarité est plus que jamais indispensable, face à l’échec des solutions mises en place actuellement, nous avons besoin d’un renouvellement des représentations politiques.

    Issus de la société civile, nous sommes  quatre candidats qui contribuent à la richesse de notre territoire, et nous défendons un strict non-cumul des mandats.

    Nous sommes engagés et actifs  dans la vie associative et militante locale. Pour y vivre et y travailler, l’ensemble du territoire de ce nouveau canton de Vouziers nous est familier. Geneviève de Rubeis, 29 ans est paysanne maraichère à Verrières. Pierre Potron, 31 ans est gérant d’une société de services en informatique à Bar-lès-Buzancy. Ils  sont  les candidats titulaires.

    Bernadette Pion, 54 ans, aide-soignante au centre hospitalier de Sedan, militante syndicale, domiciliée à Haraucourt est la suppléante de Geneviève de Rubeis.

    Didier Assel, 50 ans, moniteur d’atelier dans le secteur social à Rethel, responsable associatif, domicilié à La Croix-aux-Bois est le suppléant de Pierre Potron.

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  • Ambiance de crise à la 2C2A

    Le dernier conseil de communauté de la 2C2A a été assez mouvementé, le suivant qui se déroulera lundi prochain risque d'être également tendu.

    2c2a 10.2010 012.jpgLors de l'installation de la nouvelle assemblée communautaire qui s'est déroulée le 24 avril dernier, l'élection du président a donné lieu à un duel très serré entre Francis Signoret et Frédéric Mathias. Manifestement, une certaine grogne (presque un vent de révolte) s'est manifestée contre le président sortant, qui a du sentir le vent du boulet. Cette réunion a vu aussi le refus du Président de valider le choix des élus du canton de Buzancy, qui avaient élu Francis Potron  pour les représenter en tant que vice-président.

    Francis Signoret avait également proposé un vice-président supplémentaire, en la personne de Frédéric Courvoisier-Clément. Il avait assuré devant  l'assemblée que cet ajout se ferait à coût neutre pour la collectivité, en baissant de 15 % les indemnités aux élus.

    Si tous ces points ont été actés par des votes, les décisions prises ont continué à provoquer des remous parmi les élus communautaires.

    2c2a 04.2011 001.jpgMichel Colin, un des piliers de l'exécutif de la 2C2A, a présenté sa démission de son poste de Vice-président chargé des finances. Il apparait qu'il n'ait pas apprécié certaines décisions prises lors de la réunion du 24 avril et encore moins d’être mis devant le fait accompli. Si sa lettre de démission a bien été transmise au représentant de l'Etat, il semble qu'il fasse l'objet "d'amicales pressions" pour qu'il revienne sur sa décision.

    De nombreux élus s'interrogent sur la promesse du Président, faite au sujet de la ligne budgétaire des indemnités aux élus. La phrase prononcée n'apparait pas dans le projet de compte-rendu soumis aux délégués. Des précisions concernant les chiffres de cette ligne budgétaire seront  surement demandées, tant la confusion semble régner à ce sujet.

    Un point peut aussi ajouter un peu de tension supplémentaire, c'est lecommunauté de communes,buzancy,frédéric mathias,francis potron,francis signoret,michel colin,sebastien forget,2c2a,vouziers départ annoncé du Directeur, qui devrait rejoindre la communauté jumelle du Rethélois. Sébastien Forget avait pourtant été présenté dans le discours du candidat Francis Signoret à la présidence comme un élément constitutif de la solidité de son positionnement et de la crédibilité de son action à venir.

    Il sera intéressant de voir si les élus de Vouziers prennent une part active à ces débats. Lors des votes du dernier conseil, les élus de la liste majoritaire se sont contentés  d'un soutien massif à Francis Signoret. Au cours de la réunion du 24 avril dernier, ils ne sont apparus à aucun moment comme un élément moteur du conseil communautaire, malgré les promesses de redonner à Vouziers toute sa place de Chef-lieu d’arrondissement.

    La réunion de lundi 19 portera principalement sur la mise en place des instances de la 2C2A (bureau, commissions,...). Vu l'ambiance actuelle, ce conseil de communauté risque d'être assez "sportif".

    Rappelons que ces assemblées sont publiques, et que la convocation annonce une réunion débutant à 19 heures précises à la salle des fêtes de Vouziers.

    Si vous avez mieux à faire, c'est sur ce blog que le compte-rendu sera en ligne dans la soirée (si les discussions ne se terminent pas trop tard !).

  • L'Education Nationale dans les Ardennes : du discours à la réalité.

    Le syndicat enseignant FSU vient d'envoyer une "lettre au Ministre sur la situation de la filière littéraire Givet Revin et  du réseau  des collèges ardennais"

    Le syndicat annonce dans ce courrier avoir pris connaissance récemment du rapport de  deux inspecteurs généraux sur la « situation de la filière littéraire dans les lycées Vauban de Givet et Jean Moulin de Revin et du réseau des collèges des Ardennes ». Les Ardennais et en particulier les lecteurs de l'An Vert savent que cette question a soulevé beaucoup inquiétude et a suscité de nombreux débats dans le courant de la dernière année scolaire. En juillet 2013, une réunion avec des représentants directs du cabinet du ministre avait acté l'existence de problèmes sur le terrain et avait préconisé une méthode pour en venir à bout.

    Pour la partie concernant Givet et Bazeilles, voir l'intégralité du texte par ce lien.

    Les représentants syndicaux rappellent qu'il était convenu qu' « un groupe de travail sur la carte de l’ensemble des collèges ardennais, réunissant les collectivités territoriales et les communes compétentes, les organisations syndicales d’enseignants et les fédérations de parents d’élèves » (cf. votre courrier du 5 juillet 2013…) doit être installé…,  que « cette année 2013-2014 doit pouvoir être mise à profit pour poser les bases d’une nouvelle approche de la question de l’ensemble du réseau des collèges ardennais, en tirant les leçons de l’histoire récente, en tenant compte de la dimension politique et sociale du dossier, en faisant partager une ambition collective pour l’avenir des jeunes de ce département » (cf. p.28 du rapport précité).

    Le syndicat dans son courrier s'étonne : Comment, en effet, les Conseils d’Administration des collèges multi sites Grandpré/Buzancy et Vouziers/Le Chesne ont-ils pu valider en février dernier le regroupement de tous les élèves, de toutes les classes et de tous les enseignements sur un seul des deux sites dès la rentrée 2014 alors que le « travail de réflexion et d’échanges dans les bassins avec l’ensemble des acteurs de terrain » n’a pas encore débuté (...) Comment peut-il déclarer qu’« il est nécessaire de prendre le temps pour pacifier les échanges », présenter au CDEN du jeudi 7 novembre 2013 un « calendrier de programmation » sur trois ans et attribuer au collège Vouziers/Le Chesne une DHG tellement réduite qu’elle oblige au regroupement évoqué ci-dessus dès la rentrée prochaine (sauf à avoir des classes à effectifs très lourds, rendant ainsi les conditions d’études et d’apprentissages des élèves et les conditions de travail des enseignants impossibles…), sans même que les parents d’élèves, les élus n’aient été informés de cette évolution soudaine, sans même que les questions de transport des élèves, d’impact sur les personnels (enseignants et non enseignants), de reprise du site, plus largement d’aménagement de ce territoire rural n’aient été envisagées ?

    Le ministère et ses représentants locaux font comme si les décisions prises lors de la réunion de juillet 2013 étaient toujours d'actualité, alors qu'ils agissent concrètement en ignorant complétement le calendrier et la méthode choisis.

    La lettre du syndicat note à ce sujet : " Nous insistons donc fortement pour que la proposition, qui figure dans « une note du DASEN au Recteur de l’académie de Reims, communiquée à la mission, et datée du 14 octobre 2013 », de la création d’ « un groupe de travail, émanation du Conseil Départemental de l’Éducation Nationale, composé d’un ou de plusieurs représentants des acteurs concernés : conseil général, conseil régional, des principaux des collèges, des fédérations de parents, des représentants élus des personnels, des représentants des communes », toujours pas installé ce 14 mars 2014, soit 5 mois plus tard…, soit effective dans les meilleurs délais, avant la fin de cette année scolaire… À cet égard, la réponse faite lors du CTSD du 11 mars dernier aux représentants FSU des personnels de l’éventuelle constitution d’un « petit groupe spécifique départemental, sans dimension institutionnelle » a semblé bien vague et bien évasive…"

    Tous ces faits ne constituent pas des informations nouvelles, ils confirment que le ministère garde toujours deux fers au feu : un pour la concertation mais qui reste purement de l'ordre du discours, un pour l'action au service d'une politique de rigueur dont les résultats sont déjà visibles sur le terrain.

    Le syndicat termine son courrier par cette demande d'intervention : Avec les enseignants des établissements concernés, les parents d’élèves, les élèves, les élus, et toute la population qui se sent bien souvent malmenée voire maltraitée, qui voit trop souvent ses usines et ses entreprises fermer, ses services publics disparaître petit à petit, la précarité et la pauvreté augmenter, nous nous permettons de solliciter à nouveau votre intervention urgente pour que les projets évoqués ci-dessus et les décisions prises soient réexaminés avec la plus grande attention, voire suspendus, afin que puisse être menée une réelle concertation de l’ensemble des personnels, des usagers, de leurs représentants, des élus et des collectivités territoriales concernés par ces questions de restructuration du réseau des établissements, dans l’intérêt de tous.

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    Manifestation en mai 2013 (photo L'An Vert D R)

    Malgré le récent changement de ministre, il ne pas réaliste de croire que le ministère va corriger les "erreurs" des ses représentants dans le département. Les deux attitudes, celle de la concertation et celle du fait accompli ne sont que les deux faces d'une même politique. Leur apparente contradiction permet d'agir impunément, en faisant réapparaitre la face "concertation" devant toute tentative de critique.

    Le temps joue pour le ministère, et la fermeture annoncée des sites de Buzancy et de Le Chesne aura découragé suffisamment de personnes pour qu'il n'ait plus beaucoup à craindre  la réapparition d'une forte contestation sur le terrain.

  • Collèges ruraux : ce n'est pas seulement Le Chesne que l'on abat, Buzancy aussi !

    La semaine dernière, le conseil d'administration du collège multi-site Vouziers Le Chesne a voté la fermeture du site de Le Chesne (voir notre note).

    Dans la foulée, le conseil d'administration du collège multi-site Buzancy-Grandpré vient de voter la fermeture du site de Buzancy. Cette décision  a été prise à une large majorité des membres du CA. Il faut savoir que la représentation  du canton de Grandpré  est largement surévaluée au sein  du CA (personnalités extérieures par exemple).

    Cette succession de votes n'est pas qu'une coïncidence, elle dénote un changement de tactique de la part des responsables académiques. Le vote d'une instance réglementaire est plus difficile à contester que la décision unilatérale du DASEN. Celui-ci peut jouer les Ponce Pilate et déclarer : voyez, ce n'est pas moi qui ai imposé quoi que ce soit, ce sont les personnes du terrain qui ont choisi.

    Sauf que les gens du terrain n'ont aucune prise sur les dotations en personnel. Et quand on constate qu'il est quasi impossible de fonctionner sur deux sites, quel choix reste-t-il, si ce n'est ne pas participer à cette parodie de démocratie ?

    Le DASEN doit avoir un large sourire: il a réussi à imposer les fermetures qu'il souhaitait, en passant allégrement sur les promesses de concertation faites par les représentants du ministre.

    Cette victoire est bien amère, avant tout pour ceux qui ont mené la mobilisation contre la disparition des collèges ruraux depuis plus d'un an.

    Elle est aussi dramatique pour les territoires touchés : ces cantons fragiles perdent encore un point d'ancrage, et risquent de couler encore plus rapidement. La solidarité du Conseil Général et de la Communauté de Communes a été totalement inexistante, ce qui va laisser des traces sur le long terme. Un effet boule de neige risque de se produire dans les deux chefs lieu de canton : quel avenir pour les écoliers du primaire, comment les transports vont-ils fonctionner, comment attirer ou maintenir une population sur place ?

    Les "gagnants" ne sont guère mieux lotis. Grandpré reste un très petit collège par le nombre d'élèves et sera vite dans le collimateur des autorités académiques. Vouziers ne sera un bourg centre que s'il existe une périphérie, et à ce petit jeu, c'est le lycée qui risque d'être rapidement sur la sellette.

    On voit bien que les perdants sont nombreux, la démocratie et le monde rural en premier. Quand aux gagnants, il serait utile qu'ils se posent des questions (sans  même parler de simple solidarité) : quels sont les bénéfices concrets de ces décisions pour notre canton, qu'avons nous obtenu de mieux pour l'avenir de notre propre territoire ?

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    Manifestation en mai 2013 pour le collège de Le Chesne (photo L'An Vert  D.R.)

  • Pour le DASEN des Ardennes : des mots, des mots !! démocratie ??

    Monsieur Patrice Dutot, le Directeur académique des services de l'Education Nationale (DASEN) est devenu une des personnalités les plus connues des Ardennes.

    Il a été au premier plan l'an dernier dans le conflit sur la fermeture des collèges du sud-Ardennes. patrice_dutot2.pngCette bataille qui a connu de nombreux épisodes (manifestations, grève de la faim,...), s'est conclue par un cessez le feu sous l'égide des représentants du ministre de l'Education Nationale, qui s'étaient déplacés à Reims pour l'occasion.

    Dans cette réunion, il a été décidé de créer à la rentrée 2013 un groupe de travail sur  la carte de l’ensemble des collèges ardennais. Ce groupe de travail devait rendre ses conclusions fin décembre 2013, afin que puisse être arrêté un nouveau schéma scolaire.

    Un objectif était clairement fixé, travailler sur la carte de l'ensemble des collèges, et une méthode avait été établie.

    Or début décembre, Monsieur Dutot annonce qu'il a pris une décision, fermer le collège de Buzancy. Il déclare dans les colonnes de notre confrère L'Union : «  Ce n’est pas un scoop, ni une surprise. Il n’y a rien de nouveau. Le dossier était très clair depuis le début, commente Patrice Dutot, le directeur académique. Le processus était déjà entamé et tous les acteurs étaient au courant de l’avenir. Les choses se déroulent sereinement.  ».

    Benoît Pichard, directeur de cabinet de Vincent Peillon, et Bernard Lejeune, directeur de cabinet adjoint, se déplacent de Paris pour une rencontre avec les protagonistes du conflit, en présence du Recteur d'Académie. Il est décidé de mettre en place un nouveau schéma scolaire, ce qui nécessite une concertation élargie.

    Pourtant d'après Monsieur Dutot," tout était clair depuis le début "! Avec le recul on comprend ce qu'il veut dire : tout était clair pour lui, les semblants de concertation en présence des élus et du préfet n'étaient que des mises en scène.

    La démocratie passe par le respect des instances, et Monsieur Dutot annonce une décision qui relève de la compétence du Conseil d'Administration du collège multi-site Buzancy-Grandpré.

    La démocratie passe également par le respect des interlocuteurs et des engagements pris sous le couvert de hauts représentants du ministre.

    Ce passage en force montre la toute puissance d'une technocratie, sûre de sa force, et qui finit par trouver une "fenêtre de tir" pour imposer son point de vue.

    Ne soyons pas étonné de voir de plus en plus de citoyens se désintéresser de la vie de leur territoire, ou rejoindre des partis aux slogans simplistes ("tous pourris").

    Cette décision est une catastrophe pour un canton comme celui de Buzancy. Il se désertifie déjà (1800 habitants au dernier recensement , une densité de 7,1 hab. /kmà comparer aux 102,6 hab. /km pour la France).

    Cette décision est dramatique pour tous ceux qui se sont mobilisés l'an dernier (plusieurs centaines de manifestants présents à Buzancy) et qui ne sont plus prêts de croire avant longtemps au dialogue avec les autorités officielles.

    Mais Monsieur Dutot a gagné, et c'est bien là l'essentiel, qu'importe alors qu'avec ses mots il ait contribué à affaiblir notre démocratie.

     

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    Manifestation à Buzancy en février 2013 (Photo L'An Vert D.R.)


  • Quand on a que l'amour ...

    Jaques Brel, en tant que voisin belge, connaissait bien les Ardennes, il écrivait déjà à son époque :"Quand on n´a que l´amour pour tracer un chemin et forcer le destin à chaque carrefour (...)".

    On découvre ces derniers jours le projet de redécoupage des cantons. La façon dont les chemins ont été tracés fait dire aux élus de droite que le ministère de l'intérieur veut forcer le destin et faire passer à gauche la gestion du département.

    Les découpages électoraux ont toujours été considérés par l'opposition du moment comme des charcutages, et il faut constater que le ministre de l'intérieur en place n'a jamais tendance à défavoriser son propre camp. Ces choix ne peuvent être purement techniques, une part de politique entre forcément dans les critères mis en place.

    Les limites des nouveaux cantons devraient donner un équilibrage meilleur au niveau de leur population respective, reste à savoir ce qu'ils sont sensés représenter comme territoire. Le possible canton de Vouziers pourrait s'étendre jusqu'au canton actuel de Raucourt et perdre 5 communes à l'ouest de son aire actuelle (Vrizy, Grivy-Loisy, Bourcq, Mars-sous-Bourcq et Contreuve) qui seraient rattachées au nouveau canton d'Attigny. Celui-ci engloberait les cantons actuels de Machault, Monthois et Grandpré.

    Si la droite, avec le président actuel du Conseil Général Benoit Huré, crie au scandale, la gauche est plutôt discrète et attentiste.

    Les écologistes ont réagi par l'intermédiaire de Chistophe Dumont, élu régional, qui propose de supprimer les départements. Il déclare " (...)L’échelon à supprimer, comme les verts l’indiquent depuis longtemps, est à l’évidence le département ; le rôle essentiel du département est d’assurer le remembrement , de distribuer l’aide sociale et de s’occuper des collèges ; le remembrement de nos campagnes est largement terminé, quand à l’aide sociale et aux collèges, un autre échelon pourrait s’en charger ; nous gagnerions ainsi en efficacité et mettrions un terme aux guerres  générées par les financements croisés, conflits inévitables quand tout le monde s’occupe de tout et que de petits roitelets défendent leurs petits fiefs jusqu’au  mépris de l’intérêt général.

    Quand les autres partis se partagent le gâteau, les écologistes  proposent  de changer la recette."

    Voici la carte du projet de découpage cantonal, reprise du site du CGal 08 :

    redecoupage_cantonal_au_09-12-13.jpg

    En vert le futur (?) canton d'Attigny, en jaune le nouveau(?) canton de Vouziers qui englobe les cantons actuels de Buzancy, Le Chesne et Raucourt.