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société - Page 350

  • Dernière minute

    Des nouvelles en provenance de RESF

     


    Pour plus d'informations sur ce cas,  voir la note du 12/09 (cliquez ici)

     


    email envoyé aux 210 signataires de la pétition
    P1293 - URGENT ! KORKAJ Ekrem doit rester en France pour accompagner son bébé de 5 mois, gravement malade.
    http://resf.info/P1293

    BONNE NOUVELLE !

    Mr KORKAJ EKREM A ETE REMIS EN LIBERTE CET APRES MIDI, SANS AVOIR EU A PASSER DEVANT LE JUGE DES LIBERTES ET DE LA DETENTION.

    IL A AINSI PU RETROUVER TOUTE SA FAMILLE, QUI VOUS EST RECONNAISSANTE.

    NOUS REMERCIONS TOUS CEUX QUI SE SONT MOBILISES POUR LES SOUTENIR.

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  • AGISSONS AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD

    Un appel urgent venant du réseau Education sans frontière.


    Voir leur site pour les coordonnées des personnes à alerter.

    Vous pouvez aussi signer la pétition en ligne (cliquez ici)

     

     

    URGENT ! KORKAJ Ekrem doit rester en France pour accompagner son bébé de 5 mois, gravement malade.


    samedi 12 septembre 2009.

     

    Ekrem a été arrêté ce jour à 11h à Sedan (08), mis en garde à vue, il risque d'être expulsé.

    C'est encore une famille qui risque d'être démembrée : un parent expulsé, le reste de la famille restant en France, alors que son bébé de 5 mois est malade et doit subir des opérations de l'œsophage

     

    KORKAJ Ekrem est Kosovar, il vit en France avec sa femme depuis 3 ans. Leur demande d'asile est rejetée par l'Ofpra, mais depuis leur arrivée, ils ont construit leur vie ici et ont eu un premier enfant qui a maintenant 2 ans.

    logo3.jpgIl y a 5 mois, ils ont eu un deuxième enfant qui est gravement malade et qui doit subir des opérations de l'œsophage. Toute la famille vit au CADA de Vivier au Court, mais il n'y a que Mme KORKAJ qui a obtenu une autorisation de séjour, renouvelée tous les 3 mois, pour accompagner les soins de son bébé.

    Ekrem n'a aujourd'hui pas le droit d'être à côté de son bébé et de l'accompagner dans ses soins qui sont pourtant très lourds.

    Ekrem a été arrêté ce jour à 11h à Sedan (08), mis en garde à vue, il risque d'être expulsé.

    C'est encore une famille qui risque d'être démembrée : un parent expulsé, le reste de la famille restant en France.

    Ces expulsions génèrent des situations dramatiques : séparation, parfois définitive, des couples et des familles, traumatisme des parents et des enfants, souvent perte totale des ressources, prise de risques du parent expulsé pour revenir à tout prix.

    L'expulsion d'un parent semble conçue par l'administration comme le moyen d'acculer le reste de la famille au départ "volontaire" en la réduisant à la misère.

    Il faut aider Ekrem à rester en France pour accompagner les soins de son bébé de 5 mois.

     


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  • Moraliser le capitalisme

    D'aucun voudrait réformer, voire moraliser le capitalisme.

     

    Le système libéral et capitaliste vient de montrer de manière évidente et spectaculaire qu'il ne menait pas le monde entier au bonheur par les img_00031.jpgsacro-saintes lois du marché.

    Petit coup dur pour les tenants politiques du libéralisme, mais certains ont déjà une réponse, au moins en paroles. Ils vont réformer le capitalisme. Chouette idée! Mais le réformer en quel autre système ? un capitalisme à visage humain? comment vont-ils s'y prendre? et c'est pour quand cette réforme?

    Car pour l'instant, tout reprend comme avant, avec le même cynisme et la même priorité aux gains financiers.

    Vous pouvez lire avec le lien suivant un article instructif du "Monde Diplomatique"

  • Procès de Rodez : la solidarité confirmée dans ses droits

    Monsieur Besson, ministre de son état, assure que le délit de solidarité n'existe pas.

     

    Ce délit est pourtant bien inscrit dans les textes. Monsieur Besson assure alors que personne n'a été condamné (jusqu'à maintenant) pour un tel fait. Mais il faut bien se demander alors la raison de son existence, et le pourquoi de son utilisation.

    ALeqM5jY_aSPrHV49tX6le91pVb5Q3S2LA?size=lD'ailleurs monsieur Besson, sinistre de son état, propose de modifier ce texte sur un de ces ponts litigieux :il ne doit pas se sentir si à l'aise que cela devant la mobilisation de nombreuses associations de solidarité. Ci-dessous un extrait d'une dépêche de l'AFP.

    (AFP) – 17 juil. 2009

    PARIS — Eric Besson, ministre de l'Immigration et de l'Intégration a reçu vendredi une vingtaine d'associations d'aide aux immigrés pour discuter du délit de solidarité et leur a notamment proposé de modifier un des articles du code des étrangers de façon à mieux protéger les travailleurs humanitaires.

    Il a indiqué à la presse avoir également proposé d'adresser une circulaire aux préfets sur les conditions d'intervention de la police "dans les lieux où se dispense l'aide humanitaire".

     

    Voici encore un cas concret où une personne a été poursuivie en application de cet article de loi. Une large mobilisation et un jugement clément permettent que cette procédure se termine bien. Pourtant l'existence même de cet article de loi reste un scandale.

     

     

    Communiqué commun

    Le tribunal correctionnel de Rodez, qui le jugeait le 17 juin dernier pour « aide à l’entrée, à la circulation et au séjour irréguliers d’un étranger en France », a finalement relaxé Salimou Fofana du délit de solidarité.

    Pour qu’il soit poursuivi, il faut bien que la loi le permette, contrairement à ce que prétend Monsieur Besson. Cette affaire donne donc doublement raison aux organisations qui militent pour la réforme de la loi.

    Le parquet a le moyen de mener des procédures indignes, comme celle qui consiste à poursuivre un résident qui a hébergé un ami, ou conservé ses papiers. Il faut donc que la loi soit modifiée.

    Mais cette procédure est tellement indigne que les juges ne sont pas allés, dans ce cas précis, jusqu’à la condamnation. La mobilisation contre le délit de solidarité porte donc ses fruits.

    Nos organisations se réjouissent que le tribunal de Rodez ait considéré que la solidarité n’est pas un délit, et demandent la modification de la loi CESEDA.

    Organisations signataires : ACAT – Cimade – COMEDE – Emmaüs France – Fédération Entraide Protestante – FNARS - Gisti – La Halde Saint Jean - Hors la Rue – Ligue des droits de l’Homme – Médecins du Monde – MRAP – Saf – Secours Catholique – SOS Racisme

  • Des syndicalistes calédoniens condamnés à la prison

    La répression syndicale en Nouvelle-Calédonie suscite assez peu de réactions en France.

     

    Pourtant, c'est sans précédent en métropole que des syndicalistes se retrouvent en prison suite à des actions syndicales. On se souvient même que les séquestrations de dirigeants lors de conflits dans les entreprises avaient plutôt l'approbation des Français. Les lois sont appliquées en fonction de rapport de force, ou de sympathie politique.

    L'Humanité revient sur les événements de Nouvelle-Calédonie, et sur la solidarité avec les syndicalistes locaux.


    NOUVELLE-CALÉDONIE . Gérard Jodar, président de l’USTKE, a été condamné par la justice française pour une manifestation syndicale.

    Ce matin à 10 heures, devant l’Assemblée nationale à Paris, le collectif Solidarité Kanaky appelle à un rassemblement pour exiger la libération Manif_du_13_juin_a_Paris_02.jpgimmédiate des syndicalistes emprisonnés en Nouvelle-Calédonie. Le 29 juin, devant le tribunal de Nouméa, vingt-huit militants de l’USTKE (Union des syndicats des travailleurs kanaks et des exploités) ont été condamnés à des peines de prison. Parmi eux, le président de l’USTKE Gérard Jodar et le secrétaire général de la fédération du bâtiment Michel Safoka ont écopé d’un an de prison ferme. Pour eux et quatre de leurs camarades, un mandat de dépôt a été prononcé à l’audience. Ils sont depuis incarcérés au Camp Est, une prison surpeuplée.

    Que leur est-il reproché ? Le 28 mai dernier, l’USTKE est à l’initiative d’une manifestation syndicale devant l’aérodrome de Nouméa, une simple action de solidarité avec des salariés de la compagnie Air Calédonie. La manifestation pacifique a lieu à l’aube, à une heure où aucun vol n’est programmé. Elle est pourtant durement réprimée et les manifestants essuient des tirs de grenades lacrymogènes. Certains trouvent refuge dans des avions. « Un engin explosif a été trouvé à bord d’un des avions. Tout ceci n’est pas tolérable. Est-ce qu’on est encore dans du syndicalisme ? Non, on est dans du banditisme, et je ne laisserai pas faire », avait sur le coup déclaré Yves Dassonville, haut-commissaire de la République. Des propos sans aucun fondement puisque les syndicalistes sont accusés et condamnés pour « entrave à la circulation d’un aéronef ». Mais ils sont révélateurs des campagnes de dénigrement montées par les autorités françaises à l’encontre de l’USTKE.

    « On a voulu affaiblir l’USTKE en la privant de ses dirigeants, elle en sort renforcée », affirme en substance Hnalaïne Uregei, un de ses membres fondateurs. Visiblement, l’organisation syndicale dérange. C’est la première sur le territoire de la Nouvelle-Calédonie. Elle est influente dans le secteur privé comme dans le public, notamment dans les mines. Le syndicat prône l’indépendance, l’autonomie du pays, à tel point qu’il s’est donné un « relais politique » en créant le Parti travailliste qui, nouveau venu dans le paysage politique, a réalisé de bons scores dans les élections provinciales de mai dernier. « C’est un empêcheur de tourner en rond sur le territoire, avec des positions assez radicales, commente Bruno Dalberto, du département international de la CGT. C’est surtout une force syndicale qui bouge, animant des conflits sociaux comme celui de 2008 à Carsud, la compagnie de transport, qui avait donné lieu déjà à une condamnation à la prison pour Gérard FDJ-JODAR-NB.jpgJodar(photo ci-dessous) ». Les syndicalistes de l’USTKE sont très liés à José Bové, qui avait recueilli en Nouvelle-Calédonie ses meilleurs résultats de la présidentielle en 2007. Ils sont aussi liés historiquement à la CGT avec qui ils coopèrent.

    « On est en face d’une situation de type coloniale qu’on ne retrouve probablement pas dans cette dimension dans les autres territoires d’outre-mer », précise Bruno Dalberto. Est-ce pour cela que l’opinion publique française est si peu informée des réalités de ce territoire ? La CGT, le PCF, le NPA, Solidaires ont fait part de leur solidarité avec les syndicalistes. Mais la réaction de l’opinion, y compris progressiste, est loin d’être à la mesure d’une atteinte aussi grave aux libertés fondamentales de la part de l’État français.

    Olivier Mayer

  • loi Bachelot et accès aux soins

    Le droit à des soins équivalents pour tous devrait être une évidence dans un pays démocratique.

    La récente enquête sur le refus de soins aux bénéficiaires de CMU ne met en évidence qu'une partie d'un système de médecine à deux vitesses.

    La réforme Bachelot ne s'attaque pas à ce problème, sa préoccupation principale étant de faire entrer d'avantage la logique financière dans la gestion de la santé.

    Voici l'analyse de la Ligue des Droits de l'Homme.

     

     

    ill_caric_reforme_sante_argent_table_operation.jpgCommuniqué de la LDH
    Le projet de loi « Hôpital, patients, santé et territoires » (HPST) qui vient d’être adopté le 24 juin dernier prétendait placer « l’accessibilité des soins au premier rang de ses priorités ». Après cinq mois de débats, on est bien loin du compte.

    Face à l’augmentation des inégalités d’accès aux soins – territoriales avec la progression des déserts médicaux, financières avec l’augmentation des dépassements d’honoraires et sociales avec les refus de soins –, la loi HPST est fondée sur une conception technocratique de la santé. Centrée sur la réorganisation de la gouvernance du système de soins, elle souffre des mêmes défauts que ceux que présentaient les réformes de santé et de sécurité sociale depuis 2002, et ne propose aucune perspective à long terme d’amélioration du service public de santé.

    Nous dénonçons particulièrement les dispositions de ce projet de loi qui :

    - sous couvert d’améliorer les modalités de gestion des établissements hospitaliers, privilégient une pure logique financière porteuse de risques de dérives quant à la sélection des activités et à la discrimination des patients en fonction de la rentabilité de leurs pathologies ;

    - réduisent la lutte contre les déserts médicaux à des mesures essentiellement incitatives envers les praticiens libéraux et favorisent le regroupement des établissements hospitaliers, éludant la question de la place des établissements de proximité, au risque d’accélérer l’apparition de véritables taches blanches territoriales de désertification sanitaire ;

    - ignorent des dérives majeures de notre système de soins et en particulier renoncent à limiter les dépassements d’honoraires et à renforcer les dispositifs de lutte contre les pratiques discriminatoires de refus de soins.

    Face à cette « contre-réforme », la Ligue des droits de l’Homme affirme au contraire qu’une politique de santé doit avoir comme objectif principal la lutte contre toutes les inégalités d’accès aux soins de santé, qu’elles soient territoriales, financières ou sociales. La LDH soutient les personnes qui se sont engagées pour soutenir le maintien d’équipements dont l’inutilité ou l’obsolescence ne sont pas prouvées, pour exiger que le service public poursuive et améliore son service aux malades, et enfin pour que l’accès aux soins de proximité et à des services de prévention soient garanti pour tous et partout.

    Paris, le 6 juillet 2009

  • Proposition de loi anti-bandes : jusqu’où nous conduira la démagogie sécuritaire ?


    Communiqué du Collectif Liberté Egalité Justice (CLEJ)

    Le 5 mai 2009, M. Christian Estrosi, député-maire UMP de Nice, a déposé une proposition de loi visant notamment à « renforcer la lutte contre les violences de groupes ». Ce texte a été adopté en commission des lois le 10 juin. Il est examiné au Parlement depuis le 23 juin. La création d’un tel délit, résurgence aggravée de la tristement fameuse « loi anti-casseurs », est totalement inutile pour lutter contre la délinquance et très dangereuse pour les libertés publiques.

    Le 5 mai 2009, M. Christian Estrosi, député-maire UMP de Nice, a déposé une proposition de loi visant notamment à « renforcer la lutte contre les violences de groupes ». Ce texte a été adopté en commission des lois le 10 juin. Il est examiné au Parlement depuis le 23 juin.

    Il prévoit en particulier de punir de 3 ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende « le fait de participer, en connaissance de cause, à un groupement, même formé de façon temporaire, qui poursuit le but, caractérisé par un ou plusieurs faits matériels, de commettre des violences volontaires contre les personnes ou des destructions de biens ».

    La création d’un tel délit, résurgence aggravée de la tristement fameuse « loi anti-casseurs », est à la fois totalement inutile pour lutter contre la délinquance et très dangereuse pour les libertés publiques.

    Inutile parce que le Code pénal permet déjà de punir très sévèrement les auteurs d’infractions en groupe.

    Circonstances aggravantes de réunion et de bande organisée, coaction, complicité, délits d’association de malfaiteurs, d’attroupement armé et d’attroupement non-armé constituent un arsenal répressif déjà considérable contre les personnes qui, collectivement, commettent ou commencent à commettre des violences ou des dégradations et même celles qui préparent la commission de tels faits.

    28258216zn8.pngDangereuse parce qu’au-delà de l’affichage politique, la définition retenue est extrêmement floue et porte en germe un arbitraire policier et judiciaire qui n’est pas acceptable en démocratie.

    En effet, compte tenu de la pression statistique sans précédent qui s’exerce sur les forces de l’ordre, un tel « délit préventif », qui repose sur une suspicion d’intention (le « but poursuivi », en l’absence de toute violence ou dégradation effective), ne manquera pas d’engendrer des gardes à vue abusives (arrestation, menottage, fouilles, fichage…), dont tout laisse à penser que les « populations cibles » seront les habitants des quartiers populaires, notamment les jeunes, et les militants, déjà souvent présumés suspects…

    Compte tenu de l’imprécision de l’incrimination, il est même à craindre que les tribunaux prononcent des condamnations sur la base de ces procédures aléatoires, notamment dans le cadre des audiences expéditives de comparutions immédiates…

    Se promener à plusieurs dans une cité en marquant une certaine méfiance au passage de la police, occuper un appartement vide pour revendiquer une politique du logement digne de ce nom, protester contre une expulsion sans relogement, participer à une manifestation dans un climat tendu, organiser un happening, investir un bâtiment d’université pour dénoncer telle ou telle « réforme »…, autant de comportements étrangers à la délinquance qui risquent cependant d’alimenter la politique du chiffre sévissant au ministère de l’Intérieur.

    En réalité, sous couvert de lutter contre les bandes, dont l’existence n’est pas nouvelle et qui sont déjà réprimées, y compris lorsque, comme récemment, de graves violences sont commises, ce texte contribuera à pénaliser à la fois les plus démunis et ceux, militants et citoyens, qui veulent agir ensemble pour faire reconnaître leurs droits.

    Il est vrai que M. Estrosi est un fervent pratiquant de l’idéologie sécuritaire. On se souvient notamment qu’il avait déposé en 1991, suite à une affaire criminelle médiatisée, une proposition de loi tendant à rétablir la peine de mort pour certains crimes…

    Les organisations membres et partenaires du Collectif Liberté Egalité Justice (CLEJ) dénoncent la surenchère démagogique que représente ce nouveau texte et en demandent le retrait pur et simple.

    Alors que le Code pénal a été modifié 116 fois entre le 1er janvier 2002 et le 18 juillet 2008, elles rappellent par ailleurs qu’il est urgent de mettre fin à l’inflation législative, particulièrement nocive en matière pénale. Un fait divers = une loi, ça suffit !

    Le 29 juin 2009

     

     

    - Organisations signataires :

    - associations : Association Française des Juristes Démocrates (AFJD) Association Française des Magistrats de la Jeunesse et de la Famille (AFMJF) Droit Au Logement (DAL) Fédération des Conseils de Parents d’Elèves des écoles publiques (FCPE) Groupement Etudiant National d’Enseignement aux Personnes Incarcérées (GENEPI, membre observateur) Ligue des Droits de l’Homme (LDH)

    - autre collectif : Collectif « Nous refusons la politique de la peur »

    - mouvements et partis politiques : Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) Parti Communiste Français (PCF) Parti Socialiste (PS) Les Verts.

    - syndicats : Confédération Générale du Travail - Protection Judiciaire de la Jeunesse (CGT-PJJ) Confédération Générale du Travail - Pénitentiaire (CGT-Pénitentiaire, UGSP) Fédération Syndicale Unitaire (FSU) Solidaires Unitaires Démocratiques - Santé/Sociaux (SUD-Santé/Sociaux) Syndicat des Avocats de France (SAF) Syndicat de la Magistrature (SM) Syndicat National de l’Ensemble des Personnels de l’Administration Pénitentiaire (SNEPAP/FSU) Syndicat National des Enseignants du Second degré (SNES/FSU) Syndicat National des Personnels de l’Education et du Social - Protection Judiciaire de la Jeunesse (SNPES-PJJ/FSU) Syndicat National Unitaire des Collectivités Locales, de l’Intérieur et des Affaires Sociales (SNU-CLIAS/FSU) Union Nationale des Etudiants de France (UNEF) Union Syndicale de la Psychiatrie (USP)