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social - Page 56

  • Samedi 6 septembre : fête de solidarité à Vrigne aux Bois.

    Note reprise du Blog de Michèle Leflon

    photos_3190_t.jpgVous vous souvenez, les manifestations de l'automne 2010 contre la casse des retraites, les incidents le 28 octobre devant le siège de l'UMP.

    L'acharnement judiciaire n'a pas cessé et malgré la relaxe des manifestants qui avaient été inculpés, un nouveau procès en appel aura lieu le 2 octobre à Paris.

    La responsabilité du gouvernement actuel qui a repoussé une loi d'amnistie est considérable.

    Concrètement, les frais de justice s'accumulent et la solidarité est nécessaire.

    Au programme du 6 septembre, animations et musiques à partir de 14 h 30, se terminant pas un repas mexicain dansant (inscription obligatoire au 03 24 32 08 49.)

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    manifestation,repression,trtraites,ardennes

     

  • Les actionnaires ne connaissent pas la crise.

    La crise économique qui touche l'économie mondiale depuis plusieurs années est loin d'être terminée.

    La croissance est pratiquement nulle en Europe, et la dette qui plombe la reprise ne diminue pas. Les chiffres du chômage sont un indicateur tristement évident de la gravité de cette crise qui touche des millions de personnes rien qu'en France. Pourtant, on apprend que les dividendes versés aux actionnaires sont en forte hausse cette année. Selon le site lesechos.fr : "Les dividendes, au niveau mondial, ont atteint un nouveau record au deuxième trimestre à presque 427 milliards de dollars, selon une étude d'Henderson Global Investors sur les plus grandes sociétés mondiales."

    On est encore plus surpris de voir que notre pays est parmi ceux qui voient le chiffre des dividendes versés augmenter le plus. Toujours selon lesechos.fr : "La France se distingue clairement, puisqu'elle est le plus important pays de la zone pour les rémunérations aux actionnaires. Celles-ci atteignent 40,7 milliards de dollars entre avril et juin, en progression de 30 %. Le secteur financier a opéré un retour à la normale avec la reprise des dividendes de Crédit Agricole et une forte hausse pour Société Générale. BNP Paribas, de son côté, a versé des dividendes et indiqué qu'il continuerait malgré la lourde amende infligée aux Etats-Unis."

    D'après ces chiffres, on pourrait conclure que la crise est terminée, puisque des bénéfices peuvent être versés aux actionnaires. La réalité semble plus cruelle : les entreprises hésitent à investir, car la situation économique n'est pas brillante, et elles préfèrent distribuer leur bénéfice plutôt que prendre le risque de se développer en misant sur un meilleur avenir.

    Cette hausse des dividendes n'est donc pas une bonne nouvelle, du moins pour la majorité des Français, car elle n'annonce d'aucune manière un début de sortie de crise.

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  • Le Cabaret Vert : des objectifs clairs et des des moyens adaptés

    Le Cabaret Vert a l'ambition de concilier un festival populaire et le développement durable.

    Voici en quatre chapitres, repris de son site, comment il arrive à mettre en place un rassemblement festif et écologique.

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    COMMENT LE FESTIVAL LIMITE-T-IL SON IMPACT SUR L’ENVIRONNEMENT ?

    L’équipe du Cabaret Vert a défini 4 points d’actions : assurer la gestion et la valorisation des déchets, contrôler la consommation d’énergie, préserver les ressources en eau et définir un plan de transport pour les marchandises et les festivaliers.

    Près de 100 bénévoles sont directement impliqués dans la collecte et le tri des déchets du festival. L’organisation assure le tri des matières recyclables, ainsi que la collecte des déchets organiques provenant des toilettes sèches et des stands de restauration.

    Le festival contrôle sa consommation d’énergie, du montage au démontage, et sa consommation en carburant.

    Le Cabaret Vert veille à préserver ses ressources en eau en contrôlant leur utilisation et en  utilisant des produits d’entretien éco-certifiés.

    En termes de transports, le festival  incite également ses festivaliers à venir en bus, train ou covoiturage, grâce à des offres promotionnelles et une communication adaptée.

    COMMENT LE FESTIVAL CONTRIBUE-T-IL AU DÉVELOPPEMENT D’UNE ÉCONOMIE LOCALE, DURABLE ET SOLIDAIRE ?

    Dès ses origines, le Cabaret Vert a placé l’économie et la promotion du territoire au cœur de sa réflexion développement durable.

    Le festival suit une politique d’achats responsables : prêt ou location de matériel, 100% des produits d’entretien éco-certifiés, vaisselle jetable biodégradable…

    À cette démarche s’ajoute la mise en place d’une charte de restauration durable, basée sur 4 volets : Produits alimentaires, Gestion des déchets, Maîtrise de l’eau & énergie et Fonctionnement général du stand.

    16 principes ont ainsi été identifiés pour améliorer au fur et à mesure des années l’impact économique et environnemental des buvettes et stands de restauration.

    Le Cabaret Vert a avant tout la volonté de s’impliquer dans le développement économique de la région. Le festival veille donc à s’entourer de partenaires locaux pour développer des projets fédérateurs & collaboratifs.

    COMMENT LE FESTIVAL FAVORISE-T-IL LA CRÉATION DE LIEN SOCIAL ?

    Le Cabaret Vert souhaite offrir un événement culturel multidisciplinaire, de qualité et accessible à tous.

    Pour y parvenir, une Politique Tarifaire Solidaire est mise en place depuis le début du festival. Les prix exercés sont validés chaque année par le conseil d’administration de l’association, garant de l’esprit et des valeurs du Cabaret Vert.

    Le festival travaille également sur l’amélioration de l’accès au festival et au camping pour tous. Actuellement, une équipe de 18 personnes assure l’accueil des personnes en situation de handicap.

    Toujours dans cette dynamique d’échange et de partage, le Cabaret Vert valorise la création locale et accueille d’autres disciplines artistiques : les espaces Bande Dessinée, cinéma, ainsi qu’une programmation arts de rue.

    Et enfin, en 2013, plus de 1200 bénévolesde tout âge ont assuré l’accueil des festivaliers. Pour une expérience positive, constructive et enrichissante, une équipe de 20 bénévoles assure l’accueil et la bonne intégration de l’ensemble des bénévoles.

    COMMENT LE CABARET INTÈGRE-T-IL LE DÉVELOPPEMENT DURABLE DANS LE FONCTIONNEMENT DU FESTIVAL?

    Le Cabaret Vert a pour mission de communiquer de manière transparente et responsable auprès de toutes ses parties prenantes et de valoriser les actions citoyennes, de façon à permettre la bonne compréhension et la vitalité de ses engagements.

    Le Cabaret Vert cherche à impliquer les festivaliers dans sa démarche au travers des réseaux sociaux, de l’application mobiledu site internet, de l’affichage sur le site, et des supports de communication imprimés par des « imprim’vert ».

    Dans une même démarche, le village associatif accueille plus de 40 associations engagées dans les secteurs culturel, écologique et humanitaire. Ouvert durant tout le festival, il assure aussi un rôle de prévention. Une partie des associations renseignent les festivaliers sur les comportements à risque et mettent à leur disposition des préservatifs, des éthylotests, des bouchons d’oreilles, des fruits et barres de céréales…

    Durant le festival, une équipe de 10 bénévoles est en charge de la visibilité & de la bonne compréhension de la démarche développement durable : sensibiliser et informer les festivaliers et collecter des données pour établir le rapport développement durable du festival.

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  • Chômeurs proches de l'âge de la retraite : une nouvelle attaque de l'Unedic ... une honte !!!

    Article tiré du blog de la CGT du Conseil Général des Ardennes.

    Afin de tenir compte du relèvement progressif de l’âge minimum de la retraite de 60 ans à 62 ans, le nouvel accord sur l’assurance chômage prévoit de relever, à compter du 1er juillet 2014, l’âge à partir duquel les chômeurs indemnisés peuvent bénéficier du maintien de leurs indemnités jusqu’à la liquidation de leur retraite à taux plein. Un nouveau calcul qui n'arrange pas tous les seniors qui se retrouvent sans emploi à l'approche de la retraite.

     

    Les chômeurs âgés de plus de 50 ans ont le droit à une durée d’indemnisation de 36 mois maximum. En principe, une fois, ces 36 mois épuisés, le versement de leurs allocations cesse. Toutefois s’ils sont toujours en cours d’indemnisation à 61 ans (ou après), la convention d’assurance chômage actuellement en vigueur prévoit qu’ils peuvent bénéficier du maintien de leurs allocations chômage, même s’ils ont épuisé leur 36 mois d’indemnisation, jusqu’à l’âge auquel ils auront réuni le nombre de trimestres nécessaire pour faire liquider leur pensions à taux plein, ou à défaut jusqu’à l’âge du taux plein applicable à leur génération.

    Le bénéfice de cette mesure est réservé aux chômeurs indemnisés depuis au moins un an, ayant cotisé pendant au moins 12 ans au régime d’assurance chômage (dont un an en continu ou deux ans discontinus, au cours des 5 ans précédent la fin de leur contrat de travail, et ayant validé au moins 100 trimestres pour leur retraite.

    La nouvelle convention d’assurance chômage relève l’âge requis pour bénéficier de ce maintien de droits : il est porté à 61 ans et 2 mois pour les assurés nés en 1953, à 61 ans et 7 mois pour ceux nés en 1954 et à 62 ans pour les chômeurs nés à partir de 1955. Cette mesure s’appliquera à compter du 1er juillet 2014 aux salariés dont la fin du contrat de travail est postérieure au 30 juin 2014.

    Concrètement, cela signifie qu’une personne qui se retrouve aujourd’hui au chômage à 58 ans, voire quelques mois avant compte tenu des différés d’indemnisation, est assurée d’être portée par Pôle emploi jusqu’à l’âge auquel elle pourra percevoir sa retraite à taux plein. A partir du mois de juillet prochain, elle devra attendre d’avoir au moins 59 ans (génération 1955) pour être assurée de ce maintien.

     

    Encore une fois, une attaque sur les moins aisés .... merci qui !!!!!!

     

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  • Les régularisations fiscales font réapparaître 28 milliards d'euros

    Les montants estimés des fraudes en France paraissent très élevés.

    Ainsi, la caisse d'allocation familiale estime à 140 millions d'euros la fraude détectée en 2013, chiffre qui peut paraître considérable. Mais ce montant ne représente que 0.22 % des prestations distribuées Fraudeurs.jpgce qui relativise grandement l'ampleur de la fraude. De plus, la CAF récupère environ 90 % de cette fraude détectée. Il existe forcément par ailleurs une fraude non détectée, mais par définition son montant est inconnu, il est  cependant estimé à quelques centaines de millions d'euros par an.

    Dans ce domaine de la fraude sociale, on parle en millions, pour la fraude fiscale, on parle en milliards !

    Et cela, uniquement pour 29.000 dossiers identifiés par le ministère des Finances. La dissimulation ferait réapparaître 28 milliards d'euros et rapporterait 1,8 milliard d'euros dans les caisses de l'Etat. Il ne s'agit là aussi que des dossiers identifiés, la fraude inconnue étant largement supérieure à ces montants.

    Le site rts.ch estime que 80 % de cette fraude concernant des Français repentis ayant des comptes à l'étranger est le fait de possesseurs de comptes en Suisse. Des conventions d'accords fiscaux ont été passées avec ce pays, mais de nombreux paradis fiscaux continuent d'exister dans le monde. Et il n'est plus nécessaire à l'heure d'internet de faire passer des valises de billets à travers les frontières, un simple virement suffit.

    Sans être parano, on peut estimer que chaque secteur d'activité humaine comporte son lot de tricheurs.

    Mais on entend souvent parler de la fraude sociale, autour de soi ou dans les médias, pratiquement autant que de la fraude fiscale Pourtant il est établi que cette dernière atteint des montants mille fois supérieur que celui de la fraude sociale : il est important de rétablir la réalité des faits pour lutter contre les  fraudeurs qui mettent réellement en difficulté les équilibres budgétaires.

  • "Cependant, des signes positifs sont visibles ..."

    Faut-il décerner le prix de l'humour noir au ministre du travail ?

    Les chiffres du chômage publiés ce jour pour le mois de juin 2014 sont mauvais, et ce pour le 8ème mois consécutif. Le ministre souligne à chaque publication qu'il ne faut pas lire une tendance sur un seul mois, et nous sommes d'accord avec lui. Mais sur 8 mois, et même sur plus de deux ans depuis l'arrivée de François Hollande, les chiffres parlent avec cruauté.

    Situation cruelle pour tous ceux qui sont touchés par le chômage, et échec cinglant pour la politique gouvernementale, qui avait fait de la lutte contre le chômage une priorité absolue. Et pourtant le ministre arrive à trouver des signes positifs dans cette publication, alors que les prévisions économiques médiocres n'annoncent pas de changement de tendance

    Voici les chiffres publiés par la DARES :

    Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A s’établit à 3 398 300 en France métropolitaine fin juin 2014. Ce nombre est en hausse par rapport à la fin mai 2014 (+0,3 %, soit +9 400). Sur un an, il croît de 4,0 %. Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en activité réduite (catégories B et C) s’établit à 1 644 900 en France métropolitaine fin juin 2014 : sur un mois, il augmente de 0,1 % pour l’activité réduite courte (catégorie B, +5,4 % sur un an), et de 1,3 % pour l’activité réduite longue (catégorie C, +9,2 % sur un an). Au total, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégories A, B, C s’établit à 5 043 200 en France métropolitaine fin juin 2014 (5 343 100 en France y compris Dom). Ce nombre est en hausse de 0,5 % (+23 000) au mois de juin. Sur un an, il augmente de 5,1 %.

    Pour les Ardennes et la Région les chiffres sont à peu près stables ce mois-ci, mais la tendance au long cours reste à la hausse . Voici les chiffres de la DIRRECTE :

    Fin juin 2014, dans le département des Ardennes, 16 858 personnes sont inscrites à Pôle emploi en catégorie A. Ce nombre reste stable de 0,0 % par rapport à fin mai 2014 ( 4). Sur un an, il est en augmentation de 1,6 %.
    Le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A, B, C s'établit à 23 912 dans le département des Ardennes, fin juin 2014. Ce nombre diminue de 0,3 % (- 61) sur un mois. Sur un an, il augmente de 1,5 %.

    En Champagne-Ardenne, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A diminue de 0,4 % par rapport à mai 2014 ( + 2,7 % en un an).
    En Champagne-Ardenne, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A, B, C augmente de 0,3 % par rapport à mai 2014 (+ 4,1 % en un an).

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  • Les chiffres du chômage de mai 2014 ne sont pas bons, dit le ministre.

     Plus question d'une inversion de la courbe, le ministère espère simplement pouvoir "endiguer la progression" au deuxième semestre 2014

    En mai 2014, le nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A augmente et s’établit à 3,388 millions (+24 800, soit +0,7%). Pour les inscrits à Pôle emploi (catégories ABC), l’évolution est de +0,7% (+34 300).

     Voici ce que dit le communiqué officiel (extraits)

    Ces chiffres ne sont pas bons. Ils sont le reflet d’une croissance plus faible que prévue au premier semestre qui entraîne des destructions nettes d’emplois marchands.
    Les efforts que le gouvernement continue de déployer doivent permettre d’endiguer cette progression au second semestre 2014.

    Les chiffres pour la Région restent dans le même ton :

    Fin mai 2014, dans le département des Ardennes, 16 854 personnes sont inscrites
    à Pôle emploi en catégorie A.
    Ce nombre augmente de 1,1 % par rapport à fin avril 2014 ( + 180). Sur un an, il est en
    augmentation de 2,5 %.

     

    Le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A, B, C s'établit à
    23 973 dans le département des Ardennes, fin mai 2014. Ce nombre augmente
    de 0,5 %(+ 118) sur un mois. Sur un an, il augmente de 2,3 %.
    En Champagne-Ardenne, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A
    augmente de 1,6 % par rapport à avril 2014 ( + 3,7 % en un an).
    En Champagne-Ardenne, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A, B, C
    augmente de 1 % par rapport à avril 2014 (+ 4,1 % en un an).

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