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  • Faites du sport : revue de détail des clubs de Vouziers

    Tous les deux ans, la journée "Faites du sport" est l'occasion de saisir la richesse de l'offre sportive vouzinoise.

     Au gymnase "Syrienne" et aux alentours, les clubs sportifs peuvent se présenter et faire des démonstrations de leurs activités.

    C'est donc pour les Vouzinois récents ou plus anciens le moment de faire le choix de l'activité physique qui leur convient le mieux. Cette journée est organisée par l'Office Municipal des Sports, et c'est donc son président qui a accueilli le Maire et ses adjoints qui ont fait le tour des stands proposés.

    La météo, malgré quelques menaces nuageuses, s'est maintenue suffisamment pour permettre un bon déroulement de la journée. Les clubs peuvent espérer avoir fait de nouveaux contacts et ainsi augmenter leur effectif tant parmi les jeunes que les adultes.

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    Le tir à l'arc, activité récente à Vouziers

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    L'escrime en démonstration et en première approche pour les plus jeunes

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    Le Rugby, un sport au contact facile.

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    Le judo peut être débuté très jeune.

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    Pétanque ou lancement du poids, la légende ne le dit pas.

     

  • Vouziers : Portes ouvertes au FJEP ce jour

    La rentrée de septembre marque aussi la reprise des activités au FJEP de Vouziers.

     

    Cette après-midi, l'association ouvrait ses deux sites vouzinois pour faire découvrir ses locaux et les activités qui y sont présentées.

    Le local "jeunes" situé rue des Artisans dans la zone artisanale est presque terminé d'aménager. Cet ancien bâtiment commercial accueille une salle de répétition, une salle d'activité pour les jeunes et une salle pour l'aéromodélisme.

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    Une salle de répétition où les musiciens ne risquent pas de gêner les voisins.

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    Ce jour, la musique se jouait plutôt à l'extérieur.

    Dans le même temps, le local "historique" de la rue du Champ de foire accueillait les personnes qui voulaient découvrir les différentes activités proposées tout au long de l'année.

    Une des caractéristique du FJEP est d'être un Centre Social agréé par la CAF, mais les activités qui se déroulent dans ce cadre ne sont pas coupées du reste des sections traditionnelles. A l'inverse c'est le lien créé entre les personnes et la continuité de l'action qui rendent crédibles et efficaces les misions effectuées dans le champ social.

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    Le jardin, une activité qui porte ses fruits (et ses légumes)

    vouziers,fjep-cs,portes ouvertes

    Le Scrabble, ou les mots pour le dire et parfois le tirage pour le pire

    Cette journée c'est terminée par un petit mot de la présidente qui a remercié les bénévoles et les salariés qui ont fait vivre les locaux et qui a salué  les personnes qui ont fait le déplacement ainsi que les personnalités présentes. Parmi elles, le Maire de Vouziers qui a prononcé quelques mots pour souligner le rôle du FJEP dans son environnement.

    Un buffet préparé à l'interne par l'atelier cuisine a permis à chacun de déguster les mets proposés tout en échangeant des propos avec les membres de l'assistance.

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  • La banquise arctique disparaît

    Greenpeace qui mène une campagne pour sauver l'Artique commente les dernières évolutions connues.

    Il y a quelques jours, le NSIDC & la NASA délivraient des images impressionnantes de l’état actuel de la banquise arctique. À 4,1 millions de km2 la surface de la glace de mer n’avait jamais été aussi réduite… Mais le minimum de la banquise arctique n’était pas encore atteint : ce triste record battu, la banquise a continué de se rétracter, jusqu’à diminuer à une surface de 3.41 millions de km2 – soit une chute d’environ 45% depuis 1979 à la même période.

    La fonte de la banquise arctique est l’un des impacts les plus visibles des changements climatiques, avec des conséquences importantes non seulement pour les populations autochtones, la faune et la flore de cette région, mais également pour l’ensemble de la planète.

    La fonte des glaces durant l’été est un excellent indicateur du réchauffement climatique mais c’est aussi une véritable clé du phénomène.

    Le recul de la banquise ne peut plus être expliqué par la variabilité naturelle d’une année sur l’autre.
    Les modèles climatiques montrent plutôt que ce recul est lié au réchauffement climatique, particulièrement prononcé en Arctique. Les éléments de preuve attestant du réchauffement récent de l’Arctique comprennent: l’augmentation des températures enregistrées, la fonte des glaciers, des banquises et du permafrost, ainsi que l’augmentation du niveau des océans.

    GP0497A.jpgLes mesures précises, par satellites, de ces données ont débuté dans les années 1970 : ces données suggèrent que, durant cette période, la quantité de glace de mer dans l’Arctique a diminué d’environ 3% tous les dix ans, mais, de façon inquiétante, les scientifiques ont découvert que le taux de fonte a augmenté de manière significative ces dernières années.

    En moins d’une génération, nous avons changé l’apparence de la planète

    Et cette modification drastique de l’Arctique est exploitée par les compagnies pétrolières qui tentent désespérément de repousser des limites auparavant considérées comme infranchissables, trop risquées ou non rentables. Cette expansion effrénée touche désormais l’Arctique, où la fonte des glaces causée par les changements climatiques ouvre la voie à de vastes régions jusque-là préservées.

    D’après les estimations de l’agence américaine Minerals Management Service, les blocs de concession situés dans l’océan Arctique ou à proximité de l’Alaska ont une chance sur cinq d’être à l’origine d’une marée noire importante au cours de leur durée d’exploitation.

    Ainsi, plus le nombre de blocs exploités sera élevé, plus les risques de marée noire seront importants. Au cours des dernières années, les dangers liés aux icebergs ont augmenté car plusieurs grands glaciers du Groenland ont commencé à se désintégrer en raison des changements climatiques. Un immense bloc de glace, d’une superficie égale à quatre fois celle de Manhattan, s’est récemment détaché du glacier de Petermann. Il devrait dériver en direction du détroit de Nares, pour rejoindre ensuite la mer de Baffin et s’engouffrer dans le courant du Labrador. Il est probable que certains de ces icebergs soient trop gros pour être remorqués hors du passage des appareils de forage. En d’autres termes, les plateformes elles-mêmes devront être retirées à brève échéance.

    Mais les leçons ne semblent pas porter leurs fruits : si l’on part de l’hypothèse qu’un baril, après raffinage et combustion du pétrole, génère environ 300 kg de CO2, les réserves offshore extractibles de l’Arctique pourraient être à l’origine de l’émission de 27 milliards de tonnes de CO2 – un volume comparable à ce qu’émettent chaque année l’ensemble des pays de la planète.

    1,8 millions de personnes ont rejoint la campagne Save The Arctic – pour qu’enfin, cette zone exceptionnelle et précieuse devienne zone naturelle préservée. Il est temps de mettre fin à la course aux intérêts économiques et industriels en Arctique, car cette zone est cruciale pour l’ensemble des habitants de la planète !

    L’Arctique a besoin de nous. L’Arctique a besoin de vous.

    Je deviens défenseur de l'Artique

  • Le scepticisme de Manuel Valls pour réformer les contrôles d’identité est déplorable

    Communiqué commun LDH, Gisti, Graines de France, Human Rights Watch, Maison pour un développement solidaire, Open Society Justice Initiative, SAF et Syndicat de la magistrature
    Une réforme en profondeur est nécessaire, urgente et réaliste.
    Après le discours de M. Valls à l’École Militaire et l’intervention de M. Ayrault, sur RTL, les organisations (Gisti, Graines de France, Human Rights Watch, la Ligue des droits de l’Homme, la Maison pour un développement solidaire, Open Society Justice Initiative, le Syndicat des avocats de France et le Syndicat de la magistrature) appellent le gouvernement à respecter les engagements pris en matière de réforme des contrôles d’identité. Cette réforme est urgente et nécessaire et, contrairement aux affirmations du ministère de l’Intérieur, est parfaitement réaliste et de nature à améliorer l’efficacité des forces de l’ordre.

     

    Dans sa proposition n° 30, François Hollande s’est engagé à « lutter contre le délit de faciès » dans les contrôles d’identité, grâce à « une procédure respectueuse des citoyens ».

    Cet engagement essentiel, à haute portée symbolique, doit nécessairement être mis en œuvre pour faire face au problème des contrôles au faciès. En effet, l’engagement du Président est intervenu après des années, durant lesquelles des organisations nationales et internationales ont publié de nombreux rapports mettant en lumière les dérives des contrôles d’identité en France, y compris le contrôle au faciès.

    Ces dérives dégradent la relation entre la police et la population, et provoquent le sentiment pour lescontrole-identite.jpg victimes de ces contrôles d’être considérées comme des citoyens de seconde zone. En outre, dans de nombreux cas, ils sont attentatoires à plusieurs libertés et droits fondamentaux : liberté d’aller et venir, droit à la sûreté, droit à la protection de la vie privée et à la non-discrimination.

    La proposition n° 30 du Président représente un engagement de faire respecter l’état de droit et de rétablir un juste équilibre entre la capacité pour les agents de remplir leurs missions tout en assurant la protection des libertés fondamentales. Il représente aussi un engagement de restaurer la sérénité entre police et population et d’améliorer la sécurité de tous.

    La position exprimée par Manuel Valls dans son discours du 19 septembre relatif aux mesures à mettre en place pour mener à bien cette réforme des contrôles d’identité, est particulièrement regrettable et inquiétante. D’autant que cette prise de position intervient après un débat public réducteur focalisant principalement sur les récépissés de contrôle, véhiculant de fausses idées sur ceux-ci et alors qu’aucune expérimentation n’a été menée.

    Les expériences réalisées dans d’autres pays ont clairement démontré la possibilité à la fois de réduire la prévalence des pratiques discriminatoires et d’améliorer l’efficacité des contrôles de police. Pour réussir, un fort engagement politique ainsi qu’un ensemble de mesures sont nécessaires.

    La délivrance d’un récépissé après un contrôle constitue en effet un élément important d’un dispositif visant à réduire les contrôles au faciès, mais elle ne sera pas suffisante. Une réforme plus globale est nécessaire : réforme de la loi encadrant les contrôles d’identité (article 78-2 du Code de procédure pénale), suivi des contrôles par les superviseurs et cadres policiers, rencontres régulières entre les citoyens/habitants, la police et les élus pour discuter de la pratique des contrôles, formation amenant les agents à réfléchir sur les objectifs des contrôles d’identité et à en user avec discernement.

    Au sein d’un tel dispositif, la mise en place des récépissés de contrôle rendra plus transparente la façon dont les contrôles sont effectués, de même qu’elle permettra d’en finir avec la situation anormale qui perdure à ce jour, à savoir l’absence de toute trace matérielle, de tout enregistrement physique des contrôles d’identité. Avec ces documents, conçus pour éviter tout fichage, l’institution policière aura un appui objectif pour démontrer l’absence de discrimination ou de harcèlement dans l’exercice de ses pratiques dans la mesure où lesdits documents pourront confirmer les raisons objectives de chaque contrôle.

    Afin de développer un dispositif approprié, il est impératif que les divers acteurs concernés — associations, experts, élus locaux, magistrats et avocats, ainsi que le ministère de la Justice — soient consultés et impliqués.

    Nos organisations appellent le gouvernement à respecter l’engagement n° 30 du Président et, sans attendre, à mettre en œuvre une véritable consultation.

  • La Meuse a bien été polluée à Chooz par des rejets chimiques

    La Meuse a été l'objet d'un déversement d'eaux usées dont le pH a été mesuré à 1,5

    Un tel niveau correspond à une acidité très forte, incompatible avec toute forme de vie. Le volume déversé semble considérable, et la dilution du rejet par les eaux du fleuve n'a pu neutraliser l'effet que partiellement, sachant que le contact de l'acide sulfurique et de l'eau dégage une forte quantité de chaleur.

    Après étude des données, le réseau "Sortir du Nucléaire" a décidé de porter plainte contre EDF, d'autant que des négligences concernant la prévention et la limitation du rejet ont été mises en évidence par l'Autorité de Sureté Nucléaire.

    Voici la note reprise du site de Sortir du Nucléaire :

    Le 29 décembre 2011, l’exploitant de la centrale de Chooz B a détecté, au point de rejet en Meuse des eaux pluviales collectées sur le site, un pH anormalement faible. Après investigation, l’exploitant a identifié une fuite d’acide sulfurique vers le réseau d’eaux pluviales du circuit de traitement antitartre des tours aéroréfrigérantes. Le Réseau "Sortir du nucléaire" a porté plainte. Le site de Chooz regroupe les réacteurs de la centrale nucléaire dite Chooz B implantée dans les Ardennes, à la pointe nord du images?q=tbn:ANd9GcRrlgR3AQo-0DirAHs6wTlXK3nK6GJbdjyhGobVag0qiS_PPQvtdépartement. Le site se trouve à moins de 10 km de la Belgique. Exploitée par EDF, cette centrale est constituée de deux réacteurs à eau sous pression d’une puissance de 1450 MW. L’exploitant de la centrale de Chooz B a détecté le 29 décembre 2011, au point de rejet en Meuse des eaux pluviales collectées sur le site, un pH anormalement faible, de l’ordre de 1,5, alors que les prescriptions applicables à ce rejet précisent que le pH de ces effluents doit être compris entre 6 et 9. Après investigation, l’exploitant a identifié une fuite vers le réseau d’eaux pluviales du circuit de traitement antitartre à l’acide sulfurique des tours aéroréfrigérantes (TAR). Le rejet a vraisemblablement débuté le 6 décembre 2011 lors du redémarrage du réacteur n° 1 et des installations de traitement des TAR. Jusqu’à sa détection, l’exploitant estime le rejet d’acide sulfurique en Meuse entre 250 et 600 litres par jour ! Lors d’une inspection du 9 janvier 2012 pour examiner les circonstances et les conséquences de cet événement, l’ASN a constaté des négligences dans l’exploitation et la maintenance des équipements qui auraient pu permettre la prévention, la détection et la limitation du rejet... Le 28 août 2012, le Réseau "Sortir du nucléaire" a déposé une plainte pour pollution des eaux.

  • Portes ouvertes au FJEP/CS de Vouziers le samedi 22 septembre

    Venez rendre une visite au FJEP/CS , les salariés et les bénévoles vous réservent un accueil chaleureux , et vous présentent la maison , ses activités et ses acteurs .

     

     

    L'après midi vous pourrez  voir  les activités  et vers 17 h 17h30 un verre de l'amitié sera servi dans la cour si le beau temps est de la partie, sinon une salle accueillera ce moment de détente

     

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    fjep-cs,vouziers,association,portes ouvertes

    Le local rue du Champ de Foire

     

     

    fjep-cs,vouziers,association,portes ouvertes

    Le local "jeunes", rue des Artisans


  • Appel de féministes contre le Pacte budgétaire

    En appui et en parallèle à l'appel unitaire pour la manifestation du 30 septembre contre le Pacte budgétaire européen, des initiatives spécifiques voient le jour

    (...)

    Comme de nombreux rapports l’ont montré, même si toutes les couches populaires sont concernées, les femmes subissent plus durement les mesures d’austérité, faites de coupes dans les services publics et la protection sociale. Déjà, parce qu’elles forment la grande majorité des précaires, sont plus souvent au chômage et en sous-emploi. Ensuite, en tant que responsables principales de la famille, elles sont les premières usagères de ces services, les principales allocataires des prestations sociales et familiales. Du fait de leur recul et du démantèlement progressif de l’État social, les femmes sont contraintes d’assurer tout ce qui n’est plus pris en charge par la collectivité ; leur travail (invisible) dans la sphère privée augmente, leur rôle traditionnel dans la famille s’en trouve renforcé, au détriment de leur travail rémunéré, de leur autonomie, voire de leur santé.

    Les femmes sont également les premières touchées par les baisses d’effectifs et de rémunération dans le secteur public, car elles en constituent presque partout la majorité des employées. Premières touchées encore par les « réformes » des retraites qui ont été menées dans le cadre des restrictions budgétaires. Les droits des femmes sont menacés, et régressent, lorsque les coupes touchent les services de santé sexuelle et reproductive, les subventions aux organismes de lutte contre les17322.preview.jpg violences faites aux femmes, ou encore lorsque de nombreuses maternités et centres d’IVG ferment, comme c’est le cas en France.

    Alors que des investissements publics massifs sont indispensables en matière de protection sociale, de services publics et d’emploi pour répondre aux besoins sociaux et environnementaux et réduire les inégalités, le Pacte budgétaire impose une restriction durable des finances publiques et interdit concrètement toute évolution vers le progrès social.

    Alors que les inégalités entre les femmes et les hommes sont plus que jamais inacceptables, il est urgent de créer un service public de crèches et des services d’aide à la dépendance, de renforcer les services sociaux et de santé en personnels et en moyens. Or ce Pacte, en rendant impossibles ces politiques et en pérennisant l’austérité, aggrave les inégalités entre les sexes.

    Nous refusons le Pacte budgétaire qui condamne l’avenir, sacrifie la démocratie et le bien-être des populations à la satisfaction des exigences des marchés financiers.

    Nous appelons à la construction des résistances et des alternatives à l’austérité en France et en Europe. Nous appelons à y porter les alternatives féministes pour une autre Europe.

    Nous appelons à la manifestation unitaire organisée le 30 septembre par de nombreuses associations, organisations syndicales, partis et collectifs d’audit citoyen contre le Pacte budgétaire, contre l’austérité et pour un débat démocratique.


     

    premières signatures :

    Clémentine AUTAIN (directrice de Regards), Ana AZARIA (présidente Femmes égalité), Martine BASSET (CGT), Francine BAVAY (conseillère régionale EELV), Delphine BEAUVOIS (secrétaire nationale du PG), Fatima-Ezzahra BENOMAR (Les efFRONTé-es), Martine BILLARD (coprésidente du PG), Catherine BLOCH LONDON (Attac, CNDF), Nicole BORVO (sénatrice PCF), Thalia BRETON (porte-parole de Osez le féminisme), Mireille BRUYÈRE (Économistes atterrés), Marie Georges BUFFET (députée PCF), Danielle CARASCO (Planning familial 69), Marie CERVETI (FIT), Leila CHAIBI (La Pelle et la Pioche), Laurence COHEN (sénatrice PCF), Annick COUPÉ (porte-parole de l’Union syndicale Solidaires), Sandra DEMARCQ (NPA), Monique DENTAL (Réseau Féministe « Ruptures »), Michèle ERNIS (Gauche unitaire), Gwenaëlle FERRE (Collectif féminin masculin), Mireille FERRI (EELV), Jocelyne FILDARD (CLF), Pascal FRANCHET (CADTM), Elisabeth GAUTHIER (Espaces Marx /Transform ! Europe), Bénédicte GOUSSAULT (FASE), Magali de HAAS (porte-parole de Osez le féminisme), Lilian HALLS-FRENCH (Initiative Féministe Européenne IFE-EFI), Chantal HERSEMEULE (SOS Femmes accueil 72), Esther JEFFERS (Économistes atterrés), Véronique LAMY (porte-parole du PCOF), Catherine LEBRUN (porte-parole de l’Union syndicale Solidaires), Anne LECLERC (Gauche anticapitaliste), Nelly MARTIN (MMF), Christiane MARTY (Attac, Fondation Copernic), Caroline MECARY (coprésidente de Fondation Copernic), Muriel NAESSENS (Féminisme enjeux), Christine POUPIN (NPA), Roselyne ROLLIER (Maison des femmes de Montreuil), Suzy ROTJMAN (CNDF), Laurence SAUVAGE (secrétaire nationale du PG), Maya SURDUTS (CNDF, CADAC), Michèle RIOT-SARCEY (historienne), Nora TENENBAUM (CADAC), Stéphanie TREILLET (Convergences et alternative), Marie-Pierre TOUBHANS (porte-parole de Gauche unitaire), Aurélie TROUVÉ (coprésidente d’Attac), Marlène TUININGA (Ligue internationale des Femmes pour la Paix et la Liberté, WILPF), Moruni TURLOT (Lesbiennes Of Color), Sophie ZAFARI (syndicaliste, FSU), Henriette ZOUGHEBI (vice-présidente du Conseil Régional IDF)