Pour information, voici une vue de La Hobette avant l'intervention des nettoyeurs. Il s'agit d'une capture d'écran de Google Maps datant de mai 2016.
Avant ....
Après ...
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Pour information, voici une vue de La Hobette avant l'intervention des nettoyeurs. Il s'agit d'une capture d'écran de Google Maps datant de mai 2016.
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Excellente nouvelle ! Le Tour Alternatiba a été sélectionné par le jury de Mon projet pour la planète lancé par le Ministère de la Transition écologique et solidaire. Cela montre l’accueil positif que nous recevons un peu partout depuis l’annonce du projet.
Suite à cette sélection – vous les internautes – êtes appelés à voter pour votre projet préféré. Il y a à la clé une bourse potentielle de plusieurs milliers d’euros pour les projets favoris ce qui nous permettrait de porter plus loin le message de l’urgence climatique et des alternatives. Nous allons avoir besoin de vous et de la fameuse énergie collective qui nous porte tant.
Si le Tour Alternatiba fait partie de vos favoris, nous avons besoin de vous :
Chaque vote compte – avant le 11 mai 2018
N’hésitez pas à partager cet appel à vote sur les réseaux sociaux, dans vos groupes locaux, auprès de vos connaissances, …
ATTENTION : pour que vos votes soient pris en compte, vous devez impérativement avoir confirmé votre inscription dans les 12h !
Ce mois d'avril 2018 a été chargé en actualité sur le dossier pesticides. Le gouvernement a présenté son « plan pesticide » et le sujet a également été évoqué dans le cadre de la loi alimentation. L'exécutif européen a lui avancé sur le dossier alors que les apiculteurs ont alerté sur l'hécatombe en cours dans les ruches. Que retenir des bonnes et moins bonnes nouvelles du mois ? France Nature Environnement fait le point.
Les tops pour la biodiversité et la santé publique
Du côté de la France
Nouvelle définition des néonicotinoïdes : ces pesticides tueurs de pollinisateurs seront interdits en France à partir du 1er septembre 2018. La nouvelle du mois ? Les députés proposent une nouvelle définition, plus juste, de ces substances. Résultat : davantage de pesticides sont inclus dans l'interdiction, le sulfoxaflor notamment. Reste à voir si cette nouvelle définition plus protectrice sera définitivement adoptée à la fin du mois de mai.
Zones de Non traitement pour protéger les riverains : ces espaces sans pesticides à proximité des habitations sont réclamés depuis longtemps par France Nature Environnement pour protéger la population de l’impact nocif de ces substances sur la santé. Alors que le sujet avait été totalement écarté, c’est le gouvernement qui le remet sur la table. Il s’est ainsi engagé à porter des mesures de protection des riverains dans la future loi et c’est une bonne nouvelle.
Du côté de l'Europe
Interdiction de 3 néonicotinoïdes en Europe : les États membres ont enfin décidé d’interdire 3 des substances les plus dangereuses. Une majorité qualifiée d’États a donc validé la proposition de la Commission européenne. Exit donc clothianidine, imidaclopride et thiamétoxame utilisés en extérieur. Toutes les molécules néonicotinoïdes n’y sont pas, mais c’est un début. À quand un alignement de l’Europe sur l’interdiction française, plus protectrice pour nos abeilles ?
Le 26 avril 1986, le réacteur n°4 de la centrale de Tchernobyl, en Ukraine, explosait, entraînant l’une des plus grandes catastrophes du nucléaire civil. Trente-deux ans plus tard, il est encore difficile de mesurer l’étendue des conséquences de ce désastre, tant les enjeux sur le plan environnemental, sanitaire et économique sont considérables.
Il aura fallu par exemple attendre plus de trente années pour que la communauté internationale parvienne à édifier une immense arche pour contenir la radioactivité au-dessus du vieux sarcophage, fissuré, qui était censé isoler le réacteur accidenté. Un chantier colossal achevé douze ans après la date initialement prévue et dont le coût n’a cessé de grimper pour atteindre environ deux milliards d’euros.
Quid des quelque 440 000 mètres cubes de déchets radioactifs à longue durée de vie qui s’y trouvent ? A ce jour, on ignore encore comment extraire ces déchets. Et même si des moyens technologiques étaient à disposition, il resterait à savoir qui serait prêt à en assumer les coûts astronomiques.
Bien au-delà du réacteur accidenté, la catastrophe en cours depuis plus de 30 ans a évidemment un impact considérable et à long terme sur la santé des habitants des environs et sur la faune et la flore.
Après des années de combat contre le projet d'aéroport, et plus de dix jours d'affrontements sur la zone, un début de dialogue semble se mettre en place à Notre-Dame-des-Landes.
L'abandon du projet d'aéroport n'a pas réglé tous les problèmes. Les occupants de la ZAD ont construit au fil des ans des lieux et de projets de vie qui se veulent en opposition totale avec la vision étatique de la société.
L'Etat ne peut accepter la poursuite de ces expérimentations alternatives, et souhaite faire rentrer dans le rang les occupants de la zone. Ceux-ci ne représentent pas une population homogène, une vision différente de l'avenir apparaissant entre les opposants "historiques" et les zadistes. ( voir les différents sites de la lutte, et les récents communiqués publiés). Le gouvernement tente de jouer sur ces différences et demandes des projets individuels. Les occupants essayent de préserver le caractère collectif de leur engagement.
Le gouvernement fait donner toute la puissance de l'appareil d’État. Les occupants ont conservé un capital de sympathie et peuvent compter sur soutien d'une partie importante de la population.
Sauf à croire que la révolution libertaire est sur le point de s'étendre sur toute la France, ou à croire inversement que l’État va éteindre définitivement toute critique radicale, seul un compromis peut éviter la poursuite et l'aggravation des affrontements violents de ces derniers jours.
Sans renoncer au caractère collectif de leur démarche, les occupants de la zone ont accepté de présenter des fiches de projets individuels lors d'une rencontre en préfecture.
Voici leur communiqué.
La 2C2A est en charge de la gestion et de l'animation des sites Natura 2000 du territoire : la découvertes de ces sites est proposée par les animateurs de la communauté. Voici la présentation du programme sur le site de la 2C2A.
Notre territoire est riche de ses paysages, de sa faune et de sa flore remarquables. Ce n’est donc pas un hasard si 7 000 hectares (soit 6 %) font l’objet de mesures de gestion dans le cadre de Natura 2000.
Les sites Natura 2000 ont pour objectif de préserver les espèces et leurs habitats tout en maintenant, voire en développant les activités humaines qui leur sont favorables. En Argonne Ardennaise, la 2C2A assure l’animation des mesures de gestion sur 6 sites classés Natura 2000, en partenariat avec les agriculteurs et les naturalistes. Après une phase d’inventaires et d’élaboration de documents d’objectifs, c’est désormais le temps de l’action !
CONTACT : 2C2A - tél. 03 24 30 23 94
Nicolas Villerette, chargé de mission Nature
Aurélien Musu, technicien Natura 2000