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vouziers - Page 73

  • Départ du Sous-préfet de Vouziers

    Le Journal Officiel daté du 07 aout publie le décret de nomination de M. Jean-Luc Jaeg, actuellement en poste à Vouziers, en tant que sous-préfet auprès du préfet du Bas-Rhin.

    Celui-ci sera donc resté en place à peine deux années, puisqu'il est arrivé en septembre 2012 pour prendre son premier poste dans la préfectorale. Encore, son action aura été interrompue par des périodes électorales et par la mise en place de nouvelles équipes au niveau communal et intercommunal.

    Notons qu'il ne prend pas en charge un arrondissement, mais qu'il est chargé de mission auprès du préfet, ce qui confirme le rôle  de moins en moins territorial des sous-préfets.

    Voici la copie du décret :

    MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR Décret du 5 août 2014 portant nomination du sous-préfet chargé de mission auprès du préfet de la région Alsace, préfet du Bas-Rhin - M. JAEG (Jean-Luc)

    NOR : INTA1416223D Par décret du Président de la République en date du 5 août 2014, M. Jean-Luc JAEG, magistrat de l’ordre judiciaire détaché en qualité de sous-préfet hors classe, sous-préfet de Vouziers, est nommé sous-préfet chargé de mission auprès du préfet de la région Alsace, préfet du Bas-Rhin.

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    Jean-Luc Jaeg, Sous-préfet de Vouziers, lors de la cérémonie du 08 mai 2014 (photo L'An Vert DR)

  • Le Chesne : le Recteur a tranché pour le collège.

    Suite au deuxième refus du Conseil d'Administration d'avaliser la proposition d'emploi des dotations horaires, c'est la proposition du Recteur qui s'impose.

    Nous avons expliqué ce processus dans notre note du 13 juillet, il s'est appliqué de manière inflexible ces derniers jours. Le Conseil d'Administration du collège multi-site Vouziers-Le Chesne a repoussé une deuxième fois la proposition de répartition de la dotation horaire faite par le chef d'établissement. Ce vote a été acquis à une voix de majorité lors de la réunion qui s'est déroulée  vendredi dernier. Le Recteur n'a pas perdu de temps, et dès ce début de semaine, il a fait connaître sa décision :

    Pour la rentrée prochaine, 3 niveaux fonctionneront au Chesne, de la 6ème à la 4ème, avec une classe par niveau. Les troisièmes devront rejoindre le site de Vouziers, avec tous les problèmes de transport que cela implique.

    D'autres problèmes se posent, ou ne vont pas tarder à se poser. La réaction des parents risque d'être négative pour une partie d'entre eux. Des élèves pourraient être inscrits dans d'autres établissements, publics ou privés. Ces départs ne concernaient pas forcément que les troisièmes, car il n'est pas évident d'inscrire ses enfants dans un collège ainsi fragilisé. En effet, le collège va compter moins de 100 élèves, et il va vite se retrouver dans le collimateur, en particulier dans la refonte de la carte des collèges ardennais qui est "en concertation" actuellement.

    Nous avons contacté le Maire du Chesne, Benoit Singlit, qui réagit négativement à cette évolution. Il ne s'explique pas la logique de ce choix, puisque le transfert des troisièmes à Vouziers n'engendrera pratiquement aucune économie. Il s'étonne qu'aucune contre-proposition n'ait été réellement étudiée, alors que les élus locaux et les parents d'élèves étaient partants pour un dialogue. Le Maire du Chesne s’inquiète de la réaction des parents, et aussi du devenir du secteur. Les nouveaux arrivants potentiels verront d'un mauvais œil l'existence d'un collège affaibli par l'absence d'un niveau. La pérennité du collège ne lui semble pas assurée, à court ou moyen terme, malgré une hausse constatée des effectifs dans le primaire. Le Maire déplore qu'aucune logique de territoire n'a été prise en compte, alors qu'une telle décision aura des implications qui vont bien au-delà de l'Education Nationale.

    Un nouveau recours au tribunal administratif semble difficile à quelques semaines de la rentrée. Celle-ci risque d'être difficile, et va surement s'effectuer dans un climat de déception pour le secteur du Chesne.

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    Le bâtiment du collège du Chesne (photo L'An Vert DR)

  • Orpea se porte bien

    Il semble que le taux d'occupation de l'établissement ORPEA de Condé reste pour l'instant assez modeste.

    L'établissement a ouvert en 2013 et compte environ 80 places. C'est un établissement de haut standing, qui n'est pas accessible aux bénéficiaires de l'aide sociale. Comme disait un responsable du groupe : "On va proposer une structure très hôtelière. Il y a des gens qui attendent des prestations autres que celles du public." Et pour remplir son EHPAD,  ORPEA n'est pas très pressée, car la société a les reins solides. Etant donné le vieillissement de la population, elle sait que le potentiel de remplissage existe à moyen terme.

    La société est cotée en bourse et les indicateurs financiers sont au vert. Le site zonebourse.com explique que : les activités du groupe se portent bien. La récente publication semestrielle du 16 juillet met en avant une progression de près de 14% de son chiffre d’affaires (+6.3% en organique). Les activités sont tirées par l’international a déclaré le directeur général. Au 1er semestre, l’intégration du groupe Suisse, Senevita et pour le second semestre, l’acquisition de Silver Care en Allemagne devraient permettre l’objectif de progression de 20% au terme de l’exercice. La direction a tenu à préciser que « la rentabilité était solide et que l’endettement était parfaitement maitrisé ».

    Si vous avez de l'argent à placer, il semble que les actions ORPEA constituent un bon choix, à moins que vous ayez besoin de liquidités à court terme pour intégrer l'établissement en tant que résident.

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    L'EHPAD "La Demoiselle" à Condé lès Vouziers (photo L'An Vert DR)

  • La Fête Nationale à Vouziers

    Le 13 et le 14 juillet, plusieurs temps forts ont marqué la célébration de la Fête Nationale, avec un programme un peu modifié par la pluie. Voici des images de ces deux journées.

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    Le 13 juillet, vers 21 h 30, la météo semblait défavorable pour une retraite aux flambeaux

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    Au début de la rencontre, la retransmission de la finale de la coupe du monde dans le gymnase de Syrienne était loin de faire le plein.

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    Un peu plus tard, la pluie se faisait moins dense, et le départ était donné pour un circuit raccourci.

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    Les pompiers arrivent rue du Temple, quelques torches résistent.

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    A 23h 30 la pluie a cessé, et le feu d'artifice peut être tiré.

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    Le 14 juillet au matin, le rassemblement pour Vouziers se fait devant l'EHPAD les Tilleuls, où un certain nombre de résidents sont réunis.

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    Le cortège passe rue Henrionnet, devant le dispensaire.

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    Place Carnot comme dans les autres rues traversées, la foule n'était pas de sortie au passage du défilé.

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    La mise en place pour le moment de recueillement devant le Monument aux Morts.

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    Le dépôt de gerbe par le Sous-préfet de Vouziers.

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    Les personnalités remercient les porte-drapeaux.

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    Arrivée à la salle des fêtes, où se déroule désormais le vin d'honneur.

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    Pas de discours pour cette journée, juste un mot de remerciement du Maire de Vouziers.

  • Collège du Chesne : la fin et les moyens

    L'actualité du collège multi-site Vouziers Le Chesne est à multi rebondissements, chaque avancée d'une partie voyant l'autre répliquer rapidement.

    Rappelons que les parents d'élèves, les enseignants, les élus du Chesne se battent depuis l'an dernier pour éviter la fermeture de leur collège, qui représente pour l'administration de l'Education Nationale un des deux sites du collège Vouziers Le Chesne.

    Le conseil d’administration  a voté en fin d'année scolaire le regroupement des enseignements à Vouziers, ce qui correspond sur le terrain à la fermeture du collège du Chesne. Cette décision a été attaquée au tribunal administratif de Chalons. Celui-ci a donné raison aux défenseurs du site, en cassant la délibération du Conseil d'Administration.

    Le Recteur et le DASEN ont rapidement tenté de reprendre la main en faisant convoquer la semaine dernière un nouveau C.A. Le principal a fait une proposition de répartition de la dotation horaire, qui a été refusée à une large majorité. Cette dotation horaire est basée principalement sur le nombre d'élèves inscrits.

    Et le rectorat, jouant la politique du pire, a diminué cette dotation par rapport à celle précédemment proposée. En effet, plusieurs dizaines de parents du Chesne n'ont pas inscrit leurs enfants à Vouziers, en attendant la décision du tribunal, et il leur était impossible de les inscrire au Chesne. Le Recteur et le DASEN, prenant prétexte d'une diminution des inscriptions ont donc ajusté à la baisse la dotation. Ce qui rend encore plus improbable la possibilité d'organiser l'enseignement sur deux sites.

    Que va-t-il se passer maintenant. Un nouveau C.A. va se réunir, qui va très probablement confirmer son refus de la proposition faite. Après deux refus, le Conseil d'Administration n'est plus consulté. Le code de l'Enseignement stipule dans son article  R421-2

    Les collèges, les lycées, les écoles régionales du premier degré et les établissements régionaux d'enseignement adapté disposent, en matière pédagogique et éducative, d'une autonomie qui porte sur :

    1° L'organisation de l'établissement en classes et en groupes d'élèves ainsi que les modalités de répartition des élèves ;

    2° L'emploi des dotations en heures d'enseignement et, dans les lycées, d'accompagnement personnalisé mises à la disposition de l'établissement dans le respect des obligations résultant des horaires réglementaires ;

    Les CA disposent d'une autonomie, c'est parfait, mais à condition de ne pas s'opposer !

    L'article R421-9 précise en effet que :

    Dans l'hypothèse où la proposition relative à l'emploi des dotations en heures est rejetée par le CA, la commission permanente procède à une nouvelle instruction avant qu'une nouvelle proposition soit soumise au vote du CA. Le second vote du conseil doit intervenir dans un délai de dix jours suivant son premier vote. En cas de rejet de cette seconde proposition, le chef d'établissement, en qualité de représentant de l'État, arrête l'emploi des dotations en heures.

    Après donc le deuxième refus du C.A., plus besoin de vote, le chef d'établissement arrête l'emploi des dotations en heures. Le chef d'établissement devient dans ce cas un simple représentant de l'Etat, et ne peut s'opposer à sa hiérarchie. De plus, les moyens dont il dispose ne permettent pas de faire fonctionner deux sites.

    La victoire remportée au tribunal administratif a vite trouvé ses limites dans les textes de loi. L'autonomie des établissements est très théorique, ils ne peuvent  que gérer la dotation fournie par le Recteur et le DASEN.

    Comme depuis le début de cette lutte, il est bien clair que la solution ne peut être que politique. Les dotations sont la traduction des choix politiques nationaux, qui ne seront pas remis en cause par une lutte locale.

    Les soutiens des élus locaux( hormis les maires)  restent discrets dans l'ensemble. La communauté de communes a adopté une résolution lors de son dernier conseil. Dans des termes très pesés, elle demande à être associée à la concertation en cours, sans aborder directement le cas de Buzancy ou du Chesne.

    Pierre Cordier, vice-président du Conseil Général s'est déclaré contre la fermeture du collège du Chesne. Mais dans son argumentation, il parle de services publics, d'aménagement du territoire, de présence de l'Etat dans les zones rurales. Et quand la journaliste de "L'Union" (article paru samedi, pas encore en ligne ce jour)lui rappelle que le Conseil Général a voulu fermer de nombreux collèges dont celui du Chesne en 2006, il répond "nous n'étions pas du tout dans le même contexte ..."

    De la part de celui qui a en charge les collèges au Conseil Général, la ficelle est un peu grosse. Rappelons que le président Huré a confirmé il y a quelques mois qu'il appliquerait les décisions de l'Education Nationale, ne voulant plus se mettre en avant dans ce domaine, suite à la contestation de 2006.

    L'avenir du collège du Chesne reste donc problématique, l'Education Nationale ne voulant manifestement pas d'ouverture du site à la rentrée prochaine. Et pour parvenir à ses fins, elle s'en donne les moyens (en les refusant au collège multi-site Vouziers Le Chesne).

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    Manifestation au Chesne en mai 2013 (photo L'An Vert DR)

  • Sous-préfectures : la réorganisation n'est pas abandonnée

    La refonte des arrondissements et la disparition d'un certain nombre de sous-préfectures est à l'étude depuis plusieurs années.

    Le sujet a été abordé par le Ministère de l'Intérieur, et aussi par la Cour des comptes. Une expérimentation a même été mise en place en 2013 en Alsace-Lorraine. Mais peu de renseignements filtrent sur les objectifs du gouvernement à court ou moyen terme.

    Le site acteurspublics.com explique que la situation politique actuelle a fait remettre à plus tard la réforme. Il écrit : "Mais les élections municipales de mars dernier et les premières annonces autour de la réforme territoriale ont retardé semble-t-il les décisions, sans doute pour éviter un front commun agents de l’État-élus locaux contre la majorité. “Fermer une sous-préfecture, pour un maire, c’est synonyme de déclassement”, glisse un préfet."

    Pourtant, à y regarder de près, on sent bien une évolution. A Vouziers les horaires d'ouverture ont été récemment réduits, pour "s'adapter à la fréquentation". Désormais, les bureaux ne sont plus ouverts que le matin, de 9 h à 11 h 30. Ce créneau de seulement 2 h 30 par jour n'a pas suscité de réactions importantes des élus ou de la population du territoire. C'est une manière de faire la preuve du peu d'utilité des bureaux de la sous-préfecture locale.

    Les sous-préfets assurent de plus en plus de missions départementales, sous le contrôle du préfet, ce qui diminue de facto leur implication locale.

    A noter que des évolutions plus ou moins récentes des nos territoires n'ont pas tenu compte de l'arrondissement. Le nouveau découpage des communautés de communes laisse toujours Attigny en dehors de la 2C2A. Et la nouvelle carte cantonale crée un canton de Vouziers qui englobe Raucourt et les communes voisines.

    Le vrai partage du territoire se voit dans les intercommunalités, et il semble de plus en plus évident que le découpage en arrondissements n'est plus cohérent avec  celui-ci (voir la communauté d'agglomération Charleville Sedan à cheval sur deux arrondissements).

    Il ne faut pas oublier que tout cela intervient dans un contexte de forte crise économique, et que la recherche économies à faire pour l'Etat est toujours active.

    Le site acteurspublics.com conclut son article par ces phrases : "Quoi qu’il en soit, la réforme territoriale, tout comme les contraintes budgétaires, conduiront dans un avenir proche l’État à revoir son réseau et sa présence au niveau infradépartemental. D’ailleurs, le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, souhaite généraliser d’ici 2017 l’expérimentation menée en 2013 en région Alsace-Lorraine, où une rationalisation grandeur nature du réseau des sous-préfectures a été menée . Préalable peut-être à la fermeture de certaines sous-préfectures transformées, au nom de la proximité, en maisons des services publics, maisons de l’État avec un sous-préfet "volant". Toutes les pistes sont ouvertes pour faire mieux correspondre les arrondissements aux futures métropoles et intercommunalités."

    Comme Vouziers est une des plus petites sous-préfectures de France, il semble important de rester vigilant sur les évolutions qui se préparent plus ou moins ouvertement.

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    Les bureaux de la Sous-préfecture de Vouziers (photo l'An Vert DR)

  • Deux nouvelles enseignes vont quitter le centre de Vouziers

    Depuis plusieurs années, l'offre commerciale du centre de Vouziers se raréfie.

    Ce phénomène n'est pas propre à notre ville, car il est lié à des facteurs généraux qui touchent tout le pays. La crise économique a bien entendu un rôle primordial dans cette disparition de commerces, ainsi que les changements dans les habitudes de consommation ( zones marchandes périphériques, commerce électronique). A Vouziers, s'ajoutent la baisse de population et la paupérisation d'une partie des habitants. Avec moins de 5000 habitants, il devient délicat de faire vivre un commerce de proximité.

    Vouziers comptait au centre-ville quelques "locomotives" qui tiraient l'activité commerciale vers le haut. On pense à Jeanteur, disparu il y a 30 ans, mais l'événement qui a été le plus significatif a probablement été la fermeture de la supérette qui a existé sous différents noms.

    Depuis, la place Carnot et la centre ont perdu de leur attractivité, ce qui s'est accentué avec la fermeture du magasin"Ambiance et Style" et des Galeries Carnot.

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    On apprend le prochain transfert du magasin "Pro et Cie" vers la périphérie de Vouziers. L'établissement fondé par les frères Zaïa est une institution dans le Vouzinois, avec une position dominante dans le meuble et l'électroménager. Le transfert vers l'entrée de ville est prévu depuis longtemps, mais le calendrier s'accélère : "Carré de Jardin" a quitté les lieux qu'il occupait provisoirement( et doit se réinstaller  sur la zone commerciale, près de la caserne des pompiers). Les travaux de terrassement débutent et le déménagement pourrait se faire avant la fin 2014.

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    Pour l'autre enseigne, la problématique est plus sérieuse. En effet, la charcuterie Herbin doit quitter Vouziers dans les mois à venir. Il s'agit là aussi d'une vitrine historique et d'une entreprise familiale qui a marqué  l'activité artisanale et commerciale de Vouziers. L'image de qualité de l'établissement avait été confortée par la génération actuelle et le titre de Meilleur Ouvrier de France de Bruno Herbin. Depuis une dizaine d'années, Herbin avait ouvert une succursale à Reims, la situation de ce magasin dans la capitale régionale a marqué les limites de celui de Vouziers. Il semble que le boucher installé place Carnot doive prendre le relai de Herbin, mais avec quel personnel et pour quelle activité ? Il sera difficile d’offrir la même gamme  de produits que celle actuellement présentée. Et si vitrine ne restera pas éteinte qu'en sera-t-il de celle de la boucherie actuelle ?

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