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social - Page 35

  • Journée nationale des Aidants familiaux

    Journée nationale des Aidants familiaux samedi 5 octobre 2019 . Thème : la précarité des aidants 

    Être aidant c’est quoi ? Vous venez en aide à l'un de vos proches (conjoint, parent, voisin, ami…), de temps en temps ou quotidiennement car ce dernier a perdu une partie de son autonomie. Alors, oui vous êtes aidant… Cette journée est pour vous.

     

    Programme :

    le matin, le bus "À + dans le bus", présent sur le marché pour sensibiliser le public.

    À partir de 13 h, au parc Bellevue.

    Après-midi au parc Bellevue (sous chapiteau), à partir de 13  h  : stands d'informations pour les aidants sur le bien être, l'habitat, le financement du maintien à domicile, la nutrition-alimentation, l'emploi à domicile, l'association "handi'chiens", les services du GHSA (accueil de jour, HAD, SSIAD, EHPAD...). Les aidés sont également accueillis et pourront profiter d'ateliers ludiques (jeux divers, de mémoire...).

    À 16 h 30, spectacle "Théâtre Forum" sur le handicap et la perte d'autonomie (Cie Question d'époque), salle Bellevue. Gratuit.

    Action menée par le GHSA en partenariat avec le FJEPCS La Passerelle.

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  • Chômage : des chiffres en légère baisse, en trop faible baisse

    La publication des chiffres officiels fait apparaître une tendance à la baisse du nombre des chômeurs, mais trop peu importante pour qu’elle soit réellement perçue au niveau de la population. Ces statistiques restent des informations venant du ministère de l'emploi, avec toutes les réserves qui peuvent être faites sur leur objectivité. Même si on se base sur ces chiffes, une baisse de 0.9 % sur un an ne laisse pas présager une diminution importante d'ici la fin du mandat présidentiel. François Hollande avait échoué à faire baisser le chômage, on ne peut pas dire qu'Emmanuel Macron réussisse beaucoup mieux dans ce domaine, malgré (ou à cause de) sa politique libérale pro-entreprises.

    Voici les chiffres nationaux de la DARES :

    En moyenne au deuxième trimestre 2019, en France métropolitaine, le nombre de personnes inscrites à Pôle emploi et tenues de rechercher un emploi (catégories A, B, C) s’établit à 5 579 500. Parmi elles, 3 377 300 personnes sont sans emploi (catégorie A) et 2 202 200 exercent une activité réduite (catégories B, C).

    En France métropolitaine, le nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A baisse de 0,4 % (-14 600) ce trimestre et de 1,9 % sur un an. Le nombre de personnes exerçant une activité réduite courte (catégorie B) diminue de 1,6 % par rapport au trimestre précédent et celui des personnes en activité réduite longue (catégorie C) croit de 0,2%. Au total, le nombre de demandeurs d’emploi en catégories A, B, C diminue de 0,4 % ce trimestre (-23 900) et de 0,9 % sur un an.

    Au deuxième trimestre, 639 200 personnes inscrites à Pôle emploi ne sont pas tenues de rechercher un emploi. Elles sont soit non immédiatement disponibles et sans emploi (catégorie D, par exemple : formation, contrat de sécurisation professionnelle, maladie), soit pourvues d’un emploi (catégorie E, par exemple : création d’entreprise, contrat aidé). Sur ce trimestre, le nombre d’inscrits en catégorie D augmente de 3,3 % et celui des inscrits en catégorie E augmente de 2,5 %.

    En France (y compris départements-régions d’outre-mer, hors Mayotte), le nombre de demandeurs d’emploi s’élève à 3 632 500 pour la catégorie A. Il diminue de 0,5 % sur le trimestre (-1,9 % sur un an). Pour les catégories A, B, C, ce nombre s’établit à 5 887 900. Il diminue de 0,5 % ce trimestre et 0,9 % sur un an.

     

    Et voici les chiffres locaux de la DIRRECTE :

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  • Bidonvilles et squats : en se rangeant du côté des propriétaires, la Cour de cassation se renie

    Communiqué commun LDH, Gisti, CNDH Romeurope

    Par un arrêt rendu le 4 juillet 2019, la Cour de cassation refuse de mettre en balance le droit de propriété avec le droit à la protection du domicile des occupants de terrains ou de squats.

    La Cour juge que “l’expulsion étant la seule mesure de nature à permettre au propriétaire de recouvrer la plénitude de son droit sur le bien occupé illicitement, l’ingérence qui en résulte dans le droit au respect du domicile de l’occupant, protégé par l’article 8 de la Convention de sauvegarde des droits de l’Homme et des libertés fondamentales, ne saurait être disproportionnée eu égard à la gravité de l’atteinte portée au droit de propriété.”

    Elle renie ainsi sa propre jurisprudence et s’oppose frontalement à la Cour européenne des droits de l’Homme. Les personnes vulnérables  contraintes de vivre en bidonville ou en squats  – et parmi elles nombre d’étrangers et étrangères – feront les frais de cette volte-face rétrograde qui, aveugle à toute autre considération, entend rétablir une prééminence absolue du droit de propriété.

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  • Iran : 30 ans d’impunité

    Publié le 12.07.2019 par Amnesty International.

    En Iran, des milliers de personnes ont été victimes de disparitions forcées et d’exécutions extrajudiciaires dans les prisons en 1988. En cachant la vérité sur le sort de ces dissidents politiques, les autorités iraniennes continuent de se rendre responsables de crimes contre l’humanité.

    Notre récente enquête dévoile le tissu de dénégations et de distorsions que les autorités perpétuent depuis 30 ans, à l’intérieur du pays comme à l’étranger, afin de dissimuler la vérité.

    Elles ont fait « disparaître » et ont supprimé de manière systématique des milliers de dissidents politiques en quelques semaines entre fin juillet et début septembre 1988.

    L’ONU doit mener une enquête indépendante sur ces crimes contre l’humanité.

    1988 : le « massacre des prisons »

    Fin juillet 1988, les autorités ont décidé le confinement des prisons partout dans le pays et suspendu les visites familiales, sans donner aucun motif.

    Au cours des semaines qui ont suivi, au moins 5 000 dissidents politiques ont été exécutés de manière extrajudiciaire dans le cadre d’une opération coordonnée visant à éliminer l’opposition politique.

    À travers l’Iran, des groupes de prisonniers ont été rassemblés, ont eu les yeux bandés et ont été conduits devant des commissions composées d’un procureur et de représentants de la justice, des services de renseignement et de l’administration pénitentiaire.

    Ces « commissions de la mort » ne ressemblaient en rien à un tribunal et leur procédure était sommaire et arbitraire à l’extrême : aucune possibilité de faire appel à aucun stade de la procédure.

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  • 10 choses à savoir sur l'avortement aux États-Unis

    Communiqué d'Amnesty International le 18.06.2019.

    En 2019, plusieurs États américains ont adopté des lois qui interdisent l’avortement dans la pratique, tandis que d’autres ont pris des mesures visant à restreindre très fortement la possibilité d’y avoir accès.
    Voici 10 informations clés à connaître sur cette répression visant les droits en matière de procréation.
    1 - Un processus de longue haleine
    En 1973, la Cour suprême des États-Unis statuait que l’avortement était légal en rendant l’arrêt historique Roe c. Wade. Depuis lors, les militants et les responsables politiques opposés à l’avortement se mobilisent en vue de faire annuler cette décision et nous assistons aujourd’hui aux fruits de ce travail. Les attaques contre l’arrêt rendu dans l’affaire Roe se sont intensifiées lorsque le président Donald Trump a nommé deux nouveaux juges à la Cour suprême, tous deux ayant exprimé des opinions hostiles à l’avortement.
    Toutefois, il faut savoir que la loi n’est pas le seul facteur qui détermine si les femmes peuvent avoir accès à l’avortement. Depuis 1973, les militants anti-choix rognent progressivement sur l’accès à l’avortement, notamment en érigeant des obstacles financiers et logistiques, rendant ainsi cet accès difficile voire impossible – en dépit de ce que dit la loi.
    2 - Des difficultés d'accès à l'avortement
    Prenons l’Alabama par exemple. En mai, le gouverneur de cet État a promulgué une loi draconienne permettant de condamner à la réclusion à perpétuité les médecins qui pratiquent des avortements. Pourtant, dans la pratique, l’avortement est déjà inaccessible pour de nombreuses femmes en Alabama.

    L’Institut Guttmatcher a révélé qu’en 2014, 93 % des comtés de l’Alabama ne disposaient pas de cliniques réalisant des avortements. Aussi la plupart des habitants de l’Alabama doivent-ils se rendre dans d’autres États pour avoir accès à l’avortement. Même ainsi, de nombreuses femmes n’ont pas les moyens de mettre un terme à leur grossesse.
    C’est parce que l’Alabama, à l’instar de nombreux États, n’inclut pas l’avortement sur la liste des services de santé dont les personnes à faibles revenus peuvent bénéficier grâce à Medicaid (programme de couverture santé financé par les pouvoirs publics). Aujourd’hui, tous les États doivent fournir des fonds publics pour les avortements en cas de viol, d’inceste ou de menace pour la vie – mais dans de nombreux endroits, ces exceptions n’auront plus de sens si de nouvelles lois draconiennes entrent en vigueur.

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  • Soirée débat « Comment bien préparer sa rentrée scolaire ? »

    Mercredi 29 mai 2019 à 18h, au FJEPCS La Passerelle, 15 rue du Champ de Foire à VOUZIERS 

    Ouverte à tous. Gratuit.

    Renseignement : Julie Petit, Isabelle Regnier

    Organisation : FJEPCS La Passerelle, Vouziers - 03 24 30 99 61

    Action soutenue dans le cadre du réseau Parentalité des Ardennes

    Le réseau d’écoute, d’appui et d’accompagnement des parents – REAAP – est un dispositif piloté par l’Etat et animé par la CAF. Avec la participation de la MSA, du Conseil départemental, avec le partenariat de l’UDAF et de la fédération des centres sociaux.
    Initié par l’Etat, il tend à valoriser les compétences parentales pour que chaque parent soit acteur de son projet familial.
    C’est un réseau pour et avec les parents, premiers éducateurs de leurs enfants, pour promouvoir des actions de soutien à la parentalité en direction de toutes les familles.
    C’est un réseau pour une meilleure connaissance mutuelle et une meilleure complémentarité des interventions de chacun.

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  • Chiffres du chômage : toujours pas de tendance nette.

    La publication trimestrielle des chiffres du chômage devait permettre de s'affranchir des fluctuations mensuelles non significatives. Les statistiques publiées hier ne donnent pas de tendance nette, avec une discordance entre une petite diminution pour la catégorie A, mais une stagnation si on prend en compte les catégories A, B,  et C.

    La présentation faite par les services du ministère ne permet pas de savoir si ce sont les mêmes personnes rayées de la catégorie A (chômage total) qui viennent grossir les catégories B et C (chômage partiel). Il faut cependant noter que les sorties de catégorie A qui correspondent à une reprise d'activité ne représentent que 21 % des cas, alors que les radiations pour défaut d'actualisation comptent pour 43 % du total.

    L'ancienneté moyenne des demandeurs d'emploi en catégories A, B, C est de 625 jours au premier trimestre 2019. 

    Voici les chiffres nationaux officiels de la DARES :

    En moyenne au premier trimestre 2019, en France métropolitaine, le nombre de personnes inscrites à Pôle emploi et tenues de rechercher un emploi (catégories A, B, C) s’établit à 5 603 400. Parmi elles, 3 391 900 personnes sont sans emploi (catégorie A) et 2 211 500 exercent une activité réduite (catégories B, C).

    En France métropolitaine, le nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A baisse de 0,7 % (–24 200) ce trimestre et de 1,5 % sur un an. Le nombre de personnes exerçant une activité réduite courte (catégorie B) augmente de 0,6 % par rapport au trimestre précédent et celui des personnes en activité réduite longue (catégorie C) croît de 1,2 %. Au total, le nombre de demandeurs d’emploi en catégories A, B, C reste stable ce trimestre (–2 200) et recule de 0,4 % sur un an.

    Au premier trimestre, 621 300 personnes inscrites à Pôle emploi ne sont pas tenues de rechercher un emploi. Elles sont soit non immédiatement disponibles et sans emploi (catégorie D, par exemple : formation, contrat de sécurisation professionnelle, maladie), soit pourvues d’un emploi (catégorie E, par exemple : création d’entreprise, contrat aidé). Sur ce trimestre, le nombre d’inscrits en catégorie D augmente de 1,2 % et celui des inscrits en catégorie E diminue de 0,3 %.

    En France (y compris départements - régions d’outre-mer, hors Mayotte), le nombre de demandeurs d’emploi s’élève à 3 649 300 pour la catégorie A. Il diminue de 0,7 %sur le trimestre (–1,5 % sur un an). Pour les catégories A, B, C, ce nombre s’établit à 5 914 600. Il est stable ce trimestre et recule de 0,4 % sur un an.

     

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