Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

écologie - Page 266

  • Festival ciné Attac08 : Rappel

    Les 19, 20, et 21 novembre prochain, ATTAC 08 organise un festival de cinéma militant à Charleville.


    Ces journées se dérouleront au Metropolis, la salle multiplexe de Charleville, situé en centre ville, à 300 m de la place Ducale (adresse exacte : 6 rue de Longueville).

    Pour voir le programme complet, aller sur le site d'Attac 08, voici de larges extraits de leur présentation.

     

    Doc1.jpg

    Nous avons conçu ce festival entrecoupé de moments de convivialité, favorisant la poursuite d'échanges après les débats par exemple, mais également avant les projections. Ainsi, vous pourrez prendre:

     

    - un petit déjeuner le samedi de 9h à 12h30 organisé par Artisans du Monde (adultes 5€ - enfants 2€)

      - un repas le dimanche midi pour le prix modique de 7€ dans le même esprit que la cantine qu'Attac 08 a déjà bien rodé depuis quelques années

     

    Solidaires, bio, favorisant les producteurs locaux ou le commerce équitable, ils auront lieu à l'E.D.P.A.M.S. Jacques Sourdille, 4 rue Noël à Charleville

     

     

     

     

     

     

     

     Tarifs:

    1 film : 5 euros

    3 films : 13 euros

    5 films : 20 euros

    8 films : 30 euros

     

     

     

     

     

    « Fin de concession ». réal : Pierre Carles. Fr. 2010. 125 minutes.

     

    Fin de concession porte sur la privatisation de TF1 et sur le fait

    qu’aucune chaîne de télévision n’a enquêté sur les conditions

    d’attribution de la première chaîne française au groupe industriel

    Bouygues, ou sur les rapports de la famille Bouygues avec un

    certain... Nicolas Sarkozy, avocat d’affaires de Martin Bouygues.

    Au fur et à mesure que Pierre Carles - alias Carlos Pedro, vrai

    faux caméraman uruguayen - et sa bande de reporters pieds nick-

    elés tentent de régler leurs comptes aux puissants de la télévision,

    les choses ne se déroulent pas comme prévu. Le réalisateur a perdu

    de son fighting spirit ; ses adversaires savent désormais comment

    s’y prendre pour neutraliser ou ignorer l’ex-chevalier blanc du

    petit écran. Aussi, il en vient à se poser des questions sur son rôle

    de justicier, sur le contre pouvoir, sur sa volonté de changer le

    le monde. Et avec lui, chemine une réflexion ludique et boulever-

    sante  : que n’avons nous pas fait pour que rien ne bouge ? La

    critique des médias aurait-elle fait son temps ? Ou bien faut-il

    envisager de changer de méthodes ?

     

    Projection : Vendredi 19 novembre 2010 – 20H + débat en présence de Michel Fizbin, créateur et président de Zaléa TVA 

     

    afficheprojetM.jpg

     

     

     

     

     

    « Hôpital au bord de la crise de nerf ». réal : Stéphane Mercurio. Fr. 2005. 52 minutes.

     

    L’hôpital a longtemps été le symbole de la ferveur et de la beauté

    Républicaine de ce pays France. Des soins pour tous sans distinction,

    de tous temps et à toutes heures du jour et de la nuit. Des gens à

    l’écoute et parfaitement formés qui avaient le temps de soigner les

    accidents et les pathologies du monde moderne avec l’estime et les

    moyens nécessaires.

    En 2003, la réalisatrice Stéphane Mercurio nous ouvrait le cœur de

    l’Hôpital de Gonesse dans le Val d’Oise (95) et nous offrait une

    radioscopie d’un hôpital entier en souffrance, entre croissance du

    nombre de patients et baisse de son financement.

    Mais comment cela se passe-t-il précisément dans la vie d’un Hôpital

    au bord de la crise de nerf ?

     

     Projection : Samedi 20 Novembre 2010 – 20H + débat en présence d'un membre du Comité national pour des Etats Généraux des Services Publics 

     

    hopital_jaq.jpg

     

     

     


     

    « Solutions Locales pour un Désordre Global » réal : Coline Serreau. Fr. 2010. 105minutes

     

    La réalisatrice de « Trois hommes et un couffin », de « la Belle

    Verte » ou de « La Crise » revient avec un film documentaire à

    valeur humaine non rajoutée. A propos du film elle nous dit : «

    Le film se veut un objet ludique et poétique qui mette les idées à

    l’envers, c’est à dire à l’endroit, dans une époque où beaucoup s’accordent à penser que ‘’nous marchons sur la tête’’. Mettre la tête à ‘’l’envers-l’endroit’’, c’est repenser le fonctionnement de nos rapports sociaux et économiques et questionner nos certitudes sur la normalité. Les médias ont depuis longtemps renoncé à remplir ce rôle de questionneurs, ligotés qu’ils sont par les diktats des publicitaires et des politiques. […] ce silence des médias a pour conséquence très grave que les gens, penseurs, acteurs, inventeurs de la société future sont évacués du débat, toute légitimité leur est retirée. Et pourtant ils sont des millions de par le monde qui expérimentent avec succès la vie de demain. »  + Débat en présence de l’association Colibris (personnes inconnues pour l’heure)

     

     

    Projection : Dimanche 21 novembre 2010 – 15H + Débat en présence de Christel Sauvage, directrice de l'agence locale de l'énergie, présidente d'Enercoop Champagne-Ardennes, et créatrice de ces deux structures 

     

     

     

    solutions-locales-pour-un-desordre-global.jpg


     

     


     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


  • Patate chaude et pomme de terre radioactive

    Le passage du train de déchets nucléaire dans notre région a suscité beaucoup de commentaires.

     

    Parmi ceux-ci, nous en avons retenu un, publié sur notre blog. Ce n'est pas une raison totalement suffisante pour le trouver intéressant. Mais il témoigne également de la confusion qui existe sur le sujet des dangers du nucléaire.

    Pour être certain de ne pas dénaturer (ce serait le comble pour un écolo !) la pensée de son auteur, nous le reproduisons ici en entier.

     

    Preuves scientifiques et affirmations mensongères : Les écolos prétendent que ce train est "20 fois plus radioactif que le taux naturel". Mais alors, quel taux de radioactivité ont-ils enregistrés près de ce convoi "tchernobylien" ? Un militant écolo l'a dit hier à la télévision : "15 microrems"... ce qui est exactement le taux de radioactivité NATURELLE en France !!! Des militants écolos peuvent donc prétendre n'importe quoi sans aucune preuve scientifique, et sans aucune remarque de la part des journalistes qui les interrogent... Demain ils nous diront que les patates sont radioactives.

     

    patate-robe-champs-1-L-1.jpegEh oui, les patates sont radioactives ! Leur activité est estimée à 150 Becquerels (source lpsc).

    Encore faut-il savoir que le Becquerel, unité de radioactivité correspond à une désintégration d'un atome par seconde, et représente donc une dose très petite.

    Par exemple, l'unité employée auparavant, le Curie correspondait à l'activité d'un gramme de Radium, soit 37 milliards de Becquerels.

    On peut dire qu'un kilo de cendre de charbon correspond à 2000 Becquerels, et un kilo de déchets nucléaires de haute activité à 10.000 milliards de Becquerels.

    C'est pour cela que l'on peut écrire que le passage du train nucléaire représentait plusieurs fois Tchernobyl.

     

    Sans vouloir imposer une leçon sur la physique nucléaire (nous n'en avons ni les compétences, ni l'envie), il est important de savoir qu'il existe d'autres unités qui mesurent l'effet de la radioactivité sur les êtres vivants. Cette mesure est beaucoup plus intéressante, car elle marque le niveau de danger réel.

    Pour prendre une comparaison, on peut avoir de l'eau bouillante ou une cheminée chez soi, et ne pas se brûler. Mais un simple biberon trop chaud peut causer des lésions très graves à un nourrisson.

    Il existe donc le Rem ou le Sievert (plus récent) pour mesurer l'effet de la radioactivité sur les tissus radium.jpgvivants.

     

    Pour contredire une deuxième fois l'auteur du commentaire repris plus haut, il n'existe pas une mesure unique de radioactivité naturelle en France. Celle-ci varie au minimum du simple au triple, selon les régions, élevée dans les régions granitiques et volcaniques, faible dans les plaines du bassin parisien.

    En fonction du sol où l'on se trouve et de l'éloignement de la source et de la durée de la mesure près du train, on peut donc avoir un rapport très variable des deux chiffres.

     

    Notre contradicteur a cependant raison sur un point, il n'existe pas d'étude scientifique valable sur l'effet des petites doses de radiation : ce qui permet d'écrire parfois n'importe quoi sur le sujet, mais pas spécialement de la part d'écologistes.

     

    Une chose est sûre, le passage du train a permis de remettre en lumière les dangers du nucléaire.

    Au vu de l'histoire récente, et compte tenu du nombre de centrales en exploitation, il serait ridicule de nier les dangers de cette industrie.

    Et n'oublions pas qu'elle produit des déchets qu'il faut transporter, mais surtout qu'il faut stocker en sécurité pour des centaines de milliers d'années !  Quelle garantie peut-on avoir à cette échéance ?

  • Le train nucléaire évite les Ardennes

    Finalement, il y avait un plan B pour le convoi de déchets nucléaire.

    La mobilisation était importante, et le train avait déjà été bloqué à Caen. Les autorités ne voulaient surtout pas faire durer l'exposition médiatique, et donner une image négative de l'industrie nucléaire. Le train a donc été dévié par Reims et Chalons, pour finalement passer la frontière à Stasbourg. Mais les gros ennuis ont commencé en Allemagne, où des dizaines de milliers d'écologistes sont mobilisés.

    Ils ont réussi à ralentir considérablement le convoi, qui n'arrivera au plus tôt que lundi à sa destination : un entrepôt de stockage. Cette forte mobilisation montre le renouveau du mouvement anti-nucléaire allemand, qui reprend vigueur en particulier depuis l'annonce de la prolongation de la durée d'utilisation des centrales atomiques existantes.

     

    get.aspx?iMedia=25127966

    Des militants de Greenpeace suspendus sous un pont au passage du train

     

  • Déchets nucléaires : jusqu'à quand ?

    Les déchets constituent le point faible de la filière nucléaire.

     

    Le retraitement est très loin de solutionner le problème, il nécessite des transports et suppose des aires de stockage sécurisées, qui n'existent pas.

    Les organisation anti-nucléaires, Greenpeace et le Réseau "Sortir du Nucléaire" en tête, profite de l'exposition médiatique pendant le transport pour faire passer le message sur les dangers de cette industrie d'Etat.

    Voici les premières actions menées contre le train nucléaire, qui doit aller en Allemagne, en passant par les Ardennes.

    Informations reprises du site le Parisien.fr

     

     

    Premier arrêt forcé pour le train de déchets nucléaires à destination de l'Allemagne, 20 minutes après son départ. A quelques centaines de mètres avant la gare de Caen (Calvados), quatre militants se sont enchaînés à la voie.

    D'autres devraient suivre tout au long du parcours de ces 14 wagons dont 11 transportent 123 tonnes de déchets nucléaires retraités à l'usine de La Hague (Manche) ont quitté la gare de Valognes pour Gorleben, une commune du nord de l'Allemagne.

     

     Il s'agit du convoi «le plus radioactif qui ait jamais eu lieu», selon le collectif «Sortir du nucléaire».

    A 14h20, le départ s'était déroulé dans le calme  Valognes (Manche), sous le regard de quelques dizaines de manifestants écologistes qui avaient déployé une banderole disant, en français et en allemand, «déchets nucléaires, voie sans issue». «Nous ne sommes pas là pour empêcher le départ de ce train. Il faut que les déchets rentrent en Allemagne mais pas à Gorleben, qui un est un hangar inadapté. Personne n'a de solution pour les déchets», a précisé à Pascal Husting, directeur exécutif de Greenpeace , venu à Valognes avec le directeur de Greenpeace International, Kumi Naïdoo.

    Les ONG écologistes se sont procuré l'itinéraire - pourtant gardé secret - du convoi pour manifester au départ à la gare de Valognes et à différents points du parcours (à Caen, Rouen, Amiens, Arras, Nancy et Strasbourg) et enfin à Gorbelen,  une ville de Basse-Saxe située presque à mi-chemin entre Hambourg et Berlin. Près de 30 000 personnes sont attendues à l'arrivée du train.

    1137503_cean.jpg


  • Ardennes : protestations contre le train de déchets nucléaires

    Nous vous avons annoncé le passage d'un train spécial le 5 novembre dans les Ardennes.

     

    Ce convoi doit transporter des déchets hautement radioactifs de France vers l'Allemagne. Tout au long du trajet, la mobilisation s'organise. Greenpeace et "Sortir du nucléaire" en particulier ont prévu des actions de sensibilisation et de protestation dans les principales villes traversées.

    Chistophe Dumont, sur le site de son groupe au conseil régional, appuie cette démarche et appelle à la mobilisation.

    Voici un extrait de son appel :

     

    Les déchets : cauchemar de l'industrie du nucléaire, cauchemar des générations à venir

    Castor-c397e.jpgQue ce soit à Bure où l'Etat et le lobby nucléaire forcent la main des populations pour enfouir des déchets hautement dangereux, à Soulaines, le plus grand centre de stockage de déchets nucléaires de surface au monde, où l'on entrepose depuis plusieurs années ces déchets ultimes mais pas inactifs, le dogme de l'énergie nucléaire hypothèque chaque jour un peu plus la sécurité des populations de la Région. Plus loin de nous, plusieurs hectares sur le site de La hague sont définitivement interdits à toute activité humaine avant plusieurs milliers d'années.

    Si l'Etat et les industries du nucléaire ont décidé de mettre délibérément en danger les populations, en pratiquant la désinformation, sous couvert de progrès économique, à coup de rétributions financières confortables aux localités contaminées, nous demandons, nous écologistes champardennais,  avec Sortir Du Nucléaire 08, qu'au moins les déchets restent sur les sites déjà atteints par cette modernité morbide et que les transports hautement dangereux cessent.

    C'est pourquoi nous serons mobilisés le week end du 6 novembre et proposerons des actions de protestation vigoureuse contre ce « train d'enfer ».

    Christophe DUMONT

  • Ardennes : passage des déchets radioacrifs

    Le retraitement des combustibles nucléaires entraînent des allers retours entre la France et l'Allemagne.

     

    Comme souvent dans les migrations entre ces deux pays, les Ardennes sont sur le trajet. D'autant que le convoi qui part de Normandie évite la Belgique et la Hollande qui se situent sur le trajet direct. Les gouvernements belge et hollandais verraient-ils un inconvénient au passage de ce train ?

     

    Voici des éléments communiqués par Greenpeace :

    "Le 5 novembre prochain, un train transportant des déchets radioactifs de très haute activité en provenance de l’usine Areva de La Hague quittera la gare de Valognes (Manche) à destination du centre d’entreposage intérimaire de Gorleben en Allemagne."

    "Ce convoi symbolise à lui seul la voie sans issue que représente le nucléaire : ce transport montre une nouvelle fois qu’aucune solution n’existe pour les déchets nucléaires. Nous n’en voulons plus à La Hague qui n’est pas un site de stockage. Mais le site d’entreposage intérimaire proposé par les allemands à Gorleben est totalement inadapté, il s’agit d’un hangar ! "

     

     

    carte_5-6_nov-da0ac.jpg

     

    Les Ardennes seront donc traversées de part en part, sur le trajet de la ligne Calais-Bâle.

    Le transport est programmé pour le 5 novembre et notre département serait concerné entre 4 h et 6 h du matin.

    Il nous semble que le risque d'un accident soit faible. Mais le convoi traverse des zones urbaines (Charleville en premier lieu), et un risque faible ne veut pas dire pas de danger. Plus ces transports se multiplieront , plus il y aura de probalilité qu'une défaillance ou un imprévu surviennent.

    La meilleure solution serait de ne plus produire des déchets nucléaires : il faut stopper le plus tôt possible les centrales en activité, et arrêter d'en construire de nouvelles.

    En attendant, il faut limiter au maximum le déplacement de ces produits dangereux, en les traitant et en les stockant au plus près des centrales.

     

    convoi-castor2.jpg

     

     

  • Marée rouge en Hongrie : le gouvernement a dissimulé les concentrations élevées d’arsenic et de mercure

     

     

     

    (communiqué)

     

    Greenpeace a présenté les résultats d’analyses effectuées par ses soins sur des échantillons de
    boue rouge, prélevés mardi dernier en Hongrie. Ces analyses ont révélé des taux de concentrations anormalement élevés, notamment pour l’arsenic, près de deux fois supérieure à la normale. Cette pollution toxique présente un risque à long terme pour les écosystèmes, notamment pour les sources d’eau potable. Les autorités hongroises dans leurs communiqués rassurants ont dissimulé la quantité des substances toxiques auxquelles sont exposés les citoyens !

    50 tonnes d’arsenic se baladent dans la nature

    Dès le lendemain de la catastrophe survenue à Kolontar, Greenpeace a recueilli des échantillons de arsenic.jpgboue rouge qu’elle a immédiatement confiés à l’Agence autrichienne fédérale pour l’environnement, à Vienne, ainsi qu’au laboratoire Balint, à Budapest en Hongrie. Les analyses effectuées par l’agence autrichienne ont révélé les valeurs suivantes : 110 mg d’arsenic par kg ; 1,3 mg de mercure par kg et 660 mg de chrome par kg.

    Si l’on rapporte ces quantités au volume total du flux toxique, 50 tonnes d’arsenic se sont déversées dans l’environnement. D’après les analyses du laboratoire hongrois, effectuées sur des échantillons d’eau provenant d’un ruisseau de Kolontar, la concentration d’arsenic par litre est de 0,25 mg– soit un taux 25 fois supérieur aux limites fixées pour l’eau potable.

    L’arsenic est toxique pour les végétaux et les animaux. Cette substance peut s’accumuler dans
    l’organisme, particulièrement chez les invertébrés et les êtres humains, et affecter le système
    nerveux. Le mercure peut s’infiltrer et s’accumuler dans la chaîne alimentaire, notamment dans les poissons, et provoquer également des lésions nerveuses. Lorsque le pH est élevé, comme dans la boue rouge, ces polluants restent relativement figés. Mais une diminution de la valeur du pH, comme c’est le cas dans les rivières, peut favoriser une lente dispersion de ces substances à grande échelle.
    Malgré les déclarations officielles, l’écosystème du Danube reste menacé !

    Le gouvernement hongrois doit faire face à ses responsabilités

    poison_sign.gifGreenpeace accuse donc le gouvernement hongrois d’avoir dissimulé des informations concernant la toxicité de la marée rouge. Nous pensons que les autorités hongroises savent exactement ce que contient cette boue toxique. Pourtant, aujourd’hui, c’est Greenpeace qui doit informer victimes et citoyens des risques qu’ils encourent. Sans plus attendre, le Premier ministre hongrois Viktor Orban doit rendre publiques toute les informations dont il dispose, et demander à l’entreprise d’aluminium – et à ses riches propriétaires –d’indemniser les dommages subis par l’environnement et les victimes.