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  • (Re)découvrir Vouziers et le Vouzinois durant le temps du confinement.(suite)

    Vous êtes un certain nombre à avoir pu (re)découvrir des événement ou des sites locaux sur les clichés postés sur Flickr (voir la note du 22 mars).

    Ces deux derniers jours, plus de 17 500 photos ont été vues, par un nombre de personnes qu'il n'est pas possible de connaître précisément. Depuis l'existence de ce compte (en 2010), 599 606 vues ont été enregistrées. Les passages journaliers vont habituellement de quelques dizaines à quelques centaines, la fréquentation mesurée depuis deux jours est exceptionnelle.

    Étant donné le nombre de photos disponibles (4 371 à ce jour), il est plus simple de sélectionner un groupe de clichés regroupés par thème dans des albums. Ce lien vous permet d'accéder directement à la liste des albums disponibles.

    Ces photos sont téléchargeables, avec une icône située en bas à droite ( le symbole est une flèche dirigée vers le bas). L'utilisation est libre de droit pour un usage non-commercial.

    Il existe également un cadre sous la photo dans lequel un commentaire peut être noté.

    Si vous avez des problèmes de connexion ou de navigation, n'hésitez pas à nous le faire savoir à notre adresse : lanvert.vouziers@orange.fr 

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  • De Caussade à Vittel, contre-exemples d'un juste partage de l’eau

    Dans le Lot-et-Garonne, le barrage de Caussade sur le petit cours d’eau du Tolzac cristallise les tensions entre une poignée d’agriculteurs irrigants, ayant construit illégalement l’ouvrage, et des habitants soucieux de l’intérêt général. Dans les Vosges, la surexploitation de la nappe phréatique de Vittel oppose la multinationale Nestlé Waters et la population locale. Deux conflits, un même problème de taille : un partage inéquitable de l’eau, au seul profit d’intérêts privés pour une ressource aussi rare que précieuse. Décryptage de France Nature Environnement, mobilisée dans ces deux cas aux côtés de ses associations locales.

    Vittel, Caussade : de l’appropriation d’une ressource commune par des intérêts privés.

    Intérêts privés contre intérêt général, tel est le nerf de la guerre de l’eau menée à Vittel et sur le barrage de Caussade.

    À Vittel, l’association Vosges Nature Environnement fait face, avec d’autres associations amies, au géant Nestlé Waters. La nappe phréatique de la ville présente un déficit chronique de l’ordre de 1 million de m3 d’eau dans sa partie inférieure : c’est précisément le volume de prélèvements accordé à la multinationale par le préfet des Vosges, dans cette même partie de la nappe1. Le géant de l’agroalimentaire embouteille l’eau pour l’exporter quand, pendant un temps, il a été envisagé de créer un pipeline de plusieurs dizaines de kilomètres pour alimenter en eau potable les habitants de Vittel. Si le pipeline a finalement été abandonné, l’industriel pompe toujours. Cet accaparement de la ressource est à l’origine de dangereux déséquilibres. Le renouvellement de la nappe n’est plus assuré, l’alimentation en eau potable des populations est menacée, les sécheresses futures amplifiées… des conséquences lourdes, pour un territoire pourtant naturellement bien doté en eau.

    Du côté du Lot-et-Garonne, c’est la SEPANSO qui voit des intérêts privés réaliser un rapt sur l’eau, dans un territoire bien plus sec. Sur un petit cours d’eau, le Tolzac, le barrage de Caussade a été construit illégalement par et pour une poignée d’agriculteurs irrigants. Malgré plusieurs décisions de justice rappelant l’illégalité du barrage, rien n’y fait. L’État laisse les irrigants s’approprier les eaux de la rivière dont l’écoulement est désormais perturbé. Ces quelques agriculteurs avancent que ce stockage d’eau leur permettra de faire face aux sécheresses. Pourtant, les études sont catégoriques : plus l’eau est stockée, moins elle est rendue aux milieux naturels, plus les sécheresses sont graves. Le cercle vicieux, au profit d’intérêts privés, est enclenché et renforce les déséquilibres en eau déjà très présents dans le Sud-Ouest.

    Au sein du mouvement France Nature Environnement, un profond sentiment d’injustice émerge face à cet accaparement d’une ressource indispensable, rare et vitale, par des intérêts purement privés au détriment de l’ensemble du monde vivant. Nous militons ainsi pour remettre l’intérêt général au cœur des usages de l’eau.

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  • (Re)découvrir Vouziers et le Vouzinois durant le temps du confinement.

    Nous avons la chance d'habiter en Argonne, avec ses forêts, ses vallées, tous ses sites naturels ou construits par l'homme. En ces temps de confinement, il nous reste nos souvenirs et beaucoup de documents accessibles par Internet.

    Nous publions régulièrement des photographies d'événements ou de sites locaux pour illustrer les notes de l'Anvert. La grande majorité de ces clichés, et bien d'autres, peuvent être retrouvés sur le site flickr.com.

    Un lien permet de  trouver  la "galerie" complète, où 4 371 photos sont postées à ce jour.

    Cela fait beaucoup, mais ces clichés sont déposés depuis 10 ans, selon l'actualité ou les opportunités.

    Pour vous simplifier la tâche, il existe des "albums", permettant de se recentrer sur un sujet (géographique ou thématique).

    Vous pouvez aussi utiliser le moteur de recherche du site pour trouver (ou pas) ce qui vous intéresse.

    Le site géolocalise les clichés, et ceux-ci peuvent être l'objet d'un commentaire de votre part.

    En l'attente de jours meilleurs, restez chez vous en redécouvrant votre territoire et certains événements qui s'y sont déroulés.

    Bonne découverte.

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  • Covid-19 : ensemble malgré tout !

    Communiqué d'Amnesty International le 18.03.2020.

    Rester chez soi. C’est le mot d’ordre face à la crise sanitaire mondiale du COVID-19. Un mot d’ordre qu’il est essentiel de respecter, au nom de nos valeurs et de la solidarité. 

    Des règles strictes ont été énoncées par le gouvernement français et de nombreux autres gouvernements, et un dispositif de confinement a été mis en place pour lutter contre l’évolution de la pandémie.  

    La situation actuelle mobilise légitimement toute notre attention. C’est une situation inédite à laquelle nous devons nous adapter individuellement et collectivement. La priorité d’Amnesty International est aujourd’hui d’assurer que la santé et la sécurité de tous et toutes soient protégées et notamment celles de ses équipes salariées et bénévoles. 

    Cette crise nous montre à quel point nous sommes tous liés les uns aux autres, et pourquoi nous devons nous soutenir mutuellement. C’est dans de telles périodes de crise que des choses nouvelles peuvent émerger ! Nous nous devons d’être créatifs, mobilisés, et solidaires !! 

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  • Coronavirus : La nécessaire refondation de nos systèmes agricoles et alimentaires

    Extraits du communiqué de la Confédération paysanne le 20.03.2020.



    La crise du Coronavirus que nous traversons est avant tout sanitaire. Mais ces effets touchent nos vies dans leur ensemble et engendrent des conséquences de grande ampleur qui secouent les économies de tous les pays du monde. C’est un épisode fulgurant avec un trait révélateur important : elle montre que bien de domaines de notre quotidien doivent être extraits des logiques de compétition mondiale, de recherche de profit à tout prix, de financiarisation de l’économie réelle, de spécialisation des territoires.
    (...)
    Si on continue à piller les ressources naturelles, à considérer la terre, le vivant et la main d'œuvre comme des marchandises comme les autres, à produire l'alimentation comme une denrée industrielle standardisée et échangeable à travers la planète, comment ferons-nous face à l'effondrement de la biodiversité, aux conséquences sanitaires et agronomiques du changement climatique ? Si on continue à breveter le vivant et déléguer la production de semences à des firmes multinationales, qu'en sera-t-il en période de crise si nous n'avons pas la main sur la base de toute notre alimentation ? Si on continue à construire des filières internationalisées dont le moindre choc économique, sanitaire, climatique engendre une volatilité catastrophique des marchés, comment garantir des prix justes, stables et sécurisés pour nous paysans qui vous nourrissons ici et ailleurs ? Si on continue à prôner l'agrandissement et l'industrialisation de nos structures agricoles et donc à favoriser la disparition de nos emplois paysans et la dépendance au secteur de l'agrobusiness, comment ferons-nous alors que nous avons besoin de paysan.ne.s nombreux.euses pour faire face aux enjeux de climat, de biodiversité ou de crise sanitaire qui sont et seront devant nous ? Si on continue à spécialiser les territoires, à segmenter les filières, à faire parcourir aux biens agricoles et agroalimentaires le tour de la planète, comment ferons-nous quand nous nous rendrons compte que la France ne produit plus que la moitié des fruits et légumes consommés par sa population ? Comment ferons-nous si nos acheteurs internationaux ne s'approvisionnent plus auprès de nous, pour leur production de veaux, de chevreaux, de lait ou de blé ? Si on continue à baser notre modèle alimentaire sur la consommation d'énergies fossiles, la destruction des cycles naturels, le recours permanent à la technologie, nous ne saurons pas faire face aux réactions du vivant, de notre planète. Il est illusoire de croire à une maîtrise totale des sociétés humaines sur la nature par une artificialisation et technologisation croissante de nos modes de vie. Nous avons besoins de pouvoir compter sur les savoir-faire paysans et leur connaissance de la complexité des écosystèmes.

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  • Les résultats par bureau des élections municipales de Vouziers

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    Des p'tits tas, des p'tits tas, toujours des p'tits tas ...

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