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  • Le Cabaret Vert: c'est bientôt

    Le festival du Cabaret Vert se tiendra fin août à Charleville.

    Comme nous aimons bien le vert et les Ardennes, on vous recommande ce festival un peu différent des autres. Les préoccupations environnementales sont au coeur de l'organisation de cette manifestation.
    Pour connaître la charte du festival, voir leur site.



    lecabaretvert1_aff09_400-204x300.jpg

  • Woinic retire son déguisement

    Woinic va retrouver l'air libre, sa cure de protection est terminée.

     

    arlequin.jpgLe site du conseil général des Ardennes nous apprend que les travaux d'entretien de Woinic sont terminés. C'est donc finalement pendant tout le mois de juillet que le sanglier (la laie ?) est resté(e?) voilé(e?).

    Toujours plein d'humour, l'article précise que Woinic avait revêtu un habit d'arlequin. C'est très poêtique, mais cela ne ressemble pas beaucoup à la réalité. A moins que nous n'ayons pas la même image d'arlequin et de sa façon de s'habiller.

    Très précis, le rédacteur annonce que la couche de protection mesure 1000 microns. Sauf erreur, cela fait exactement 1 millimètre.

    Mais comme disait ma grand-mère, il faut mieux avoir un million de centimes que 10.000 Francs.

    Enfin, voilà une bonne nouvelle qui va couper le gaz à tous les allumeurs de lanterne !

     

    Nota Bene : cette expression totalement désuète est employée régulièrement dans le journal du conseil général pour désigner les "mauvais Ardennais" qui osent parfois présenter  l'actualité départementale avec ses côtés négatifs.

  • Privatisation de La Poste : votre avis compte

    La riposte au projet de loi de privatisation de La Poste se prépare.

     

    Un comité national regroupant de nombreuses organisations syndicales et politiques a été créé. Suite au refus du président de consulter les Français sur ce sujet, un référendum sera organisé le 03 octobre prochain.

    Voici l'appel du comité :



    Référendum postal le 3 octobre 2009



    La profession de foi, l’affiche et le bulletin de vote pour le 3 octobre sont disponibles dans la rubrique matériel de campagne.


    LA POPULATION DOIT SE PRONONCER sur la privatisation de la Poste par une consultation populaire

    Le Président de la République n’a pas répondu aux interpellations du Comité National qui l’appelle à organiser un référendum sur le service solde_poste.jpgpublic postal.

    Réuni en assemblée plénière le 6 juillet 2009, le comité national contre la privatisation de La Poste, pour un débat public et un référendum sur le service public postal a choisi la date de la consultation nationale sur l’avenir de La Poste :

    Elle se tiendra le samedi 3 octobre 2009.

    Les organisations signataires de l’appel pour La Poste s’engagent à tout mettre en œuvre pour la réussite de cette consultation.

    Organisée localement partout en France par les comités locaux et collectivités partenaires de l’action du comité national, cette consultation pourra se tenir dans les mairies comme devant les bureaux de poste, dans la transparence et la démocratie pour que chacun ait une chance de se prononcer sur le projet de privatisation de La Poste.

  • La Poste bientôt privatisée

    Le Changement de statut de "La Poste" était à l'ordre du jour du conseil des ministres de ce jour.

     

    Le gouvernement,  en particulier par les voix de Christian Estrosi  et Chistine Lagarde, affirme que ce changement de statut ne doit pas être considéré comme le début d'une privatisation. Ils répètent que l'actionnariat sera à 100% public . D'après eux, le changement aurait comme seul but de favoriser l'entreprise face à la concurrence qui s'annonce en Europe. Ils donnent malgré tout l'impression d'insister un peu trop, et de nous prendre pour des naîfs.

    Le prétexte est bien l'ouverture à la concurrence"grâce" à l'Europe. Bien entendu, ce qui va être concurrentiel, ce sont les secteurs rentables.LogoPoste.gif Et pour se situer dans les plus performants, il faudra faire des économies dans les secteurs non rentables, comme la distribution du courrier dans les zones rurales. Ce qui existe déjà comme les fermetures de bureaux et la diminution de la qualité du service postal n'est qu'un début.

    La privatisation est le but à moyen terme, histoire de rendre les salariés moins protégés, et de mieux faire passer la disparition de la notion de service public. Les promesses n'engagent pas ceux qui les font, et comme d'habitude elles seront bien vite oubliées.

    Le site nouvelobs.com reprend utilement les exemples de GDF et de France Telecom ; c'est édifiant.



    "C'est clair, c'est simple et c'est net"


    "Pas de privatisation" : c'est ce qu'avait soutenu en 2004 Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Economie et des Finances au moment de l'augmentation du capital d'EDF-GDF. Le 6 mai 2004 lors d'un déplacement à Chinon (Indre-et-Loire), Sarkozy contente les représentants syndicaux de l'entreprise énergétique devant les caméras de télévisions : "On ne viendra pas à la privatisation, c'est clair, simple et net". Et à nouveau pour sommaire_pic.jpgtout ceux qui n'avait pas bien entendu : "Il n'y aura pas de privatisation d'EDF et Gaz de France, c'est clair, c'est simple et c'est net."
    Le 15 juin 2004, il réaffirme avec aplomb devant les députés : "EDF-GDF ne sera pas privatisée, le gouvernement ne le souhaite pas et l'Europe ne nous le demande pas".
    Toutefois, pour qu’EDF et Gaz de France puisse "lutter à armes égales contre leurs concurrents", Nicolas Sarkozy estime qu'il est "indispensable de transformer ces établissements publics en sociétés anonymes."
    Le 22 juillet 2004, le Parlement vote l'ouverture du capital de Gaz de France (GDF) avec une participation de l'Etat ne pouvant pas descendre au-dessous de 70%.
    Quatre années plus tard, jour pour jour, le tout nouveau groupe GDF-Suez est coté en Bourse. L'Etat ne détient que 35,6% de son capital.

    "Le changement de statut de l'entreprise est nécessaire"


    Autres temps, autres pratiques. En juin 1996, le gouvernement Juppé promulgue les lois de déréglementation et d’ouverture à la concurrence de France Télécom. Selon un modèle déjà bien rodé, l'opérateur public est transformé en société anonyme. "Le changement de statut de l'entreprise est nécessaire", explique alors le ministre des Technologies de l'Information et Poste, François Fillon, "dans la perspective d'une ouverture à la concurrence". Il est évidemment entendu que l’Etat conservera au moins 51% de son capital.
    La dissolution de l'Assemblée nationale en 1997 retarde l'ouverture du capital de l'opérateur téléphonique. Au nom de la défense des services publics, chère à la gauche, les socialistes s'engagent lors de la campagne législative à stopper le processus de privatisation. "Parce qu’il y a mission de service public, les socialistes souhaitent que France Télécom reste avec un capital à 100 % public", indique Dominique Strauss-Kahn. Une fois nommé Premier ministre, Lionel Jospin se ravise et fixe les modalités d'une privatisation partielle, qui conduit à la 23052006_big_436.jpgmise sur le marché 20,9% du capital de France Télécom. Cette ouverture du capital, "lui permettra de rester l'un des tous premiers opérateurs mondiaux", justifie-t-il. La vente des actifs de l'Etat se poursuit.

    Privatisation


    En décembre 2003, les députés adoptent une loi permettant à l’Etat de réduire sa participation sous le seuil de 50% du capital de France Télécom. Le ministre de l'Economie de l'époque, Francis Mer, défend les choix du gouvernement : "Le fait de voir son capital figé par une obligation juridique peut devenir un handicap stratégique pour l'entreprise."
    Nicolas Sarkozy transforme l'essai le 1er septembre 2004. France Télécom est privatisée. Aujourd'hui l'Etat ne détient plus que 26,65% de son capital.
    A la lumière de ces précédents, il faut donc croire le chef de l'Etat : "La Poste changera de statut, mais ne s'ouvrira qu'à des capitaux publics".

  • pouvoir et copinage

    La démocratie nécessite que le pouvoir politique soit contrôlé par d'autres pouvoirs indépendants : presse, justice,...

    Avec Sarkozy, et R Dati, l'indépendance de la justice a pris de sacrés coups, ce qui a provoqué beaucoup de réactions dans le monde judiciaire.

    Pour la presse, le pouvoir politique peut compter sur des patrons amis (TF1, Le Figaro,etc). Il peut aussi nommer les responsables de l'audiovisuel public, en s'assurant ainsi au moins une neutralité bienveillante.

    Le scandale des sondages payés par l'Elysée et revendus à des journaux est un exemple particulièrement choquant de la confusion entre information et communication officielle.

    Voici un article du Monde diplomatique sur ces faits:

     

    Manipulations de l'opinion aux frais du contribuable

    Un rapport de la Cour des comptes a révélé l'existence d'une convention, signée le 1er juin 2007, entre la présidence de la République et un cabinet d'études chargé de commander des sondages à l'institut Opinion Way « pour un coût avoisinant 1,5 million d'euros ». Sur les trente-cinq études facturées en 2008, au moins quinze, payées 400 000 euros par l'Elysée, ont aussi été publiées par Le Figaro - dirigé par M. Etienne Mougeotte, ancien PDG de TF1 - et LCI. Connu pour produire des sondages particulièrement complaisants à l'égard du chef de l'Etat, Opinion Way réalise ses « enquêtes » en ligne, ce qui fait encore chuter le crédit déjà très limité qu'on pouvait leur accorder (lire « Consécration pour les sondages en ligne », par Alain Garrigou, La valise diplomatique, 25 mai 2009).

    Le cabinet en cause, Publifact, est dirigé par M. Patrick Buisson, proche conseiller de M. Nicolas Sarkozy. En 2008, Publifact a encaissé pour cette activité de conseil 10 000 euros d'honoraires mensuels. Directeur de la chaîne Histoire, M. Buisson est aussi l'ancien rédacteur en chef de l'hebdomadaire d'extrême droite Minute.

     

    1_67.jpgPatrick Buisson( photo ci-contre), proche du président est donc au centre de ce scandale. Il dirige la Chaîne "Histoire" qui appartient à TF1. Cette chaîne est l'objet d'un autre méli-mélo politico-financier, que relate "Le Monde" . Cela fait beaucoup pour un seul homme, qui bénéficie pour des entreprises qu'il dirige d'apport financier venant du pouvoir qu'il conseille.


    La chaîne privée Histoire a-t-elle bénéficié des mannes du ministère de la culture du fait de la proximité de son directeur général, Patrick Buisson avec Nicolas Sarkozy, dont il est un des conseillers officieux ?

    Entre 2008 et 2009, 270 000 euros ont été accordés par la rue de Valois à cette chaîne de télévision diffusée sur le câble et le satellite, détenue à 100 % par TF1. Selon les explications officielles fournies au Monde par le ministère de la culture, la somme accordée à la chaîne Histoire visait à "valoriser l'action du ministère en faveur du patrimoine".

    Après avoir pris part à la campagne présidentielle de M. Sarkozy, M. Buisson ex-proche de l'extrême droite, ancien journaliste à Minute et à Valeurs Actuelles, a quitté LCI en novembre 2007. Il a alors été nommé à la tête de la chaîne Histoire, dont le PDG est Laurent Solly, ex-directeur de campagne adjoint du candidat Sarkozy.

    Au printemps 2008, le ministère de la culture a publié un appel d'offres pour obtenir le droit d'utiliser un programme de télévision disponible sur le marché "à des fins de communication institutionnelle". Il se trouve que le directeur de la chaîne Histoire, M. Buisson, a alors le projet de consacrer une émission au patrimoine.

    PARRAINAGE

    L'affaire s'est conclue très vite. Pour les marchés publics inférieurs à 133 000 euros, les délais légaux sont très rapides. L'appel d'offres est publié le 29 avril. La commission qui est chargée au ministère d'attribuer les marchés a retenu la candidature de la chaîne, le 23 mai. Malgré l'absence de concurrent susceptible d'être mieux-disant, le ministère ne déclare pas l'appel d'offres infructueux. "Le prix proposé par la chaîne nous a semblé raisonnable", insiste-t-on rue de Valois.

    Le ministère obtient ainsi le droit de rediffuser l'émission, intitulée "Vive le patrimoine", et verse, 65 000 euros HT à la chaîne dirigée par M. logo_histoire.jpgBuisson. Cette somme est suivie d'un second versement de 35 000 euros HT par le ministère, pour obtenir le droit d'avoir son logo au générique de chaque émission. " Puisqu'il s'agit cette fois d'un accord de parrainage, un second appel d'offres n'est pas nécessaire", explique-t-on rue de Valois.

    Après l'obtention de ce premier marché pour un total de 120 000 euros TTC, l'administration a signé, le 9 juin 2009, un nouvel accord avec la chaîne Histoire pour un montant total de 150 000 euros. Cette fois encore le marché s'est conclu sans aucun appel d'offres, puisqu'il s'agit toujours d'un contrat de parrainage.

    Discret avant le premier marché, M. Buisson s'est manifesté auprès de Mme Albanel de nombreuses fois avant le second accord de juin 2009. La ministre et le conseiller de M. Sarkozy ont déjeuné plusieurs fois ensemble "pour évoquer avec elles ses relations avec le président de la République", confie le même proche de la ministre. Quelques jours avant le remaniement du 23 juin, M. Buisson s'est fait fort de promouvoir son action à l'Elysée.

    "Il aurait été demandé deux fois plus à la ministre, Christine Albanel, elle aurait signé des deux mains pour être dans les petits papiers de M. Buisson", assure une source proche de l'ex-ministre de la culture, qui tient à garder l'anonymat par crainte pour sa carrière.

    Le ministère du tourisme parraine lui aussi la même émission. "Il est normal que le ministère cherche à valoriser son action en participant à un programme sur le patrimoine", explique le cabinet du ministre Hervé Novelli, un proche de M. Buisson depuis de nombreuses années. Son administration n'a pu communiquer à ce jour le montant des crédits ni les modalités de leur affectation.

    Sollicité par Le Monde, M. Buisson a répondu qu'il ne voulait pas s'exprimer. Il a précisé qu'il n'avait pas "à déférer au tribunal médiatique" et qu'il était "garant de l'intégrité de la chaîne qu'il dirige".

    Béatrice Jérôme

     

     

     

  • Auxon: la population s'est exprimée

    Auxon faisait partie des deux communes retenues pour recevoir un centre de stockage de déchets nucléaires.

     

    Ces deux communes, qui avaient fait acte de candidature, se sont maintenant retirées, sous la pression des anti-nucléaires et des habitants de la région.

    A Auxon, le maire est très remonté contre ses conseillers qui ont voté à l'unanimité contre le projet. Le maire a annoncé sa démission, qui deviendrait effective en août.

    Le conseil municipal s'appuie sur une consultation locale, dont les résultats sont clairs. Voici les chiffres repris de "L'Est Républicain":

     

    Les élus signataires en profitent également pour donner les résultats de la consultation des habitants d'Auxon sur le projet d'enfouissement. Il y a eu 556 bulletins exprimés pour environ 650 inscrits sur les listes électorales, soit 71 % de votes contre, 15 % de votes pour le projet et 14 % de sans avis.


    Le nombre de votant est élevé, et le score sans appel. Pourtant, le maire pense avoir Bure-ANDRA.JPGraison contre la majorité de sa population, et met en avant la création d'emplois dans ce secteur qui en est dépourvu.

    Malgré cet argument, les habitants n'ont manifestement pas voulu lier leur village au nucléaire,et prendre le risque à plus ou moins long terme de voir leur terres et leurs nappes phréatiques polluées de manière irréversible.

    L'ANDRA qui recherche un site au nom du gouvernement, n'est pas au bout de sa peine pour trouver une commune candidate. Nul doute que cela cogite dur dans les hautes sphères pour trouver une tactique plus efficace.

  • Il y a comme un malaise.

    Quand le président fait un malaise, c'est une affaire d'Etat.

     

    En particulier quand le régime devient hyperprésidentiel, les problèmes de santé du chef de l'Etat ne peuvent rester dans le domaine privé.

    C'est pourquoi nous nous permettons quelques commentaires sur les éléments qui sont à notre disposition à l'heure actuelle.

    L'ami du président, Patrick Balkany, a fait très rapidement savoir qu'il s'agissait d'un malaise vagal, très bénin. Mais le fait que ce malaise soit survenu à l'effort, et l'hospitalisation de Sarkozy ne colle pas très bien avec cette version.

    Plus intéressant est le communiqué de ce jour de la présidence. Le voici en entier:


    "Aujourd'hui en fin de matinée, alors qu'il effectuait un jogging dans le parc du Château de Versailles, le 72088-23087.jpgprésident de la République a été pris d'un malaise. Ce malaise, qui est survenu après 45 minutes d'exercice physique intense, ne s'est pas accompagné d'une perte de connaissance. Il a conduit le président à interrompre son effort et à s'allonger avec l'aide d'un proche. Le médecin de l'Élysée qui était à proximité a apporté les premiers soins et a prévenu les secours.
    Le président a été transporté en hélicoptère à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce où des examens de contrôle sont réalisés depuis 13h45. L'examen clinique et les examens complémentaires à visée neurologique sont normaux (bilan sanguin, électroencéphalogramme, IRM). La surveillance cardiologique, systématiquement pratiquée dans de telles circonstances, se poursuit jusqu'à demain matin.
    Entre-temps, le président de la République se repose. Il a reçu ses proches collaborateurs afin de se tenir informé de l'actualité.
    Un nouveau bilan sera communiqué demain"


    Plusieurs points attirent l'attention:


    Des examens poussés ont été pratiqués ( dont une IRM), examens totalement inutiles s'il s'agit d'un malaise vagal.


    Il est fait état d'une surveillance cardiologique qui sera poursuivie jusqu'à lundi. Le communiqué affirme qu'une telle surveillance est systématique dans de telles circonstances.Mais il n'y a rien de très précis sur ces circonstances, et ce communiqué ne mentionne pas le terme de malaise vagal.


    Car le plus intéressant dans ce texte est ce qui n'y figure pas. Outre le fait que le terme de malaise vagal ne soit pas repris, on note qu'il est bien écrit que les examens complémentaires neurologiques sont normaux, et que par contre il n'est pas fait état des examens complémentaires cardiologiques. Dans ces circonstances, ils sont les plus importants, et ne pas les mentionner est pour le mois curieux.



    Ce communiqué, et les versions semi-officielles type Balkany nous laissent une sensation de...malaise, c'est le cas de le dire.

    D'autant que l'histoire médicale des présidents français est riche de mensonges, parfois énormes (de Pompidou à Mitterrand ...).

    Alors qu'est-il arrivé à Sarkozy ce jour ? On finira bien par le savoir tôt ou tard, mais restons très prudent par rapport à la communication officielle.