Extrait de la revue Politis
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Ce mauvais sketch joué hier à Rio a une première explication : la lecture des 40 pages du document final fait apparaître que la société civile, c’est à dire les grandes associations, serait plus étroitement intégrée dans les processus de décision, quasiment considérées comme des agences des Nations Unies à statut particulier. Une « intégration » que ces « majors » ne peuvent ni ne veulent remettre en question par crainte de perdre une force de pression déjà fragile. Définitivement « embedded » dans la machine onusienne, ces grands mouvements veulent sauvegarder leurs petits pouvoirs naissants, sans se rendre compte (au moins semble-t-il) qu’ils se font l’instrument du consensus mou qui gouverne les Nations Unies et leurs réunions. Donc, elles tapent sur la table, tonnent mais rentrent vite dans les rangs pour continuer à faire partie du club.
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En regardant jeudi ces grands fonctionnaires associatifs dont la sincérité est sans doute grande, s’agiter dans la toile qui les emprisonne et les paralyse, il était possible de comprendre que, comme les Nations Unies, leur système est à bout de souffle ; et que les écologistes et les environnementaliste devront rapidement en trouver un autre plus proche des écosystèmes démocratiques et de la vie. Sous peine de succomber sous les poids de la respectabilité, notables impuissants parmi d’autres notables impuissants...

naturels terre ou chaux ou encore la pose d’isolants naturels (ouate de cellulose, laine de chanvre ,fibre de bois...). Certains sont spécialisés dans la rénovation écologique du bâti ancien, d’autres proposent la construction de maisons ossature bois. L’ALE met à disposition les listes des entreprises sur simple demande.
énergétique sont les grands absents de la campagne présidentielle.
catastrophe de Tchernobyl, qui intervient quelques semaines seulement après celui de Fukushima, le Réseau "Sortir du nucléaire" n’a qu’un objectif : rappeler à tous, et notamment aux deux derniers candidats en lice pour les Présidentielles, les dangers du nucléaire et la nécessité d’en sortir au plus vite. Tchernobyl, Fukushima, plus jamais ça ! 
internationale, aucune réglementation spécifique n’encadre l’activité des plateformes offshores. L’Union Européenne n’a toujours pas ratifié le protocole offshore de la convention de Barcelone, dont elle fait pourtant partie. Au niveau français enfin, l’exploitation d’hydrocarbures offshores est encadrée par un code minier obsolète.
Focus sur l’hydroélectricité : un potentiel sous-exploité
fracturation hydraulique, la seule viable économiquement à l'heure actuelle.
Russie.