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  • Fukushima : 6 ans après, pas de retour à la normale

    Communiqué de Greenpeace.

    La catastrophe nucléaire de Fukushima, c’était il y a six ans déjà. Et la catastrophe est toujours en cours : les fuites radioactives se poursuivent et des milliers de personnes ont été déplacées. Le gouvernement japonais veut les contraindre à rentrer chez elles alors que beaucoup de zones sont encore contaminées. C’est le cas des habitants de la région d’Iitate.

     En novembre 2016, Greenpeace a mené une campagne de mesure de niveaux de radiation à Iitate, village situé à environ 35 km de Fukushima, et dans ses environs.
    Les chiffres de cette enquête ont été révélés la semaine dernière par Greenpeace, dans son rapport « No return to normal ».

    Les résultats sont très inquiétants : des valeurs relativement élevées de rayonnements, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur des maisons d’Iitate, montrent un risque inacceptable d’exposition pour les citoyens s’ils y retournent. Dans certaines maisons, les doses de radiation mesurées sont cinq fois supérieures aux doses internationales maximales recommandées.

    Or, le gouvernement japonais entend lever l’ordre d’évacuation de la région d’Iitate à la fin du mois de mars et supprimer les compensations financières un an plus tard. Cela signifie que les habitants de la région seront financièrement contraints de retourner vivre dans une zone qui est pourtant toujours dangereuse pour leur santé.

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  • Assemblée Générale d'Argonne PNR

    Dans les années 80, l’Argonne a déjà fait l’objet d’une forte mobilisation lors de la mise en place d’un programme expérimental de portée nationale, le Plan d’Aménagement Rural (PAR).
    Mais ce projet n’a pas abouti. En 2007, un petit groupe de passionnés de l’Argonne décidait de reprendre cette idée avec comme objectif la mise en place d’un Parc naturel régional afin de valoriser le territoire argonnais. L’association « Argonne-PNR » est née, le 7 avril 2009, à Chaudefontaine devant une soixantaine de personnes. (Parution au journal officiel le 3 juin 2009)

    Huit années plus tard, cette nouvelle assemblée générale permet de faire le point sur la faisabilité d'un projet de territoire Argonnais et sa reconnaissance régionale et nationale.

    Elle sera l'occasion de présenter nos différents travaux et rapports statutaires.

    Julien Didry Président du Pays de Verdun, Maire de Bras sur Meuse et président de la Communauté d'agglomération du Grand Verdun interviendra sur le thème du numérique dans le développement des territoires ruraux et en particulier en Argonne.

    Plusieurs projets importants feront l'objet d'une présentation à cette occasion.

    L'assemblée générale sera le point de départ d'une large mobilisation pour défendre la prise en compte de l'Argonne dans les arbitrages concernant les politiques d'aménagement du territoire. Après dix années d'engagement nous demandons une véritable démarche d'échange et de concertation concernant l'avenir de l'Argonne. Un appel sera officiellement lancé durant cette assemblée auprès des décideurs territoriaux pour qu'ils se prononcent clairement dans l'accompagnement de l'Argonne et sa reconnaissance régionale et nationale.

    Qu'on se le dise l'Argonne ne restera pas sur le bord de la route !

    Merci à tous les adhérents et sympathisants de leur participation et de leur soutien à ce projet pour l'Argonne.

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  • Fillon laché par les siens.

    La campagne présidentielle prend de plus en plus une tournure inquiétante. Les programmes des candidats ne sont pas l'objet d'un débat, ou si peu. On est réduit à suivre un spectacle médiatico-judiciaire qui rappelle le feuilleton Dallas en pire.

    Ce jour a été particulièrement surréaliste, avec un François Fillon qui fait durer le suspens toute la matinée pour annoncer finalement le contraire de ses promesses : il se présente même s'il est mis en examen. Il dénigre le comportement des juges (et des policiers chargés de l'enquête), alors que s'il était élu, il aurait comme fonction d'être garant de l'indépendance de la justice.

    Ses soutiens semblent de moins en moins solides, mais comme il est impossible de lui trouver maintenant un remplaçant, beaucoup se résignent à rester derrière lui.

    Des "notables" le lâchent cependant, et parmi eux, on retrouve Bruno Lemaire (un de ses porte-paroles de campagne) et Jean-Christophe Lagarde responsable de l'UDI (allié centriste de LR).

    Dans la région, beaucoup de "grands élus" annoncent qu'ils prennent leurs distances avec Fillon.

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