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L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 889

  • FEST'Nef à Attigny

     

    La Nef en quelques mots


    La Société financière de la Nef collecte de l'épargne et accord des prêts pour des projets à fortes plus-values sociale et environnementale. Véritable outil de transformation sociale depuis plus de 30 ans, le projet de la Nef a pour objectif de se mettre au service des initiatives novatrices et responsables pour que « l'argent relie les hommes ». La Nef (ré)affirme la place essentielle des projets favorisant un développement social et économique, local et durable.

     

     

    la-nef.jpgLe mois de l'ESS


    Chaque année en novembre, les Chambres Régionales d'Économie Sociale et Solidaire et les Conseils Régionaux invitent les structures de l'ESS à organiser des manifestations en direction du grand public. Derrière cet objectif de sensibilisation, l'événement est un moyen de donner un écho national aux initiatives respectueuses de la personne et de l'environnement.

     

     


    Les sociétaires de la Nef de Champagne-Ardenne sont heureux de vous convier à un Fest'Nef au coeur du « Pays où l’on n’arrive jamais » pour fêter ensemble l'Économie Sociale et Solidaire ! Au programme : une journée festive et conviviale, la découverte de réalisations concrètes et de nombreuses rencontres avec des sociétaires de notre coopérative et des porteurs de projets de la région tels que Enercoop ou la SCIC Eco- Territoires.

     

     

    • Siège d’Enercoop Ardennes -

    23A rue André Dhôtel, 08130 Attigny

    Samedi 21 novembre

    À partir de 17h

     

     

    • Contact : Francis Levasseur - francis.levasseur@laposte.net

    03 26 07 76 57

     

  • Hommage à Jaurès à Revin

     

     

     

    « Ce n'est pas seulement par la force des choses que s'accomplira la révolution sociale, c'est par la force des hommes, par l'énergie des consciences et des volontés » J.Jaurès

    Les Ardennes se doivent de rendre hommage à Jean Jaurès à l'occasion du 150ème anniversaire de sa naissance. On connait certes la personnalité de Jean Jaurès, sa pensée, son action, son influence tant sur le plan national qu'international.

    On sait moins son attachement pour les Ardenne  Jaurès est venu 4 fois dans le département :

     

    h-20-1569494-1244483317.jpgA Nouzonville en 1898 pour un meeting de solidarité avec les ouvriers en lutte de CARMAUX

    A Sedan et à Charleville en 1899 dans le cadre du soutien au colonel Dreyfus,

    A nouveau à Charleville comme témoin de moralité dans un procès fait à un anti militariste,

    A Sedan en 1913 dans sa lutte contre les préparatifs de guerre, on voit bien que le front des luttes était large pour JAURES.

     

    Aussi il n'est pas étonnant que les travailleurs ardennais, toujours très nombreux lors de ses passages, aient forcé l'admiration de JAURES.

    Il ne fait plus aucun doute, qu'aujourd'hui il serait proche de ces derniers ; ne déclarait-il pas :

    « Que ferez-vous des salariés ? C'est à dire que la nation sera obligée de proclamer et d'organiser le droit du travail »

     

    Aussi la municipalité de Revin, ou Jean Jaurès possède un magnifique buste au cœur de la Meuse industrielle, et la Ligue des droits de l'Homme des Ardennes ont souhaité rendre hommage à l'une des plus grande figures de l'histoire de France,

    le Jeudi 19 Novembre 2009 à 18 Heures en salle du Conseil Municipal (rue Victor Hugo)

     

    A cette occasion Gilles MANCERON, Historien, Vice-président de la Ligue des Droits de l'Homme, animera une conférence sur « Jaurès et la citoyenneté sociale ».

    Au préalable se tiendra un temps de recueillement à 17H30 devant le buste de Jaurès.(derrière la salle Jean Vilar - Place de la campagne)

     

  • Greenpeace dénonce les manoeuvres d’Areva et perturbe son trafic de déchets nucléaires

    Depuis mercredi, Greenpeace perturbe sérieusement les plans d’Areva, preuve que le lobby nucléaire n’aime décidément pas que l’on vienne s’intéresser de trop près à ses activités.
    Jeudi et vendredi, deux navires russes (le Kapitan Mironov et le Kapitan Lus) étaient attendus au Havre pour charger des déchets nucléaires en direction de la Russie. L’arrivée sur place mercredi de notre navire, l’Arctic Sunrise, et la mobilisation de nos internautes contre ce trafic de déchets nucléaires ont forcé Areva à changer ses plans. Les deux navires russes ont été déroutés en direction du port de Cherbourg.

     

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    Le navire russe Kapitan Mironov à Cherbourg © Pierre Gleizes / Greenpeace
  • Le nucléaire, une énergie sûre

    Le nucléaire est sensé être un mode de production sûr et performant.

     

    De nombreuses pannes et incidents ont montré que cette industrie n'était pas à l'abri d'accidents, dont les conséquences peuvent être plus catastrophiques que dans d'autres domaines.

     

    On nous vante aussi l'indépendance énergétique que donnerait les centrales nucléaires : on n'a pas vu lors cette crise ou d'autres précédentes un avantage particulier à tirer notre électricité principalement du nucléaire.

    5519979-Photo-papa-006-440x320.jpgOn voudrait aussi nous faire croire que l'approvisionnement est ainsi assuré à tous les foyers.

    Or, beaucoup de centrales sont actuellement hors service, la fourniture de courant électrique  risque d'être délicate aux moments de pointe de l'hiver.

    Les"avantages" du nucléaire deviennent bien difficiles à trouver.

    Voici une analyse reprise du site romandie.com


    PARIS - La France va devoir importer massivement de l'électricité pendant plus de deux mois cet hiver et le pays n'est pas à l'abri de coupures d'électricité, l'arrêt de nombreux réacteurs nucléaires empêchant de satisfaire les pics de consommation dus au froid.

    Le Réseau de Transport d'Electricité (RTE) a mis en garde vendredi contre les risques de "rupture d'approvisionnement" en cas de vague de "froid intense et durable".

    Entre mi-novembre 2009 et fin janvier 2010, le gestionnaire de ligne à haute tension prévoit que la France va devoir importer 4.000 mégawatts d'électricité par jour en moyenne, soit l'équivalent de la production de 4 réacteurs nucléaires.

    C'est une situation inédite, la France étant d'habitude plutôt exportatrice d'électricité. "On n'avait pas connu ça depuis très longtemps", remarque-t-on chez RTE.

    En cause: les nombreux arrêts de production dans les centrales nucléaires françaises, qui assurent habituellement près de 80% de la production française.

    Le 26 octobre, 17 des 58 réacteurs d'EDF étaient à l'arrêt contre 4 ou 5 en temps normal à cette période de l'année.

    Electricité de France refuse de communiquer sur ces arrêts de production. Le groupe assure cependant que ses équipes sont "mobilisées pour préparer le passage de l'hiver et satisfaire l'ensemble de ses clients".

    Un mouvement de grève intervenu au printemps avait retardé de plusieurs mois les opérations de maintenance et de rechargement en combustible des centrales nucléaires d'EDF.

    Ces dernières ont en outre connu plusieurs avaries. L'arrêt pour maintenance d'un réacteur de la centrale de Flamanville (Manche) a par exemple été prolongé de plusieurs semaines, à la suite d'un problème survenu "sur le générateur de vapeur".

    Les syndicats mettent régulièrement en cause le manque de maintenance et le recours croissant à la sous-traitance pour expliquer la multiplication des pannes dans les centrales d'EDF.

    De fait, le taux de disponibilité du parc nucléaire français ne cesse de se dégrader depuis plusieurs années. Il est ainsi tombé de 83,6% fin 2006 à 79,2% fin 2008.

    Ce déficit de production, combiné à une hausse continue de la consommation d'électricité, rend le recours aux importations de plus en plus fréquent.

    La situation est particulièrement tendue pendant les mois d'hiver, en raison du recours massif des Français au chauffage électrique, encouragé au lendemain de la construction du parc nucléaire français.

    Près de 30% des logements étaient équipés de chauffage électrique en 2006, contre environ 2% trente ans plus tôt. Et la tendance s'accentue, la majorité des nouvelles habitations étant chauffées à l'aide de convecteurs.

    Cet équipement en "tout-électrique" se traduit par des pics de consommation autour de 19H00, quand les Français rentrent du travail et mettent en marche chauffages, machines à laver, fours et plaques chauffantes... Ces gestes apparemment anodins font alors bondir la consommation d'électrons à des niveaux record.

    Si les températures tombaient 7 à 8 degrés sous les normales saisonnières d'ici à la fin janvier, RTE estime qu'il faudrait importer 9.000 MW logo-rte.jpgd'électricité.

    On atteindrait alors la limite maximale pour le réseau électrique français, qui "n'est pas conçu pour importer de telles puissances", indique-t-on chez RTE.

    En dernier recours, RTE peut décider de procéder à des "délestages", c'est-à-dire à des coupures de courant partielles, pour éviter que le système ne s'écroule.

    "La situation est sensiblement plus tendue que d'habitude mais on est habitué à gérer des situations difficiles", assure-t-on chez RTE.

  • Sarkozy radote

    Un discours de Sarkozy, c'est toujours une nouveauté. Quoique...

     

    Voir une video du "petit journal"cliquer ici

  • Le doux pays de l'enfance

    L'enfance, c'est parfois très loin d'être une période privilégiée, où l'on est protégé et où on a le droit à l'éducation.

     

    Le "Monde diplomatique" consacre un article documenté à la géographie de l'enfance.

    A lire et à méditer.(cliquer ici)

  • Greenpeace a bloqué un navire à St-Nazaire pour dénoncer la déforestation en Indonésie

    Communiqué Greenpeace

     

    bt-nazaireCe jeudi, durant huit heures, nos activistes ont empêché un navire en provenance d’Indonésie de décharger 15 000 tonnes de tourteaux de palme au port de Montoir-de-Bretagne (à 5 km de Saint-Nazaire). Ces tourteaux sont les résidus solides issus de l’extraction de l’huile des palmiers à huile. En bloquant leur déchargement, Greenpeace protestait contre le développement de l’industrie de l’huile de palme en Indonésie, un développement synonyme de déforestation et d’émissions de gaz à effet de serre.

    Greenpeace demande aux chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union Européenne qui se réunissent actuellement à Bruxelles de s’engager fermement contre la déforestation, dans la perspective du sommet international sur le climat qui s’ouvrira à Copenhague le 7 décembre.

    Jeudi matin, une dizaine de nos activistes ont embarqué sur des bateaux pneumatiques, tandis qu’une dizaine d’autres ont grimpé sur les grues du terminal pour bloquer tout déchargement. Nos militants ont peint en blanc l’inscription ” Climate crime ” (” Crime climatique “) sur la coque du bateau. Des banderoles ont été déployées sur lesquelles on pouvait lire ” Déforestation = changement climatique “.

    Greenpeace rappelle que 20% des émissions mondiales de gaz à effet de serre sont dues à la déforestation. En Indonésie, la destruction massive des forêts tropicales et des tourbières pour y installer des plantations d’huile de palme a fait du pays le troisième émetteur de gaz à effet de serre (après les Etats-Unis et la Chine).

    A Bruxelles comme à Copenhague, la lutte contre la déforestation doit être une des priorités des chefs d’Etat et de gouvernement.