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l'union - Page 2

  • Demain,vous pourrez encore lire l'actualité vouzinoise dans "l'An Vert"

     
    Par contre, il va peut-être devenir difficile de s'informer localement avec "l'Union"
     
    La presse quotidienne régionale est en difficulté depuis des années. On a déjà connu la disparition de fait de "l'Adennais" repris par "l'Union". C'est au tour de ce dernier de connaître des difficultés, d'aprèsarton1628-2b899.png FR3 .
    La fusion avec un grand groupe comme "la Voix du Nord" risque d'éloigner encore un peu plus les rédactions du terrain local. Rappelons que notre quotidien a fermé il y a quelques mois le bureau de Vouziers, recentrant sa rédaction sud-Ardennes à Rethel. Si des licenciements sont réalisés, ce sera au détriment du travail de journalisme et pour produire une presse "rentable".
     Voici ce qu'indique le site FR3 Champagne-Ardenne :
    Le quotidien régional et son actionnaire majoritaire, le Groupe Hersant Média, seraient en difficulté financière.

    Les salariés inquiets craignent des licenciements.

    Ce lundi ils ont distribué des tracts devant le journal L’Union de Reims.

    A l’appel des syndicats une assemblée générale extraordinaire était organisée avec tous les actionnaires pour faire le point sur la situation du groupe. 

     

    Le groupe de presse Hersant également propriétaire de L’Ardennais, de l’Est-éclair, de Libération Champagne, et de l’Aisne nouvelle en Picardie aurait près de 200 millions de dettes.

     

    Des rumeurs évoquent la possible reprise du journal par la Voix du Nord et l’annonce d’un plan social qui concernerait 120 salariés sur les 600 que compte les quotidiens de la région et de Picardie détenus par Hersant.

  • Vouziers : l'Union évolue

    Toujours à la pointe de l'actualité, L'Union adapte ses éditions en intégrant le concept "Sud-Ardennes"

     

    Voici la présentation faite dans le journal lui-même:

    Dans le sud, l'union "Ardennes" change son déroulé pour être au plus près de vos centres d'intérêts avec l'ouverture du journal consacrée à Ardennais_new.jpgl'actualité de Rethel et Vouziers avant celle de Charleville-Mézières.

    Notre ( très vouzinois) confrère en profite pour bien intégrer la spécificité "Sud-Ardennes" : on ferme à Vouziers et on recentre à Rethel.

    A l'occasion du départ en retraite de sa secrétaire locale, le journal va supprimer son bureau de Vouziers.

    Il ne sera plus possible d'y déposer directement les annonces des activités locales, les avis de décès et de naissances, enfin toutes les nouvelles que les Vouzinois transmettaient par ce moyen.

    Ce doit être ce que la rédaction du journal appelle "être au plus près". Ce sont bien entendu les personnes les plus fragiles (personnes agées, isolées, sans accès internet, ...) qui vont se trouver les plus pénalisées par cette décision.

    Il est logique d'automatiser des tâches répétitives et automatiques ; il est regrettable de faire disparaître l'intervention humaine dans les échanges de services commerciaux ou administratifs, là où cette participation joue un rôle primordial.

     

     

  • "L'Union" nous laisse sans voix

    Du journalisme comme on n'en fait plus.

     

    C'est avec des arguments et un ton particulièrement violents que le chef du service politique de notre confrère (??) L'Union s'en prend au rédacteur du blog "La voix Vouzinoise".

    La meilleure réaction dans ce genre d'attaque serait de ne pas réagir. En effet, Philippe Le Claire, comme quelques autres, a été engagé à "L'Union" pour donner une nouvelle image au journal. Et surtout lui redonner quelques lecteurs supplémentaires, car n'oublions pas que la presse écrite est un secteur qui a été touché par la crise bien avant 2009.

    Nous avions déjà dénoncé les méthodes "journalistiques" de ce monsieur en octobre dernier.

    Ses derniers écrits sur les listes (de gauche) aux régionales sont du même niveau. Qu'il utilise un ton très polémique et provocateur, c'est un h-20-1375398-1231169159.JPGpeu particulier pour un journal qui se veut celui de toute une région, et donc respectueux de tous ses habitants. Mais il est beaucoup plus grave de se permettre de présenter des faits (historiques ou actuels) de manière pour le moins contestable. Et peut-être que le moins admissible pour un professionnel est de mélanger les éléments objectifs, sensés être donnés au lecteur, à la bouillie idéologique que nous sert notre rédacteur en guise de commentaire.

    Cette démarche est bien connue des publicitaires : qu'importe le message, et n'ayons pas peur de choquer. L'important est de faire parler de soi, en bien ou en mal.

    Arrêtons donc ici de faire de la publicité pour ce monsieur. Comme nous l'avons écrit plus haut, le mieux aurait été de ne pas lui faire le plaisir de répondre à ses papiers.

    Cette note a pour objet principal de faire savoir à Frédéric Courvoisier-Clément que nous ne sommes pas surpris d'une telle attaque venant de Philippe Le Claire, et que nous l'assurons de notre soutien total. Quand des principes de base sont en cause, la solidarité ne se discute pas, les différences d'opinion existantes devenant secondaires.

     

     

  • Condamné et fier de l'être

    Notre ( très justicier) confrère "L'Union" vient d'être condamné par le tribunal de Reims.


    Le 19 octobre, l'Union a été condamné pour diffamation envers Ali Aissaoui, ancien adjoint au maire de la ville de Reims.

    L'affaire remonte au début d'année, et à une manifestation contre l'intervention israélienne à Gaza. Le journal local a mené une campagne de presse contre Ali Aissaoui, accusé de soutenir des actes et des propos antisémites.

    Voici un extrait de ce qu'écrivait "L'Union", repris par le site Bellaciao.

    "Que n’a-t-elle interdit, le samedi 10 janvier dernier, la manifestation organisée par plusieurs associations dont la Ligue des Droits de l’Homme, 12-Ali_Aissaoui.jpgpour apporter un soutien aux victimes des bombardements de Gaza, place d’Erlon. Car en fait de soutien aux victimes palestiniennes, il s’agissait surtout de procéder au lynchage symbolique des Israëliens.
    On a pendu une effigie en chiffon, des enfants - que faisaient-ils donc là ? - ont distribué des tracts appelant au boycott des entreprises sionistes, des commerces « juifs »… Tout ça avec la complicité du très engagé Ali Aissaoui, adjoint au maire de Reims, chargé de la démocratie locale…"
    Philippe Le Claire journaliste l’Union"

     

    La justice donne donc tord à "L'Union", ce qui ne fait pas plaisir à la rédaction du quotidien.

    Le même journaliste écrit le 28 octobre :

    Or, parmi « tous ces concitoyens anonymes (1800) présents lors de manifestation du 10 janvier », il y avait les auteurs des propos antisémites et ceux qui ont distribué des tracts discriminatoires. M. Aissaoui s’en rend solidaire, mais… il n’en serait pas « complice ». Nous restons libres de penser que « manifester » pour la Palestine et les Palestiniens n’impose pas de proférer des propos antisémites.
    De toute évidence, il est des condamnations qui valent titre de noblesse…

    Philippe LE CLAIRE

     

    Le journaliste conteste le jugement, et reprend ses propos qu'il serait libre d'écrire. Il serait effectivement plus simple que les journalistes jugent eux-mêmes si leurs propos sont condamnables, le rédacteur en chef serait procureur, et dans ce cas, pas besoin d'avocat.

    Que chacun fasse son travail, le journal a décidé de faire appel, il n'a pas a dénigrer le jugement qui lui est défavorable.

     

    Il faut savoir également qu'en parallèle le journal a lancé des attaques personnelles contre Ali Assaoui, le traitant de faux médecin, et ce sur un gros titre de première page.

     

    Ali Assaoui est médecin en fin de formation, il lui reste sa thèse à présenter. Il a déjà exercé en tant que remplaçant et en tant que médecin urgentiste.  Les remplaçants et les internes ont le droit d'exercer sans avoir leur thèse de médecine, ce ne sont pas des imposteurs.

    Si Ali Assaoui est un faux médecin, il faut vite fermer la quasi totalité des services des CHU de France qui fonctionnent avec des internes.

    Cette attaque personnelle est ridicule, et "L'Union " s'est permis de barrer sa "Une" avec de telles informations!

    Le pire c'est que le journal ne semble pas avoir honte.

     

     

  • Turbulences

    L'association"Prelude" vient de tenir son assemblée générale au CPR de Vouziers.

     

    0000373456-0_w_230_h_230.jpg?1256659633Cette association qui lutte contre les drogues, avait connu quelques difficultés l'an dernier. D'après notre (renversant) confrère L'Union, les turbulences sont maintenant derrière, la situation s'étant stablisée.

    Si on regarde la photo publiée pour illustrer l'article, on peut croîre qu'il existe encore une certaine instabilité .

     

  • Une presse libérée

     

    "Le Monde" l'affirme : Le quotidien "L'Union" surprend ses lecteurs par sa liberté de ton.

     

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    En effet le journal gabonais est l'unique quotidien du pays, et il était un supporter de feu le président Bongo.

    Depuis que le fils a pris la succession du père, d'une façon "très démocratique", la ligne éditoriale du journal est devenue critique. Des articles ont même dénoncé le rôle de l'armée dans la répression sanglante qui a suivi le scrutin.

    Le directeur du quotidien a été arrêté par les militaires, placé en garde à vue, et sommé de s'expliquer.

    Comme quoi l'indépendance des pouvoirs (l'exécutif, le judiciaire,  le législatif et la presse) ne va pas de soi dans certains pays où le président se comporte comme si il devait tout avoir tout sous son contrôle.

     

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    Le directeur de "L'Union" de Reims assume également un changement de ton, illustré par le billet de B Testa en particulier.

    Le quotidien régional affronte également un nouveau concurrent, "la semaine des Ardennes", hebdomadaire départemental bien décidé à s'imposer sur le terrain.

    "L'Union-L'Ardennais" riposte avec une version musclée de l'édition du dimanche, qui devient un véritable magazine d'informations locales.

    Au-delà de la bataille des lecteurs, c'est une guerre économique qui se déroule, avec comme munitions la publicité qui fait vivre cette presse.

    On sait que le conseil général a choisi son camp, puisqu'il ne fournit plus de publications légales à "L'Ardennais".

    Ce sont cependant les lecteurs qui auront le dernier mot pour la survie de l'un ou l'autre, car il peu probable qu'il y ait de la place pour deux sur ce territoire.

    On risque donc de se retrouver sous peu comme avant (et comme au Gabon), avec une seule source d'informations dans la presse écrite locale.

     

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    Lien permanent Catégories : société Imprimer 0 commentaire Pin it!
  • Un oeil dans la caisse

    vouziers.jpgDans "L'Union" daté de ce dimanche, on trouve le compte-rendu de la récente assemblée générale de l'association "Les Tourelles" .

    Un petit encadré, intitulé"un oeil dans la caisse" donne les chiffres des partenaires financiers . La ville de Vouziers est citée pour une aide de 64.000 euros de subvention, plus mise à disposition et entretien du site . Pour être tout à fait exact, il faut préciser que l'aide de la Ville de Vouziers ne se limite pas uniquement à ces deux moyens .

    Elle met directement à disposition du personnel communal, et subventionne la fédération régionale des MJC afin que celle-ci mette à disposition la directrice de l'association . 

    De plus, c'est la ville qui assure le financement des investissements (ces dernières années : réfection des revêtements de la grande salle, climatisation, remise à niveau totale du matériel son, équipements de scène,...) .

    Le total des aides de la ville pour 2007 est donc de  170.000 euros, plus mise à disposition des locaux, plus l'amortissement des investissements .

    Pourquoi minorer l'effort de la ville pour une association qui anime la cité ?