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grèce - Page 3

  • Grèce : jusqu'au bout de la logique libérale

    En Grèce, pays déjà à genoux, l'Europe et le FMI impose encore plus de sacrifices pour la population, en particulier pour les plus démunis.

    austerite.jpgIls veulent les voir écrasés, anéantis par toutes les mesures dictées. Et tout cela serait pour leur plus grand bien, évidemment.

    Les notions de droits de l'Homme et de solidarité semblent avoir disparu dans les décisions des instances européennes et mondiales. Il est bien clair qu'en dernier choix, c'est la finance qui reste la priorité pour nos libéraux. Si on en doutait encore, la preuve en est faite.



     

    Communiqué commun
    L’Association européenne pour la défense des droits de l’Homme (AEDH), la Ligue hellénique des droits de l’Homme (HLHR), la Ligue française des droits de l’Homme (LDH) considèrent que les plans d’austérités imposés à la Grèce conduisent à une situation sociale dramatique et suicidaire


    Plus de réformes, plus d’économie, plus de rigueur. Surtout plus de rigueur. Ainsi peut-on résumer le message envoyé à la Grèce par l’Union européenne, la Banque centrale et le FMI. Pour se voir octroyer une aide de 130 milliards d’euros, le gouvernement grec est sommé, brutalement, de mettre de l’ordre chez lui, à trois niveaux. D’abord, en faisant en sorte que le parlement grec approuve sans discussion un nouveau plan de rigueur ; ensuite, en dégageant les voies et moyens d’une économie supplémentaire de 325 millions d’euros, soit un sérieux tour de vis supplémentaire pour l’économie grecque, déjà lourdement pressurée ; enfin, en obtenant des partis au pouvoir l’engagement formel de mettre en œuvre les réformes prévues, quels que soient les résultats des élections législatives à venir.

    Cette course folle vers un « toujours plus » d’austérité ne peut qu’exacerber une dynamique de 11-09-09-austerite_72rvb.jpg?w=450récession économique et sociale, dans un contexte déjà fortement dégradé au plan des conditions de vie des grecs.

    Aucun hasard, donc à ce que cette politique chemine de concert avec une obligation « d’abstinence critique » et s’accompagne du vœu de remplacer « le gouvernement des hommes par l’administration des choses ». Avec ces nouvelles conditionnalités, c’est l’avenir d’un peuple et d’une nation qu’on condamne au sous développement. Au-delà, c’est l’Union européenne qu’on fragilise gravement, c’est la démocratie européenne qui est mise en cause.

    Pour l’AEDH, la HLHR et la LDH, les solutions à la crise systémique qui frappe entre autres la zone euro ne sauraient se réduire à une cure d’austérité faisant fi des droits économiques et sociaux, des libertés démocratiques, entre autres le droit des peuples à élire leurs représentants et à déterminer librement leurs orientations politiques. De ce point de vue, le sommet de Bruxelles, qui fait de la croissance et des solidarités des non sujets, n’est pas que décevant mais profondément inquiétant. Loin de constituer un encouragement, le signe positif d’une Europe attentive à l’urgence sociale et aux conditions d’un développement solidaire et durable, il risque de creuser davantage l’écart qui va croissant entre les peuples et l’idée même de construction européenne.

    Nous appelons à un sursaut des institutions européennes face à ces politiques qui ne conduisent qu’à une impasse sociale et économique, qui remettent en cause les droits sociaux légitimes de la population grecque, et au-delà de l’ensemble des résidents de l’Union européenne qui sont ou seront touchés par ces politiques d’austérité suicidaires.

  • Grèce : il y a urgence

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    Dessin du Canard Enchaîné

  • Plan d'austérité en Grèce et en France

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    Dessin du Canard Enchaïné

  • Grèce : un nouveau plan qui ne résoud pas le problème

    Les Européens viennent de conclure un second plan de sauvetage de la Grèce.

     

    Plus de 100 milliard de d'euros sont prévus pour empêcher l'effondrement du pays et de la zone euro.

    Mais la réaction des agences de notation est négative. Ces "juges de paix" du système libéral baisse àisi6ycss.gif nouveau la note de la Grèce qui se trouve à deux pas du zéro pointé. Par ce geste, les agences veulent signifier que des pertes sont à prévoir pour les détenteurs de la dette grecque, et que la situation de fond n'est pas résolue. Le site "moneyweek.fr" écrit :

    Trop d’incertitudes pèsent donc encore sur les modalités du plan et la participation du secteur privé.

    Au delà de l’aspect technique, le deuxième plan d’aide ne résout en rien le problème de solvabilité de la Grèce. Son niveau de dette n’est plus supportable pour son économie. Comme l’explique L’Agefi Hebdo de la semaine dernière, même en réduisant le déficit budgétaire à 2,6% en 2014 (objectif ambitieux) et en renouant avec la croissance, la dette publique ne fera que se stabiliser autour de 160% du PIB.

    A ce rythme, Athènes ne retrouvera son ratio d’endettement d’avant-crise qu’à partir de 2030. En outre, la charge de la dette va exploser pour représenter rapidement 20% des recettes fiscales du pays, ce qui n’est pas tenable.

    (...)Ce ne sera donc pas suffisant. Il est très probable que la dette grecque soit encore au-dessus de 100% de PIB pendant encore plusieurs décennies.

    Solidaires jusqu’à quand ?
    Enfin, pendant combien de temps la solidarité entre Etats membres de la Zone euro tiendra-t-elle ? Pour la France, le nouveau plan d’aide va se traduire par une hausse de 15 milliards d’euros de la dette française d’ici à 2014. Cela risque de compromettre l’objectif de faire reculer le taux d’endettement du pays à partir de 2013. Nous serons alors juste après une élection présidentielle…

     

    En France, Nicolas Sarkozy veut profiter de la signature du plan pour appeler à l'Union Sacrée. Comme il y a union de tous les pays pour aider la Grèce, il devrait y avoir union des parlementaires pour aider la France à s'en sortir.

    La ficelle est un peu grosse à moins d'un an des élections présidentielles. Il n'existe pas qu'une seule façon d'analyser la crise, et de trouver les moyens de la surmonter. Sarkozy protège toujours ses électeurs potentiels, il vient de rassurer les restaurateurs sur le maintien de la TVA à 5,5%. Il déclare:

    Le président appelle les parlementaires à "se rassembler" au-delà "des intérêts partisans". "En France, dans les mois qui viennent, nous avons besoin aussi de nous rassembler sur ces questions essentielles, au-delà des intérêts partisans", poursuit le président Sarkozy.

    "La représentation nationale que vous incarnez jouera, j'en suis sûr, un rôle majeur pour assurer le sens de notre responsabilité commune face à l'Histoire", ajoute-t-il alors que la question d'une convocation du Congrès pour inscrire dans la Constitution des règles de retour à l'équilibre budgétaire devrait être débattue à la rentrée."

     

    sarkozygrossetetems8.jpgCe sont des propos qui visent à gêner le PS et qui tentent de lui donner une stature de grand de ce monde. Cette image qu'il veut donner vient un peu tard, après ces années de décisions où les choix ont toujours pencher vers la préservation des avantages des plus riches.

    Il ne fait pas de doute que Nicolas Sarkozy continuera à essayer d'utiliser les crises ( euros, Afghanistan,..)pour promouvoir l'Union Nationale, c'est à dire tous derrière le Président. Cela peut fonctionner à la marge pour un certain nombre d'électeurs, mais d'ici qu'il arrive à convaincre une majorité, il y a encore loin : tous ceux qui vivent les conséquences de ses choix politiques n'oublient pas ce qu'il a fait.

  • Les pyromanes saluent le plan anti-incendie de la zone euro

    Un communiqué de ATTAC sur le plan de sauvetage de la Grèce

     

     

    Réuni le 21 juillet à Bruxelles, le sommet de la zone euro a élaboré un nouveau et nième “plan de sauvetage” de la Grèce. Outre le déblocage à court terme de nouveaux prêts pour la Grèce, ce plan comporte une nouveauté principale: le Fonds européen de stabilité financière pourra être autorisé à acheter les obligations grecques, irlandaises et portugaises sur le marché secondaire. En clair, les États et donc les contribuables européens vont pouvoir débarrasser les banques et les fonds d'investissement de ces titres, considérés comme « pourris » puisque les pays débiteurs sont en voie de faire défaut sur leur dette.

    La Banque centrale européenne, jusqu'à présent seule à pouvoir décharger les banques de ces 51094602_pjp3425-8fcf9.jpgcréances douteuses, exigeait que l'Union européenne prenne le relais: elle a eu satisfaction. C'est donc une nouvelle étape de la socialisation des pertes, que les banques européennes auraient théoriquement dû prendre en charge pour avoir prêté de façon inconsidérée à des pays surendettés. Une socialisation par anticipation, à la différence de celle de 2008-2009 : brillante manière de tirer les leçons de la crise financière, puisqu'aujourd'hui les États déchargent les banques de leurs pertes avant même qu'elles ne soient réalisées !

    Certes, l'accord européen prévoit une « participation volontaire » des banques privées sous la forme d'un renouvellement des prêts, d'un rééchelonnement (allongement de la durée du prêt) ou d'un rachat. Mais les spéculateurs ne s'y sont pas trompés : ce défaut sélectif et volontaire ne coûtera pas cher aux banques, dont les actions ont spectaculairement grimpé jeudi à Paris, Londres, Milan, Francfort... Les pyromanes saluent ainsi le plan anti-incendie de la zone euro.

    Enfin l'accord organise un certain allègement du fardeau de la dette des pays attaqués par les marchés, avec un allongement des durées de prêt (à 15 ans minimum) et une diminution d'un point (de 4,5% à 3,5%) du taux d'intérêt consenti par le Fonds de stabilité financière à l'Irlande, au Portugal et à la Grèce. Il s'agit d'un « défaut sélectif » qui ne coûtera qu'aux contribuables européens. Les dirigeants européens prennent ainsi acte de l'échec de la ligne dure qui consistait à punir les pays en difficulté par des conditions de crédit draconiennes. La Grèce en particulier s'enfonçait manifestement dans une crise sans issue, et il fallait adoucir un peu ce traitement de choc.

    Cependant les chefs d'État et de gouvernement européens réitèrent leur engagement à une austérité sans faille: ils appellent à l'adoption rapide par le Parlement européen du « Pacte pour l'euro - plus »et exigent explicitement « le retour des déficits publics au dessous de 3% du PIB dès 2013 ». Ceci implique un tour de vis draconien sur les finances publiques partout en Europe et notamment en France, où le déficit dépasse encore les 6%.

    6a00d83451b18369e20134800cf05c970c-450wiLe sommet de la zone euro a donc confirmé le choix politique des dirigeants européens: faire payer aux contribuables et aux peuples européens le coût de la crise via le Fonds européen de stabilité financière (FESF) et les plans d'hyper-austérité. Nous exigeons au contraire que soit mis un terme au diktat des banques et des marchés financiers. Une véritable solution à la crise de l'euro passe par l'arrêt des plans d'austérité et l'annulation partielle des dettes, des réformes fiscales revenant sur les cadeaux faits depuis vingt ans aux entreprises et aux riches, la possibilité donnée à la Banque centrale européenne de prêter directement aux États-membres, la régulation stricte et la mise à contribution des marchés financiers.

    Attac France propose à toutes les forces sociales de s’inspirer des initiatives des « indignés » pour mettre la démocratie à l'ordre du jour. Nous voulons décider tous ensemble de Europe de nos vies. Attac propose ainsi la mise en place d'un Comité pour l'audit citoyen de la dette publique pour mettre en débat l'origine de la dette publique, travailler à des alternatives aux plans d'austérité, évaluer qui doit payer pour cette dette et à quelle hauteur celle-ci est réellement légitime. Nous refusons la socialisation des pertes des banques et des fonds d'investissement : c'est à leurs actionnaires de supporter tout le coût des nécessaires restructurations et dénonciations des dettes publiques en Europe.

  • Austerité

    Le gouvernement prépare un plan d'austérité pour les 3 ans à venir.

    François Fillon annonce un gel des dépenses de l'Etat, c'est à dire une diminution des dépenses compte tenu de l'inflation.

    "Le Parisien" écrit :

    Le gel strict signifie donc que désormais le "pouvoir d'achat" réel de l'Etat sera réduit en proportion de l'inflation chaque année. Selon le calcul de l'AFP, si l'inflation est en 2011 identique à 2010 - soit 1,2% en prévision-, l'économie serait de 2,5 milliards d'euros.
    Pour y parvenir, le non remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite sera poursuivi et les dépenses de fonctionnement de l'Etat amputées de 10% en trois ans avec une baisse de 5% dès 2011.
    Les opérateurs de l'Etat - à l'instar de Météo France - devront aussi respecter cet "effort de productivité".
    Les dépenses d'intervention qui désignent notamment des aides à l'emploi (contrats aidés...) et des aides sociales (aide au logement, allocation adulte handicapé...) seront également remises à plat.

    Il s'agit bien d'un plan de rigueur, même si le mot est tabou, et tous les Français, y compris ceux qui ont déjà de grosses difficultés pour vivre au quotidien, vont souffrir.

     

    Benoit Hamon, porte-parole du PS, condamne ce coup de bambou :

    FillonRigueur.gifLe porte-parole du , Benoît Hamon, a réagi jeudi à l'annonce du gel des dépenses publiques pour les trois prochaines années en estimant que c'est un "vrai coup de bambou" qui tombe sur les Français", un "plan de rigueur sans précédent qui va durer plusieurs années".
    "C'est un vrai coup de bambou qui tombe sur les Français et qui, hélas, était prévisible", a affirmé à l'AFP M. Hamon.

    Cela "confirme", selon lui, "la duplicité du qui a tout fait pour expliquer que ce plan de rigueur n'en était pas un. C'est un plan de rigueur, un plan d'austérité, d'une sévérité sans précédent, qui va durer plusieurs années".

    "La situation des Français sur le plan de l', des salaires, du pouvoir d'achat va se dégrader considérablement", prévoit-il.
    Le porte-parole rappelle que pendant la campagne des régionales le PS "avait annoncé un coup de bambou après les élections", et "on avait eu droit à des déclarations outrées" notamment du Premier ministre François Fillon "sur le registre +les socialistes dramatisent délibérément la situation, et aucun coup de bambou n'est prévu+".
    Selon M. Hamon, "on a la démonstration - s'il en fallait une - de la duplicité totale du gouvernement qui prépare ce plan de rigueur depuis plusieurs mois".
    Ce gel des dépenses publiques "ça veut dire moins d'argent pour l'école, pour la sécurité, la solidarité, l'emploi", a déploré de son côté l'ancien ministre PS de l'Economie Michel Sapin, dans un message audio posté sur le site du parti.


     

    Dans le même temps, le parlement français vote le plan d'aide à la Grèce qui comporte en contrepartie un sérieux coup de bambou pour la population du pays.

    Et là, les députés PS votent ce plan avec les députés UMP.

    _100505-grece.jpgFrançois Hollande déclare :

    "Je ne soutiens pas le gouvernement, je soutiens la Grèce et je soutiens l'euro. Nous ne sommes pas là dans un débat droite-gauche, nous sommes là dans un débat européen et un débat de principe".

    Ce qui lui vaut les compliments du porte-parole de l'UMP :

    « Je tiens à rendre hommage à François Hollande, je sais que ça n’a pas été facile dans sa famille politique, mais il a su adopter une positon courageuse », a lancé Frédéric Lefebvre devant la caméra de Public Sénat.


    On peut supposer que les salariés, retraités et consommateurs grecs seront heureux d'apprendre la différence entre un plan d'austérité et un soutien de principe à leur pays et à l'euro. Il n'est pas certain qu'ils comprennent bien la nuance, ni que le PS puisse expliquer facilement son grand écart entre Paris et Athènes.

  • Grèce : faire payer les pauvres

    La Grèce se trouve dans une situation de quasi faillite, tant à cause d'une gestion imprudente de la crise que par les taux élevés qui lui sont imposés par les marchés financiers.


    Un accord vient d'être trouvé avec les pays de la zone euro et le FMI, qui apporte au pays l'argent dont il a besoin.Fonds_mon%C3%A9taire_international_logo.png

    En contre partie, les Grecs se voient imposer des mesures d'économies. Ce plan très sévère s'attaque principalement aux couches moyennes et défavorisées : ce sont  les plus pauvres qui vont devoir payer la crise et les erreurs des dirigeants

    Voici les principales mesures selon le site nouvelobs.com:

     

    Réduction des dépenses

    1) Suppression des 13e et 14e mois de salaire des fonctionnaires, compensée par une prime annuelle de 1.000 euros pour les salaires de moins de 3.000 euros brut (1,5 milliard d'économies)

    2) Suppression des 13e et 14e mois de pension pour les retraités du public et du privé, compensée par une prime annuelle de 800 euros pour les retraites de moins de 2.500 euros (2 milliards d'économies)

    3) Baisse des investissements publics (1,5 milliard)

    4) Réduction des dépenses de fonctionnement de l'Etat (1 milliard)

    Hausse des recettes

    Voici les principales mesures pour augmenter les recettes de 7,8 milliards sur deux ans.

    1) Nouvelle hausse de deux points du principal taux de TVA, de 21% à 23% (pour les autres, de 5% à 5,5% et de 10% à 11%), ce qui doit rapporter 1,8 milliard d'euros

    2) Création d'un impôt sur les constructions illégales (1,3 milliard)

    3) Nouvelle hausse des taxes spéciales sur la consommation, alcool, tabac, carburants (1,5 milliard)

    4) Instauration d'une série de nouveaux impôts, notamment des taxes "vertes", sur les jeux d'argent et les bénéfices des entreprises

    Réforme des retraites

    1) Recul de cinq ans, à 65 ans, de l'âge légal de départ en retraite pour les femmes, d'ici 2013

    2) Allongement de la durée de cotisations à 40 annuités contre 37 d'ici 2015

    3) Instauration d'un âge minimum de départ à la retraite, à 60 ans

    Le plan prévoit également des mesures pour renforcer la flexibilité du marché du travail, faciliter les licenciements et ouvrir à la concurrence une série de professions protégées.

     

    manifestation-grece1.jpgIl est clair que les dirigeants de l'Europe (Sarkozy et Merkel en tête) et ceux du FMI (Strauss-Kahn) ont profité de la situation pour faire passer des mesures ultra libérales, dont l'impact sur la réduction de la dette n'est pas évident.

    Par contre, il saute aux yeux que des mesures comme le recul de l'âge de la retraite, l'augmentation de la TVA  visent la population dans son ensemble, avec la certitude que les plus défavorisés ressentiront le plus les conséquences.

    Ce plan donne une idée de ce qui nous sera imposé quand il faudra réduire la dette colossale de la France (il fallait bien sauver les banques !)