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  • Salon "Le biogaz au coeur de nos fermes" édition 2013, 26 et 27 avril

    L’ALE 08 et la Chambre d’Agriculture des Ardennes organisent la 3 ème édition du salon "Le biogaz au coeur de nos fermes", qui aura lieu les 26 et 27 avril prochains au GAEC Forget à Vivier-au-Court (08).

    Ce salon, récompensé par le prix spécial SNCF du concours régional "Gauby-Lagauche" pour son édition 2010, se veut être celui des porteurs de projets. L’édition 2013 est un évènement labellisé "transition énergétique".

    arton383-ef13c.jpgAprès les éditions de 2007 au GAEC du Château et 2010 au GAEC Oudet, l’ALE08 et la Chambre d’Agriculture des Ardennes organisent l’édition 2013 du salon "Le biogaz au coeur de nos fermes" les 26 et 27 avril 2013, sur l’exploitation agricole du GAEC Forget à Vivier-au-Court (08). En joignant leurs compétences respectives et leurs réseaux de diffusion dans le monde agricole et celui des EnR, les deux structures souhaitent un évènement de portée nationale, rassemblant les porteurs de projets et les professionnels de la filière.

    Au programme :

    Une quinzaine de conférences laissant une large place à des agriculteurs disposant d’un bon retour d’expérience ;

    Des exposants, professionnels de la filière, réunis pour proposer leurs compétences aux porteurs de projets ;

    Des visites d’installations de méthanisation dont certaines ont bénéficié d’extension de puissance.

  • Rapport 2012 : l'ASN souffle le Chooz et le froid

    L'Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) a publié hier son rapport annuel sur les risques liés au nucléaire civil et sur les mesures prises pour les limiter.

    Après avoir lu attentivement les 542 pages du rapport, nous pouvons vous en donner un apperçu significatif. Il concerne notre centrale ardennaise, celle qui se situe au milieu d'un parc naturel.

    L'ASN se dit globalement satisfaite du fonctionnement des centrales de notre pays. Il faut relativiser ASN-Logo_0.jpgson jugement puisqu'elle disait la même chose avant l'accident de Fukushima. Puis après celui-ci elle a exigé des mesures importantes et très coûteuses pour renforcer la sécurité des centrales françaises. On ne craint pourtant pas un tsunami chez nous, mais des faiblesses majeures ont été mises en évidence. En particulier la gestion d'une crise grave nécessite des équipements spécifiques et sécurisés et ces équipements n'existaient pas.

    Reste qu'un accident est par définition imprévu, et que les 542 pages du rapport analysent le passé et le présent mais sont bien incapable d'écrire un scénario qui se déroulerait dans un avenir plus ou moins proche. Un accident grave est en général la rencontre de trois éléments : une installation ou un site dangereux, une gestion humaine qui reste toujours faillible et  un événement imprévu ou mal anticipé.

    main.php?g2_view=core.DownloadItem&g2_itemId=237&g2_serialNumber=2Pour Chooz nous avons déjà l'installation, la gestion humaine et ses incertitudes il ne reste plus qu'à espérer qu'un événement exceptionnel n'arrive pas à un mauvais moment.

    En ce qui concerne cette gestion humaine, l'ASN est sévère avec le site de Chooz. Voici le paragraphe consacré à la centrale :

    Centrale nucléaire de Chooz

    L’ASN considère que les performances du site de Chooz concernant la sûreté nucléaire, la radioprotection, la maintenance et l’environnement rejoignent globalement l’appréciation générale des performances que l’ASN porte sur EDF.

    L’ASN considère cependant que le site de Chooz a régressé en matière de rigueur d’exploitation et note une recrudescence d’erreurs de lignages des installations et de planification des essais périodiques. L’exploitant de Chooz B devra porter une attention particulière à ces deux points en 2013. L’ASN note néanmoins que le site n’a pas connu d’arrêt automatique de réacteur en 2012 et n’a rencontré qu’une seule sortie de domaine de fonctionnement autorisé.

    L’ASN considère également que la maîtrise des activités de maintenance n’a pas suffisamment progressé, notamment dans la préparation des activités et la qualité des analyses de risques. L’arrêt du réacteur 2 pour visite partielle a été marqué par une prolongation notable compte tenu des dégradations constatées sur la visserie interne des groupes motopompes primaires.

    L’ASN a constaté quelques progrès concernant la disponibilité des dispositifs de surveillance de l’environnement et une meilleure gestion de la station de traitement à la monochloramine des effluents de refroidissement ; ces progrès sont néanmoins masqués par le rejet incontrôlé d’acide sulfurique en Meuse, lié à une maintenance insuffisante de certains matériels et d’équipements contribuant à la protection de l’environnement.

    Ces réserves son faites par une agence d'Etat dont le moins que l'on puisse dire est qu'elle n'est pas classée dans les opposants au nucléaire. On se demande ce qu'aurait pu trouver une inspection indépendante des pouvoirs publics.

  • Les méga-camions en embuscade à Bruxelles

    Après la campagne de FNE contre les méga-camions, le dossier semblait oublié. A l'occasion de la révision d'une Directive Européenne (96/53), les méga-camions s'invitent à nouveau et essaient de franchir les frontières entre les Etats membres. Explications.

    Bruxelles cède sous le poids des lobbies routiers

    Michel Dubromel, responsable Transports et Mobilité Durables confirme : "L'Union européenne doit réviser la réglementation en autorisant une longueur supplémentaire de 80 cm pour la cabine de façon à améliorer la sécurité mais la capacité de chargement doit rester identique".
    Une partie de la révision de la directive 96/53 envisage une cabine de camion avec une forme plus aérodynamique. FNE soutient  cette propositon : elle se traduirait par une économie de 3 à 5 % de gazole sur les longues distances, une diminution de l'impact lors des chocs frontaux, une amélioration générale de la sécurité.

    Cependant, la face cachée du projet de révision permettrait la circulation de poids lourds jusqu'à 60visuel-mega-camions-2009.jpg tonnes en itinéraires transfrontaliers ou en itinéraires internationaux, ce qui ne manquera pas d'encourager les Etats à "légaliser " ces méga-camions pour les transports intérieurs. Aujourd'hui, comme hier, nous n'accepterons pas la généralisation des méga-camions aussi bien au niveau européen qu'au niveau français. Au niveau national, notre gouvernement a d'ailleurs été un très mauvais élève en généralisant la circulation des camions de 44 tonnes sur notre territoire.

    Ils détruisent les autres modes de transport

    Ces méga-camions à 60 tonnes consommeraient jusqu'à 20% de fioul en moins. Ce qui semble être une performance environnementale se traduit par un avantage économique supplémentaire : une diminution des coûts de l'ordre de 15 à 20%.

    Moins de carburants et des coûts encore plus compétitifs

    Toutes les études confirment que l'introduction des méga-camions et l'augmentation de la charge des camions conduit à un report modal et à une plus forte demande en transports routiers. Le report serait encore plus important depuis le ferroviaire et le fluvial vers le transport routier. Les impacts environnementaux du transport augmenteraient et chaque citoyen aurait l'obligation de payer ces coûts supplémentaires alors que le transport routier n'acquitte déjà pas son coût sociétal.

    Mobilité et transition énergétique

    En cette période de "Débat National sur la Transition Energétique", le secteur des transports est dans le viseur, au même titre que celui du bâtiment. Alors que de nombreuses solutions pour des mobilités alternatives ou des transports plus doux sont proposées, il serait absurde de promouvoir un nouveau développement du mode le plus polluant.

    Bruno Genty, président de FNE : "Alors que des choix importants doivent être faits pour transporter autrement, la France doit s'opposer fermement à toute mesure permettant un développement incontrôlé du transport routier de marchandises dont notre pays, vue sa situation géographique, serait une des principales victimes. Avec ce dossier, la ministre de l'Ecologie et le ministre délégué aux Transports ont l'occasion de mettre en pratique les déclarations faites à l'occasion du dernier congrès de FNE, consacré à la mobilité."

  • Fessenheim : 30 millions de travaux pour 3 ans d'exploitation

    La centrale de Fessenheim est la plus ancienne installation encore en exploitation par EDF.

    L'Agence de Sûreté Nucléaire (ASN) s'est rendue compte en 2011, 34 ans après sa mise en service, que la centrale fonctionnait sans protection valable du sous-sol  en cas d'accident. Si le coeur de la 110819855.jpgcentrale venait à fondre, le corium se répendrait rapidement en profondeur et pourrait polluer les nappes phréatiques. L'Agence de Sûreté Nucléaire a donc exigé la construction d'un radier sous la centrale pour retarder ce phénomène.

    Or, François Hollande a déclaré que la centrale de Fessenheim serait fermée en 2016: " "La centrale de Fessenheim, qui est la plus ancienne de notre parc, sera fermée à la fin de l'année 2016 dans des conditions qui garantiront la sécurité des approvisionnements de cette région, la reconversion du site et la préservation de tous les emplois" Il avait ajouté :"Nous devons même faire un exemple de démantèlement réussi, de façon à ce que les centrales qui viendront à expiration dans de nombreux pays du monde et qui appelleront des technologies maîtrisées puissent être là encore une opportunité pour l'industrie nucléaire française".

    Un tel investissement pour si peu de temps de fonctionnement est totalement illogique. Qui cherche à berner qui ?

    EDF espère probablement que cette mise en conformité par rapport à ce que l'ASN demande lui donnera un délai supplémentaire d'autorisation de fonctionnement.

    La  justice, qui a été saisie par le réseau "sortir du nucléaire", a autorisé les travaux dans un jugement qui évite de considérer la situation réelle en se limitant strictement à l'aspect réglementaire. Elle n'a pas demandé d'enquête publique pour modification substantielle d'une installation classée.

    Le gouvernement est d'une discrétion qui frise l'indifférence (il est vrai qu'il a d'autres choses en tête...), comme si la promesse d'une fermeture à court terme n'était pas synonyme de l'arrêt des gros investissements.

    Voici comment EDF présente ces travaux :


    L’unité de production n°1 de la centrale nucléaire de Fessenheim a été mise à l’arrêt dans la nuit du 12 au 13 avril 2013 pour plusieurs semaines. Les activités programmées s’inscrivent dans le cadre de la prise en compte des prescriptions techniques complémentaires demandées par l’Autorité de Sûreté Nucléaire* à la suite de la 3ème visite décennale de l’unité de production n°1. Il s’agit notamment d’activités de maintenance et de contrôle des matériels, ainsi que les travaux de renforcement du radier du réacteur n°1.  A l’occasion de cet arrêt, 1/3 du combustible est également remplacé comme c’est le cas tous les 14 mois pour les 2 réacteurs de la centrale de Fessenheim.
     
    * A l’issue de la 3ème visite décennale de l'unité de production n°1 qui s'est déroulée d'octobre 2009 à mars 2010, l’Autorité de Sûreté Nucléaire a rendu un avis le 4 juillet 2011, autorisant EDF à exploiter le réacteur n°1 pour dix nouvelles années. Cet avis est assorti de prescriptions techniques complémentaires à mener selon un calendrier défini, parmi lesquels, les travaux de renforcement du radier.
  • Notre-Dame-des-Landes : un projet obsolète devenu très fragile

    Communiqué de la FNE

    Les trois instances mises en place par le Premier Ministre fin novembre 2012 autour du projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes viennent de rendre leurs travaux. Les associations de protection de l'environnement avaient été auditionnées par chacune d’entre elles. Elles soulignent que les arguments qu'elles ont développés à l'encontre du projet le fragilisent, même si elles n’ont pas été entendues par toutes les instances de la même façon. Le gouvernement doit avoir le courage d’arrêter le projet pour donner un signe fort à sa politique de transition écologique.

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    De lourdes lacunes environnementales ignorées par la commission du dialogue…
    Les associations de protection de l'environnement ont rencontré la commission du dialogue, la mission agricole spécialisée et le collège d’experts scientifiques. Peu sensible aux nombreux arguments environnementaux présentés, la commission du dialogue estime que le projet pourrait être poursuivi, sous réserve d’élargir les questionnements à l'opportunité d'un nouvel aéroport, à comparer à l'aménagement de l'actuel, à l'élargissement du périmètre étudié aux aménagements et aux liaisons induites. Pour nos associations le dossier de Déclaration d’Utilité Publique est à recommencer purement et simplement.

    … mais perçues par le collège d’experts et appuyées par la mission agricole
    Le collège d’experts fait apparaître dans son rapport que les dossiers du projet d'AGO et de l’État Notre-Dame-des-Landes-NON-c-ACIPA.jpgcomportent de graves lacunes dans l'analyse de l'état initial. De plus, la méthode de compensation de ce projet est en non adéquation avec la disposition 8B-2 du SDAGE du bassin Loire-Bretagne, donc avec la Directive Cadre sur l’Eau et repose sur un choix et un calcul des coefficients de compensation non suffisamment justifiés. Le collège d’experts souligne l’incertitude sur les possibilités d’évaluer la mise en œuvre effective des mesures de compensation proposées.
    Toutes ces remarques ont été les nôtres depuis le début et nos associations constatent les points de convergences avec celles des experts. Cela ne peut désormais conduire qu'à recommencer les dossiers pour les enquêtes publiques "loi sur l’eau" et les dossiers de demande de dérogations au titre de la biodiversité et des espèces protégées. De nouvelles études qui devront prendre en compte les remarques des experts : cela va être dur !

    La mission agricole, quant à elle, souligne qu'il n'est pas facile de mettre en œuvre des compensations qui peuvent être ressenties pénalisantes par le milieu agricole : pour nos associations, cela veut clairement que ce projet ne pourra pas mettre en œuvre les mesures compensatoires adéquates en s'appuyant sur le monde agricole et qu'elles ne pourront donc pas exister.

    Un projet contre l’environnement et qui bafoue le droit
    La réalisation de ce projet constituerait un précédent catastrophique pour le droit de l’environnement. C'est la raison pour laquelle la Commission européenne et le Parlement européen enquêtent actuellement sur le respect des engagements communautaires par la France.
    Indépendamment des résultats de ces enquêtes, les porteurs de projet se heurteront également au contrôle des juridictions nationales, qui seront amenées à juger de la légalité des nombreuses autorisations à venir dans le domaine de l’environnement.

    Il est encore temps d'arrêter le projet
    Pour les associations de protection de l'environnement les remarques qu'elles ont émises jusqu’ici, et qui sont convergentes avec les 12 réserves du collège d'experts, sont insurmontables et seule une remise en cause globale du projet permettrait de les respecter. Les associations espèrent que le gouvernement saura entendre raison et renoncer à ce projet destructeur pour l’environnement, afin de ne pas porter d’atteintes irrémédiables aux milieux naturels et aux espaces agricoles. Cette annonce serait un signe politique fort en cette période de débat et de futures lois sur la transition énergétique et la prise en compte de la biodiversité

    1(FNE, FNE Pays de la Loire, Bretagne Vivante et la Ligue de Protection des Oiseaux)

  • Un député du Parti Socialiste à Vouziers

    Rassurons d'emblée les partisans de Jean-Luc Warsmann, celui-ci est toujours l'élu de la troisième circonscription des Ardennes. Ce qui n'interdit pas à Christophe Léonard, député de la deuxième circonscription, de venir à Vouziers pour rencontrer les militants locaux et tenir une réunion publique.

    Les deux élus, comme tous les députés, représentent la Nation toute entière et leur mandat ne se limite pas à la circonscription qui les a portés à l'Assemblée.

    Après avoir échangé avec les militants de la section de Vouziers, c'est au CPR que Christophe Léonard tenait sa réunion publique. Une trentaine de personnes étaient présentes dans la salle, ce qui peut paraître comme une participation modeste. Il est vrai que si l'actualité est particulièrement riche (enfin ... disons particulièrement dense), il n'y a pas d'échéance électorale à court terme.

    Christophe Léonard a été élu en juin 2012 et exerce donc son premier mandat depuis moins d'un an.

    Il a débuté son propos par une explication de son rôle au parlement. Il n'est pas évident pour unvouziers,ps,député,léonard,christophe léonard nouvel arrivant de faire sa place au sein de l'Assemblée comme à l'intérieur de son groupe parlementaire. Christophe Léonard appartient naturellement au groupe SRC (Socialiste, Républicain et Citoyen pour ceux qui l'aurait oublié), mais il tient à garder son indépendance de jugement. Ainsi il a voté contre deux textes importants : le traité européen et l'accord national interprofessionnel devenu projet de loi relatif à la sécurisation de l’emploi. Ces deux manifestations de liberté n'ont pas forcement été appréciées par le président du groupe, Bruno Le Roux.

    Christophe Léonard a affirmé qu'il était de sa responsabilité de se battre pour ses idées et de défendre ses convictions.

    Après ces propos liminaires, un échange a eu lieu avec les personnes présentes dans la salle.

    La politique de rigueur et l'accord national interprofessionnel ont suscité des échanges qui laissaient parfois paraître des désaccords internes au PS.

    Sur une question portant sur les valeurs de la Gauche, Christophe Léonard a répondu qu'il défendait le non cumul des mandats, qu'il ferait la transparence sur  l'utilisation  des fonds liés à  sa réserve parlementaire et sur ceux de l'indemnité de frais de mandat ( l’IRFM s’élève à 6412 euros par mois et a pour vocation de permettre aux députés « de faire face aux diverses dépenses liées à l’exercice de leur mandat qui ne sont pas directement prises en charge ou remboursées par l’Assemblée ». Elle est distincte de l’indemnité parlementaire qui est de 7100,15 euros brut par mois et de l’enveloppe dédiée à la rémunération des collaborateurs qui se monte à 9138 euros par mois).

    Les problèmes locaux ont été à peine évoqués, mais ce n'était pas l'objet de la réunion. Le problème de l'organisation de la semaine scolaire a cependant été débattu.

    Si cette réunion a permis à quelques uns de découvrir le nouveau député des Ardennes, elle laisse cependant un goût d'inachevé.  A aucun moment une perspective  d'avenir n'a été clairement présentée, pas plus qu'une proposition de mobilisation forte.

    Cela tient probablement à un positionnement mal défini de cette réunion :

    Bilan de l'élu ? Au bout de 10 mois c'est un peu  tôt et assez difficile.

    Remobilisation des militants ? Fallait alors tenir une réunion publique ?

    Soutien à une campagne nationale ? Le PS est plutôt contraint à "faire le gros dos" dans le contexte actuel.

    Pour juger pleinement de l'efficacité de Christophe Léonard en tant que député et de sa capacité à mobiliser localement, il faudra probablement une autre visite vouzinoise pour l'élu de la Pointe.

     

  • Le nouveau bulletin municipal de Vouziers est paru

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    Il sera dans les boites aux lettres des Vouzinois dans les prochains jours. Si vous ne le recevez pas, vous pouvez le demander à la Mairie de Vouziers.