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  • Insectes et arachnides (4)

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  • Insectes et arachnides (3)

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  • Insectes et arachnides (2)

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  • Insectes et arachnides (1)

    Moins connu que le monde des oiseaux ou des mammifères, les insectes et araignées sont cependant un chaînon important de la biodiversité. Pour cette fin d'été, en voici quelques uns à découvrir et à (re)connaître.

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  • Qui sont les faucons de Moscou ?

    Extraits de l'article du Monde diplomatique

    (...)

    Les nationaux-patriotes partagent une aspiration commune : la reconstitution d’un État fort qui ferait la synthèse des périodes de l’histoire russe en alliant les valeurs traditionnelles et spirituelles de l’empire tsariste avec la puissance militaire et technologique de l’Union soviétique (3). Bien que ce groupe demeure dans l’opposition, une partie de ses idées est récupérée par le pouvoir lors du déclenchement de la guerre de Tchétchénie, en 1994. Le régime cherche alors à construire un nouveau patriotisme d’État autour de la lutte contre le séparatisme. En 1996, Eltsine crée une commission gouvernementale pour définir l’« idée nationale » de la Russie postsoviétique.

    À la fin du siècle, plusieurs événements majeurs provoquent le rejet du libéralisme et de l’Occident ainsi que la montée du patriotisme au sein de l’opinion russe : la crise financière de 1998 et la dévaluation brutale du rouble, l’élargissement de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN) à la Hongrie, à la Pologne et à la République tchèque, les bombardements de la Serbie par l’OTAN en 1999 sans mandat de l’Organisation des Nations unies (ONU) et la seconde guerre de Tchétchénie. Ce contexte favorise l’émergence d’une nouvelle génération d’intellectuels, les Jeunes Conservateurs. Nés dans les années 1970, ces nouveaux faucons russes n’éprouvent guère la nostalgie de l’Union soviétique qui caractérise leurs aînés nationaux-patriotes. Mais ces spécialistes de philosophie religieuse, du conservatisme politique et du nationalisme, formés à l’université d’État de Moscou (MGU), prolongent leur critique de la mondialisation et leur volonté de promouvoir la souveraineté de l’État russe avec son statut de grande puissance.

    En politique, l’arrivée de M. Vladimir Poutine à la présidence en 2000 entérine un tournant conservateur. Ce dernier entend renforcer la centralisation de l’État et restaurer la « verticale du pouvoir ». À partir de 2004, le Kremlin contre-attaque sur le plan idéologique face aux « révolutions colorées » pro-occidentales dans l’espace postsoviétique. M. Vladislav Sourkov, le chef adjoint de l’administration présidentielle et l’idéologue en chef du parti au pouvoir, Russie unie, théorise, en 2006, le concept de « démocratie souveraine » pour justifier le caractère autoritaire de l’État. Douguine et Prokhanov sont conviés par le parti à donner des conférences aux mouvements de jeunesse progouvernementaux Nachi (« Les nôtres ») et Molodaïa Gvardia (« La jeune garde »). Leurs carrières décollent. Douguine est nommé professeur de philosophie à l’université de Moscou en 2006. Prokhanov devient l’invité fréquent des émissions de débat présentées par le fameux journaliste proche du pouvoir Vladimir Soloviev, sur la chaîne NTV (4). Les Jeunes Conservateurs, quant à eux, animent un groupe de réflexion au sein de Russie unie, le Club russe, chargé de formuler une réponse progouvernementale au nationalisme ethnique anti-Kremlin, qui a le vent en poupe.

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  • Arabie saoudite : condamnée à 34 ans de prison pour des tweets

    Publié le 19.08.2022 par Amnesty International

    En Arabie saoudite, Salma Al-Chehab, une doctorante de 34 ans, a été condamnée à 34 ans de prison pour son militantisme sur Twitter. Ce jugement inacceptable est un énième exemple de la répression féroce en cours dans le pays contre les militants et militantes pacifiques.

     

    Salma Al-Chebab a été prise pour cible pour avoir utilisé Twitter afin de suivre, de discuter et de soutenir des défenseures des droits des femmes, parmi lesquelles Loujain al-Hathloul. Cette dernière avait été emprisonnée à l’issue d’un procès contraire aux règles d’équité les plus fondamentales devant le Tribunal pénal spécial, pour « espionnage pour des instances étrangères » et « conspiration contre le royaume ». Loujain al-Hathloul a bénéficié d’une libération conditionnelle en 2021, mais se trouve toujours sous le coup d’une interdiction arbitraire de voyager.  

    Pour sa part, Salma Al-Chebab a dans un premier temps été condamnée à six ans de prison à la mi-2022. Après son audience d’appel devant le Tribunal pénal spécial le 9 août 2022, un juge a prononcé contre elle une peine de 34 ans de prison à l’issue d’un procès manifestement inique. Ce jugement sera ensuite suivi d’une interdiction de voyager d’une durée de 34 ans à compter de la date de sa libération. 

    Salma al Chehab n’aurait pour commencer jamais dû être condamnée, mais faire passer sa peine de six à 34 ans de prison au terme d’un procès inique montre que les autorités ont l’intention de faire d’elle un exemple dans le cadre de leur répression implacable contre la liberté d’expression. Elle doit être libérée immédiatement et sans condition. Les autorités saoudiennes doivent lui permettre de retrouver sa famille et de poursuivre ses études au Royaume-Uni.

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  • L’interdiction de la chasse à la tourterelle des bois prolongée jusqu’en 2023

    Publié par Reporterre le 18.08.2022

    Victoire pour les défenseurs des oiseaux. Un arrêté publié jeudi 18 août suspend « sur l’ensemble du territoire métropolitain » la chasse de la tourterelle des bois, jusqu’au 30 juillet 2023.

    Le gouvernement avait d’abord autorisé l’abattage de 17 460 tourterelles maximum sur la saison 2020-2021. Ces volatiles sont pourtant une espèce menacée d’extinction et classée sur la liste rouge de l’UICN (Union internationale pour la conservation de la nature). Le Conseil d’État, saisi par des associations de défense des oiseaux, avait finalement suspendu cette décision.

    En 2021, l’État avait donc décidé d’interdire la chasse de cette espèce jusqu’au 30 juillet 2022. Après une consultation du public cet été, et malgré une opposition du Conseil national de la chasse et de la faune sauvage, le ministère de la Transition écologique a prolongé cette interdiction jusqu’en 2023. La Commission européenne demandait depuis 2018 à ses États membres la suspension de la chasse des tourterelles des bois.

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