Nom d'un petit bonhomme, en voila une bonne devise pour l'UMP.
Pour les UMP devrait-on dire, depuis la décision de François Fillon de créer un groupe parlementaire autonome. La crise qui dure depuis 10 jours n'est pas terminée, on semble même parti pour continuer le feuilleton encore quelques mois.
Un réferendum pourrait avoir lieu en décembre ou janvier, et après ?
Si le non l'emporte, rien n'est réglé, Copé garde sa place de président et la réconsiliation paraît difficile.
Si le oui l'emporte, c'est reparti pour plusieurs mois d'affrontement avant la désignation d'un nouveau
président, avec une issue incertaine.
Voila une crise majeure qui démontre le manque de culture démocraique pour l'UMP, et qui met en relief l'effet négatif d'un régime présidentiel : le scrutin à peine terminé, les politiques sont déjà engagés dans le scrutin suivant.
Avec en arrière-plan le chef incontesté qui tire les ficelles avec son aura de perdant aux dernières élections. Il y a cependant un choix politique entre Copé prêt à toutes les compromissions (même très à droite) pour gagner et Fillon qui veut se positionner plus au centre. Un message très brouillé par les alliances opportunistes : Raffarin soutient Copé et Ciotti soutient Fillon!
La seule conclusion actuelle est que l'UMP ne sait pas fonctionner sans un chef unique et incontesté, la démocratie et le dialogue étant des valeurs qui lui sont étrangères.
massivement endettés pour venir au secours d’institutions financières défaillantes et relancer le capitalisme globalisé.
pour rééquilibrer les budgets publics, et engager la reconversion écologique de l’économie et la transformation autogestionnaire de la société.
Israel ,..., que du beau monde. Il y a de l'argent à se faire, le domaine des armes semblant même se dévopper malgré la crise. Il est vrai que toutes ces misères pourraient déboucher sur des révoltes, on n'est jamais assez prudent .
En ce début d’année 2010, le traité de Lisbonne entre en application. La Charte des droits fondamentaux reconnaît aux résidents de l’Union européenne des droits sociaux, comme le droit au travail, le droit à la sécurité sociale et à l’aide sociale (y compris au logement), le droit à la santé, le droit d’accès à des services économiques d’intérêt général…. La reconnaissance de ces droits doit être la référence pour accompagner les actions mises en oeuvre par les autorités de l’Union européenne et ses membres, pour réguler les effets de la crise. Il ne serait pas acceptable que des millions de personnes en Europe soient privés de leurs droits sociaux élémentaires alors que 2010 est l’année de la lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale.
vont se réunir le 11 février à Bruxelles, dans quel sens ils devront prendre des mesures économiques et budgétaires.