Le Chat-huant vaut bien un rat-pelle

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Le Chat-huant vaut bien un rat-pelle

Il est grand temps pour le Chat Huant de sortir ses griffes. Le vendredi 11 et le samedi 12 juillet ça va ronronner du côté de Boult-aux-bois.
Les membres de l'association vous proposent d'ouvrir les festivités le vendredi 11 juillet de 20h à 3h00 avec un bal type fête patronale, animé par DISCOPOWER.
Pour bien continuer le week-end, on recommence le samedi 12 juillet avec le traditionnel festival du Chat Huant. Pour cette édition 2014, on vous a prévu des animations à partir de 14h, histoire de vous remettre de la veille. Les concerts débuteront quant à eux dès 20h.
Et qui dit concerts, dit groupes ! Qui vient donc jouer cette année ? On ne vous fait pas patienter davantage, voici la liste des chanceux :
- Tree Kong ( Ska )
- THE BYMZ ( Hard Rock )
- Durban Poison ( Punk )
- Spellbinding ( Metal )
- Et.... un groupe mystère dont on vous communiquera le nom très bientôt ! (Bah oui c'est pas marrant si on dit tout maintenant, faut bien être un peu sadique !)

Pour les changement de plateau, le jeune Clement Borghesi vous fera patienter en musique en interprétant quelques reprises.
Bon sinon le point méga important, oui il y aura une buvette (bah oui ça donne soif tout ça !) et une friterie (pour ceux qui aurait une petite faim).
Nous avons également prévu un camping pour ceux qui auraient une petite envie de planter la toile de tente.
Donc on récapitule, le vendredi 11 juillet bal, le samedi 12 juillet festival, il y a de quoi boire, de quoi manger, de quoi dormir, bref de quoi passer un bon week-end ! Alors venez nombreux vous amusez avec nous, dans une ambiance festive et sans embrouille !
Cette année le Chat Huant s'associe au Festival "Les Bars-Bars" pour vous proposer une soirée acoustique le 11 avril 2014, à partir de 20H à la salle des fêtes de Boult-aux-Bois.
Le mot d'ordre de la soirée : SORTEZ DE VOS TOMBES !!!
Au programme de la soirée :
- Mange ta Mort (Folk-Punk) : un punk-rock acoustique teinté de folk énergique et parfois de quelques touches de ska. MTM vous propose des textes en français accrocheurs, des tempos ravageurs, une rythmique dynamique et entrainante. Les MTM ne font pas dans la dentelle ! Influencés par la scène punk-rock francophone et internationale, ils démarrent l’année 2014 par l’enregistrement d’un album de 11 titres enregistrés « at home ».
- les Briquenay Sbires (Blues agricole rural) : un groupe 100 % local, mais leur renommée a largement dépassé les limites et même les bornes vouzinoises; citons un récent article du journal "Le Monde" à leur sujet : "des textes ineptes posés sur des musiques approximatives réconcilient la poésie et le monde rural."
- Clement Borghesi : jeune musicien alternant compositions personnelles et reprises, il vous fera patienter lors des changements de plateau à coups de variété française & de rock !


Les zones humides sont des milieux riches en biodiversité qui rendent gratuitement de nombreux services. Pourtant leur destruction continue. Pour mieux comprendre leur rôle, leur fonctionnement et les enjeux de leur protection, France Nature Environnement (FNE) et ses associations vous proposent de partir à leur découverte à l’occasion de la Journée internationale des zones humides qui a lieu ce dimanche 2 février .
Les zones humides, toujours en mauvais état
En 1971, face au constat de la dégradation et de la disparition des zones humides, plus de 150 pays ont signé la Convention de Ramsar avec comme objectif la sauvegarde de ces milieux. Force est de constater, plus de quarante ans plus tard, que les dégâts se poursuivent : pollutions, comblements, drainages… Le projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes ou encore le projet de déviation routière de Canapville dans le Calvados sont l’illustration même de la non prise en compte de la richesse de ces milieux.
Bien connaître les zones humides
Cette journée internationale des zones humides est l’occasion de rappeler que la préservation de ces milieux passe par leur identification et la connaissance de leur fonctionnement. Souvent perçus comme de simples marécages, ils abritent pourtant une richesse extraordinaire, tant en nombre d’espèces de plantes que d’animaux qui ne peuvent survivre en d’autres endroits. Cette diversité est parfois impressionnante, notamment dans les zones humides côtières, comme les mangroves, les récifs coralliens ou encore les estuaires.
De plus, les zones humides apportent gratuitement de nombreux services en régulant les crues, en rechargeant les nappes, en épurant les eaux… Ces services, s’il fallait les recréer, représenteraient des coûts faramineux. Il convient donc de poursuivre l’inventaire des zones humides, petites et grandes, afin de mieux identifier les enjeux de leur protection.
Mieux les préserver : passer à l’action
Aujourd'hui, de nombreux outils de protection des zones humides sont prévus par les lois européennes et françaises, mais FNE constate au quotidien que ces réglementations sont encore trop peu respectées.
Il y a de réelles opportunités à saisir pour protéger des zones humides menacées. Ainsi, le Marais de
Kaw en Guyane, plus grande zone humide de France et longtemps menacé par un projet de mine d’or, pourrait être classé en parc national. Des communes riveraines en ont la volonté. L’Etat doit saisir cette chance, sans toutefois oublier les petites zones humides, dont la multiplicité contribue puissamment à l’atteinte du bon état des eaux.
Bruno Genty, président de FNE : « notre fédération sera également vigilante quant à la mise en œuvre de la Trame verte et bleue qui doit intégrer la préservation et la restauration des zones humides. Nous veillerons à ce que le nouveau plan d’action pour les zones humides issu de la feuille de route de la conférence environnementale de 2013 soit à la hauteur des enjeux. »
Des animations pour découvrir les zones humides, tout le mois de février
Pour comprendre les enjeux de protection des zones humides, des animations sont organisées tout le mois de février. Retrouvez celles organisées près de chez vous à cette adresse : http://www.zones-humides.eaufrance.fr/agir/ramsar-et-la-journee-mondiale-des-zones-humides/espace-visiteurs

Cette animation aux approches pédagogiques variées,(pêche à l´épuisette, détermination d´espèces, jeux...) permettra aux petits comme aux plus grands de découvrir simplement la complexité de deux milieux de vie bien différents mais si fragile : la mare et le ruisseau.

Depuis 1972, Pierre Deom fait vivre le journal "La Hulotte" qui est passé du statut de bulletin d'écoles à celui de magazine international de référence .
C'est ainsi que Vouziers est connu dans le monde entier pour être la ville proche de Boult-aux-Bois, lieu où travaille l'équipe du journal à parution irrégulomadaire.
Son style inimitable fait que l'on s'amuse en s'instruisant, et sa rigueur documentaire le place en référence dans la vulgarisation des règnes végétaux et animaux.
Voici donc la musaraigne (et le martin-pêcheur) au sommaire de ce n°100

N° 100 - Le Martin-pêcheur et la Musaraigne étrusque
La Musaraigne étrusque, le plus petit mammifère du monde
Elle ne sort que la nuit et passe sa journée à dormir dans un tas de pierres ou un vieux mur (pendant des siècles, l'Homme ne s'est pas aperçu de son existence !). Elle est toute petite et si légère qu'elle passe sur les pièges sans les déclencher. Dans son numéro 100, la Hulotte nous raconte les folles aventures de la Musaraigne étrusque, le plus petit mammifère du monde : deux grammes sur la balance. Une athlète tellement microscopique qu'elle doit chasser comme un tigre, vivre à deux cents à l'heure et multiplier les exploits les plus époustouflants pour ne pas mourir de faim ou de froid.
Autre invité du numéro 100 : Le Martin-pêcheur, l'Oiseau des Glaces
Qu'est devenue la jolie Sonelë-Martine ? Comment Martin va-t-il réussir à nourrir seul ses sept petits ? Où a-t-il pêché ce nom bizarre d'Oiseau des Glaces ? Vous n'êtes pas au bout de vos surprises !
Le plus beau des oiseaux de France et le plus petit mammifère du monde sont les invités de la Hulotte. Leurs exploits vont vous stupéfier.
48 pages, 145 dessins
A Boult aux Bois, on cultive de tout, c'est pratiquement dans les gènes, mais sans OGM, c'est culturellement incompatible.
Ainsi ce dimanche chez Jacques Laloua on pouvait apprendre à faire de la confiture sans les mains et à récolter des légumes traditionnels sans pesticides.
Dans le cadre du festival "sème la culture" les spectateurs ont eu droit à une présentation en trois temps.
Et ce en plus des expositions, du marché bio et du repas collectif proposé aux visiteurs du village.
Dans un premier temps, les élèves de l'école Taine de Vouziers ont présenté une pièce écrite par S. Machinet . Le thème est tiré de leur expérience de visite d'exploitations agricoles. Les petites scènes présentaient les animaux de la ferme avec un regard un peu particulier et plutôt humoristique. Ils se sont offert un beau succès auprès des spectateurs présents.

L'entracte, forcément culturel, permettait à J. Laloua de faire visiter son exploitation de maraîchage bio, qui fonctionne également en circuits courts (approvisionnement et livraisons des produits).
Avec sa gouaille habituelle, il a su intéresser à cette journée les participants , que leur origine soit champêtre ou citadine.

Le troisième temps était réservé au spectacle "la tête en confiote". L'artiste a fait la démonstration qu'il était possible de confectionner de la confiture sans les mains. Puis elle s'est transformée en fildefériste pour démontrer qu'on pouvait marcher sur un cable sans tomber (ou presque).

