WALTER, RETOUR EN RESISTANCE
Un film documentaire de Gilles Perret
le mardi 30 mars 2010 à 20 h 00
au Métropolis de Charleville
A l'issue de la projection, un débat sera animé par Maurice CHAUVET,
membre des états généraux pour le service public (niveau national)
Autour de deux questions qui se posent tout au long du film :
« Qu'avons-nous fait des idéaux du Conseil National de la Résistance ? »
« Résister se conjugue-t-il au présent ? »

Avec Walter, retour en résistance, Gilles Perret place sa caméra dans les pas de Walter Bassan, 82 ans, ancien Résistant déporté à Dachau, aujourd’hui révolté par les démagogies, injustices et oppressions de la France sous Sarkozy. Sortie en salles le 4 novembre.
Un regard doux et bienveillant, une vivacité toujours présente malgré ses quatre-vingt-deux ans, Walter Bassan est un homme qu’on ne leurre pas. Déporté à Dachau suite à ses engagements politiques, il poursuit aujourd’hui son combat : lutter pour qu’il n’y ait pas d’entorses aux valeurs de la Résistance et sauvegarder les avancées sociales de l’après-guerre, découlant du programme du Conseil national de la résistance (CNR).
Avec simplicité et beaucoup d’humilité, Walter évoque son engagement dans la jeunesse communiste, sans véritable conscience politique alors, davantage par indignation. Avec pudeur, il témoigne de sa déportation dans les écoles primaires, accompagne les lauréats du concours de la résistance au camp de Dachau.
La question de la prévention des inondations sera abordée de manière générale. Un représentant du bassin "Seine Normandie" sera présent. Il s'agit d'un établisement public, dont la mission est la gestion de l'eau sur un territoire cohérent.
Mardi 23 février
Par deux fois, le festival a sélectionné deux documentaires dans sa sélection : en 1996, La vie est immense et pleine de danger de Denis Gheerbrandt, et, en 2009, Jesus Camp d'Heidi Ewing et Rachel Grady. Mais, jamais, la soirée d'inauguration n'avait projeté un documentaire.
En moins de 20 ans, la demande et la consommation de poisson a explosé au niveau mondial, notamment du fait de la mode du sushi, qui, d’un plat traditionnel, devient un élément des menus de chaînes de fast food. Les conséquences sur la biodiversité marine sont désastreuses : « Global sushi » sous titré « Demain, nos enfants mangeront des méduses », remonte la filière du sushi, tout expliquant les différents problèmes posés par la surpêche. Du sud du Chili au Japon en passant par le Sénégal et les ports français de Méditerranée, « Global Sushi » décode les impacts de la mondialisation de ce marché. Le cas du thon rouge, emblématique de la surpêche, est bien évidemment exposé au début du documentaire. Ce très bon film de Jean-Pierre Canet, Damien Vercaemer et Jean-Marie Michel sera diffusé à 20h30 sur Canal + le 1er février.