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Film - Page 16

  • Les enfants du cinema à Vouziers

     

     

    Les Enfants du Cinéma, Familles Rurales, la FDSEA et le journal Agri Ardennes présentent "L'Apprenti", au cinéma "Les Tourelles".

     

     

    G166141203206783.jpgPar deux fois, le festival a sélectionné deux documentaires dans sa sélection : en 1996, La vie est immense et pleine de danger de Denis Gheerbrandt, et, en 2009, Jesus Camp d'Heidi Ewing et Rachel Grady. Mais, jamais, la soirée d'inauguration n'avait projeté un documentaire.

    Pour un coup d'essai, ce fut un coup de maître ! Après une projection conclue par des applaudissements chaleureux, la quasi-totalité des spectateurs présents sont restés - grande première également ! - pour échanger avec Paul Barbier et son épouse, Jeannine. Ce fut un pur moment de bonheur, coupé de rires et chargé d'émotion.

    Jean-Michel Frodon, dans le n° 640 des Cahiers du Cinéma de décembre 2008, donne, à notre avis, en conclusion de son article  l'explication de ce qui s'est passé ce soir-là : (...) Puisque finalement on pourrait légitiment poser la question : qu'est-ce que j'en ai à faire de la vie d'un adolescent de Franche-Comté qui travaille dans une ferme ? Avant le film, en ce qui me concerne, rien. Il suffit de quelques minutes pour que tout bascule, non pas vers un imaginaire à partager, non vers une affaire de terre (qui ne mentirait pas, tu parles) mais vers une affaire d'humains, qui ne nous ressemblent et ne nous ne ressemblent pas, et pour ces deux raisons nous intéressent tous.

     

    le mardi 2 février à 14 h30 et 20h15

    au cinéma Les Tourelles de Vouziers

     

    L'avis de Télérama (extrait ci-dessous)

    Des champs boueux à la grande cuisine, les situations et les dialogues sonnent ­juste. Une histoire fortement documentarisée se dessine autour de l'adolescent qui se prend pour un homme. Son vrai père est parti de la maison et Mathieu ne veut pas le voir. Paul le remplace, en quelque sorte. Avec ses bacchantes à la Henri Virlojeux, il a quelque chose du père idéal. Mathieu peut le trouver « vieux jeu » et critiquer sa conception du métier. Il n'empêche : il a une autorité naturelle et rassurante.

       

       

       

    • ATTAC fait son cinéma


      LES LIP, L’IMAGINATION AU POUVOIR

      Un film de Christian Rouaud

      Le 12 janvier 2010 à 20 h 00

      au Métropolis de Charleville

       

       

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      A l’issue de la projection, un débat sera proposé.

      Avec Claude Choquet, ancien ouvrier de Lenoir et Mernier,

      Charles Rey, ancien ouvrier de Thomé Gesnot et Jean Claude Mayette, directeur de la Scoop LCAB à Bogny sur Meuse


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      Une critique de "Première"

       

      Leurs yeux brillent, leur accent bisontin chante... Ils racontent, comme si c'était hier, une histoire vieille de trente-quatre ans. Eux, ce sont Charles Piaget, Roland Vittot, Raymond Burgy, Jean Raguenès, Fatima Demougeot, Jeanine Pierre-Émile... Des techniciens et ouvriers de Lip qui, refusant le licenciement de 480 personnes (sur 1 300), ont occupé l'usine, confisqué le stock de montres et remis en route les chaînes de montage afin de sauvegarder leur outil de travail : « C'est possible : on fabrique, on vend, on se paie. ». En bousculant la légalité, ils ont réinventé l'égalité.

       

      Et ça a marché. Juste le temps d'un rêve collectif brisé par l'arrivée au pouvoir d'un certain Valéry Giscard d'Estaing et de son premier ministre, Jacques Chirac. Le récit est épique, haletant, les personnages se dessinent peu à peu, le documentaire devient fiction, polar, thriller... Christian Rouaud les filme en plans fixes. Associe ou entrechoque leurs souvenirs. Confronte ces derniers aux images d'archives où on les reconnaît, en noir et blanc, enflammés, engagés et souriants, identiques quoique plus jeunes. Le cinéaste dresse des portraits de gens ordinaires qui n'ont pas seulement cru aux lendemains, mais les ont fait exister. L'élan extraordinaire de leur « ici et maintenant » ne date pas d'hier mais pourrait nous inspirer. Pour demain ?

       

       

      Christian Rouaud.


      Il signe un documentaire politique qui est aussi un thriller trépidant. Et décline l'histoire d'une lutte ancienne, emblématique, dont l'écho n'est pas près de s'éteindre. Rencontre.

       

      Flash-back : 1973, à Besançon. Les « travailleurs et travailleuses » de chez Lip, industrie horlogère, résistent aux plans de licenciement, occupent l'usine, la remettent en marche et transforment l'idéal autogestionnaire en principe de réalité. Dans la France de l'après Mai-68, l'événement fait date et secoue la société pompidolienne.
      Cette année-là, Christian Rouaud a vingt-cinq ans. Il vit en banlieue parisienne et est adhérent du PSU.
      « Les Lip symbolisaient une lutte exemplaire : on les soutenait, on racontait leur combat, on organisait des meetings, on vendait des montres... Du point de vue politique, c'est le début du libéralisme actuel : le patron de cette entreprise familiale remontant au XIXe siècle se retrouve viré du jour au lendemain par les actionnaires, qui décident de restructurer... »



      Bien des années plus tard, cet ancien professeur de lettres devenu documentariste a eu envie de reconstituer le « mythe » : il est allé à la rencontre des acteurs principaux du conflit, ces hommes et ces femmes porteurs d'une histoire unique. « Piaget, Vittot, Burgy, Raguenès et les autres ont mis en place la démocratie directe telle qu'on la rêvait. Toutes les idées qu'on avait en tête à l'époque étaient appliquées par les Lip, et ça fonctionnait ! Leur réflexion se nourrissait en permanence de l'action, et réciproquement. Les commissions autonomes travaillaient chacune dans leur coin et se réunissaient ensuite en assemblée générale, lieu unique où les décisions étaient votées. Il ne faut pas oublier que Besançon est la patrie de Fourier et de Proudhon.



      La culture locale s'inscrit dans une tradition à la fois autonome, quasi anarchiste, et très catholique. Entre les "vieux" militants CFDT de Lip, issus de ce double héritage, et le Comité d'action, inspiré par l'extrême gauche, une cristallisation s'est opérée. Mai-68 avait été pour eux une répétition générale : lorsque leur usine a été menacée, ils étaient prêts, ils avaient l'expérience de la lutte...
      Même si l'aventure est devenue plus douloureuse quand ils se sont organisés en coopérative, ils ont fait entendre dans toute la France leur slogan : "C'est possible !" Avec ce film, j'aimerais qu'il résonne encore aujourd'hui. »



      Isabelle Danel pour PREMIERE - Mars 2007

       

       

       


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      Un lien vers la bande annonce

       

       

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    • Nos enfants nous accuseront


      ATTAC fait son cinéma

       

       

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      NOS ENFANTS NOUS ACCUSERONT

      un film de Jean-Paul Jaud

      le mardi 13 octobre 2009 à 20 h 00

      au Métropolis de Charleville

       


      A l’issue de la projection, un débat sera proposé

      avec Marc Dufumier, professeur, titulaire de la chaire d'agriculture comparée et de développement agricole à l'Institut national agronomique Paris-Grignon.

       

       



       

    • "La Vague" aux Tourelles



      Les Dimanche 21 et lundi 22 Juin, le film  en V.O.du réalisateur allemand Dennis Gansel intitulé "Die Welle"  ou "La vague" est présenté au cinéma Les Tourelles.

      A l'occasion d'une semaine thématique organisé dans un lycée, un professeur anime un atelier sur le thème de "l'autocratie" c'est à dire sur la dictature d'un groupe sur une société. Pour rendre attrayant et compréhensible par tous les élèves inscrits à cet atelier  ce thème encore abstrait pour la plupart d'entre eux, le professeur met en pratique au sein même du groupe les principes de base d'installation d'une dictature. Il lance ainsi une mécanique infernale baptisée "La vague" qui va tous les submerger et même faire des ravages bien au delà de l'atelier thématique. L'issue est dramatique.
      Le film est très efficace. Il bouleverse le spectateur et surtout le conduit à se questionner sur la fragilité d'une communauté humaine  qui , manipulée ,peut adopter des valeurs fascistes et les comportements qui en découlent. Si vous avez l'opportunité d'aller voir ce film, ne la manquez pas.



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    • La fin de la pauvreté ?

      Attac 08 fait son cinéma

      le 26 mai 2009 à 20h00
      au Métropolis de Charleville

      avec

      La fin de la pauvreté ?

      un film de Philippe Diaz

       

       

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      SYNOPSIS : Avec tant de richesses dans le monde, comment peut-on avoir autant de pauvreté ?
      La fin de la pauvreté ? retourne au début des temps modernes, au début des temps coloniaux, pour comprendre quand, mais aussi pourquoi, tout cela a commencé.
      N’est-il pas temps de se demander pourquoi aujourd’hui 25 % de la population mondiale consomme plus de 85 % des ressources de la planète ?

       

      REALISATEUR : Né à Paris, il produit de nombreux films en France et à l’étranger avant de s’installer à Los Angeles en 1991. Il crée Cinema Philippe_Diaz_site.jpgLibre Studio, spécialisé dans les films de fiction et documentaires à caractère social ou politique. Sa première réalisation, Nouvel Ordre Mondial (Quelque part en Afrique), est sélectionnée par la Semaine de la Critique en 2000.

       

    • Mermet et compagnie

      Nous vous avons annoncé  la projection du fim "Chomsky et compagnie" dans le cadre d'ATTAC fait son cinéma . Il sera présenté le mardi 10 mars à 20h au Métropolis de Charleville . C'est un film de Daniel Mermet, journaliste à France-Inter, qui répond dans "L'Humanité" à des questions sur son travail :


      200811190752_zoom.jpgRencontre avec Daniel Mermet, co-auteur avec Olivier Azam de "Chomsky et Compagnie, pour en finir avec la fabrique de l’impuissance", documentaire sur le linguiste américain Noam Chomsky, intellectuel très critique de la politique étrangère des Etats-Unis, et des médias de masse.

      Lors de sa visite en région pour la présentation de son film « Chomsky et Compagnie » grâce à l’association l’Eclat et au Cinéma d’Art et d’Essai , le Mercury, à Nice, l’animateur de l’émission quotidienne de France Inter, « Là bas si j"y suis », Daniel Mermet répondait à quelques questions sur Noam Chomsky, linguiste et penseur américain ainsi que sur les médias. Entretien.

      Chomsky est-il ce personnage singulier ,ce penseur dont on a besoin,cette référence qui mène plus loin la réflexion bien qu’on invite chacun à n’avoir ni dieu ni maître ?

      Daniel Mermet. On n’a pas besoin de maître. Chomsky n’en est pas un. Il a pour rôle d’analyser, de documenter, de sourcer. Lui le voit comme un métier comme un autre. Il ne faut pas mentir évidemment sur ses privilèges attachés à sa fonction d’intellectuel. Mais il n’en abuse pas. Il est pas dans un mirador à nous regarder de haut. Il est dans la mêlée quotidienne. Il se prononce très vite sur les évènements. Il voit son rôle comme celui d’un "spécialiste de quelque chose", comme un médecin, un avocat, un plombier zingueur.

      On ne va pas le voir comme un oracle. Il est comme Bourdieu qui disait « je suis discutable, j’espère mériter d’être discuté. » Il ne parle pas qu’aux élites, loin s’en faut. Il s’exprime dans une langue extrêmement claire. Il existe un prix Orwell de la clarté de l’expression. Il l’a eu deux fois. Cette courtoisie de se faire comprendre à travers des choses orales souvent, des textes assez courts, fait qu’il y a chez lui une volonté non pas de se mettre à la portée des gens mais de se mettre à la portée des gens auxquels il veut parler.

      Chomsky, pour moi est un intellectuel-traitre au sens ou Vidal-Naquet parlait des "historiens traitres", c’est-à-dire des historiens qui ne répondent pas à la fonction à laquelle ils sont assujettis. Des intellectuels qui accumulent des savoirs pour le service du pouvoir, pour la justification du pouvoir ou pour les projets du pouvoir. Chomsky est un contre-pouvoir qui nous incite au contre-pouvoir. Il met ses savoirs à la disposition des gens pour que nous interrogions le pouvoir. Pour toutes ces raisons, il n’est ni un dieu ni un maître.

      Sans parler de dieu ni de maître, est-il une référence, faute du politique qui ne relaie pas ?

      Daniel Mermet. Oui mais si malgré lui, il est devenu une icône, il faut savoir que ça le gêne beaucoup. Il n’a pas vu beaucoup du film bien arton2737685-90e11.jpgqu’il en ait eu de bons échos. Il n’a pas vu beaucoup non plus de « La fabrique du consentement » par Achbar et Wintonick. Il redoute beaucoup la personnification. Il est malgré sa volonté une icône à cause du système.

      Vous mettez en parallèle à sa pensée beaucoup d’archives et d’images, d’événements, sans être au service de sa pensée.

      Daniel Mermet. On essaie de faire découvrir sa pensée mais aussi de prendre tout de suite ce qu’il y a, de voir vraiment les choses énormes, comment notre opinion est manipulée, comment fonctionne la manipulation de l’opinion dans des systèmes démocratiques, transparents.Comment s’exerce le lavage de cerveau dans ces systèmes. Lui, propose un certain nombre d’exemples. Il y en a bien d’autres abordés dans le film.

      Pourquoi se méfie-t-il des journalistes français ?

      Daniel Mermet. Pour les raisons évoquées dans le film. Il a été en butte à des intellectuels français lors de l’affaire Faurisson. Ils l’ont stigmatisé en le jugeant comme un révisionniste, comme on fait encore aujourd’hui. C’est une insulte qu’il est très difficile de combattre. Pédophile, antisémite ce sont les pires insultes. C’était si malhonnête, frauduleux qu’il en a conçu une certaine amertume. Il a fallu du temps pour que ça s’apaise un peu. Il n’a donc pas beaucoup de sympathie pour les journalistes français, ni pour une certaine scène intellectuelle française.

      C’est la limite de la liberté d’expression car le négationnisme d’un Faurisson peut être mal interprété, ceux qui n’ont pas de culture pourraient être séduits par un tel discours.

      Daniel Mermet. Bien sûr ! Il faut aussi à ce moment-là interdire les pubs scandaleuses, les discours mensongers et trompeurs.

      Ces discours, ces pubs, engagent-ils la mémoire de six millions de morts ?

      Daniel Mermet. Oui, la pub peut tuer. En matière de liberté d’expression, il y a deux attitudes : "je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites mais dites-le", et "je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites et donc je vous interdis de le dire". En France, nous sommes davantage dans la dernière posture. Cela a donné beaucoup de poids à Faurisson. Cela lui a donné une réputation de martyr. Des négationnistes, des medium_gal-57451.jpgrévisionnistes, il y en a aux États-Unis. Il y a aussi des groupes nazis, que l’on laisse parler dans un coin. Il y a toujours le Ku klux klan qui opère. Il y a donc un danger, mais ce qui a discrédité Faurisson ce ne sont pas les tribunaux, pas le côté émotionnel, ce sont les historiens qui ont réfuté toutes ses allégations. Un livre édité en 1982 par les éditions de la Sorbonne réfutait chaque point et à partir de là, il était scientifiquement discrédité. Vidal-Naquet, l’adversaire le plus déterminé de Chomsky, n’a jamais laissé supposer que ce dernier souscrivait aux thèses de Faurisson. Pierre Vidal-Naquet, comme la majorité de la communauté des historiens en France, est opposé aux lois dites mémorielles, aux lois Gayssot, Taubira, etc. qui sont pour eux, d’abord, que nous nous déchargeons de nos responsabilités démocratiques et intellectuelles en nous en remettant aux juges. Que nous prenons le risque du communautarisme. Chomsky s’y oppose aussi. Donc leur différence n’est pas aussi grande qu’on l’a trop souvent dit.

      Vous dites dans le film qu’il est entre le socialisme et l’anarchisme. Pourriez-vous préciser ?

      Daniel Mermet. Il est très attiré par les deux. Il faut faire très attention à ces mots pare que ça n’a pas le même sens ici et ailleurs. Il existe un anarcho-capitalisme. Si ça veut dire pas d’État, pas de parti, pas de vote, etc… ce n’est certainement pas ce que veut dire Chomsky.

      Il existe un petit livre de Normand Baillargeon sur l’ordre sans le pouvoir où Normand fait un état des différents courants de l’anarchie. Il y évoque l’anarchie de Chomsky. Quant au socialisme ça n’a pas le même sens aux Etats-Unis qu’en Europe. Ce sont des mots : Martine Aubry est socialiste ; hélas le mot n’a plus aucun sens. Mais accolé à "anarcho", ce mot peut encore avoir un sens.

      Vous mettez en parallèle une forme de censure dans les années 60–70 et une espèce de journalistes "bien dressés" aujourd’hui. Dans ces conditions, comment viendrait à une majorité de gens un esprit critique ; comment pourrait-on faire que l’opinion réalise ce que vous préconisez ?

      Daniel Mermet. Le travail de Chomsky et de Edward Herman, notamment dans La fabrique du consentement qui est leur livre essentiel et quih-20-1201747-1212431212.gif vient d’être réédité aux éditions Agone, ne traite pas seulement de la manipulation par les médias mais de la façon dont se fabrique l’idéologie dominante à travers notamment le mécanisme des relations publiques. Ce qui englobe l’Université, la pub,l’Eglise, tous les moyens de l’information et tous les moyens de fabriquer les esprits. Sur le plan médiatique, c’est très difficile de se prétendre libre lorsqu’on sait que les grands médias dominants sont entre quelques mains. Rien que cela fait qu’à l’intérieur des rédactions, les lignes éditoriales sont verrouillées, consensuelles.

      Lien permanent Catégories : Film, société Imprimer 0 commentaire Pin it!
    • Made in Egypt

      Karim Goury est un réalisateur de film dont la famille est bien connue dans le Vouzinois . Il est venu présenter "Made in Egypt" au cinéma Les karim-goury1.jpgTourelles de Vouziers il y a deux ans . Ce film raconte sa recherche des traces de son père égyptien, qu'il n'a pas connu . Par des allers-retours entre la France et l'Egypte, il reconstitue une partie de l'histoire de son père, et construit une part de sa propre existence .

      Pour les Vouzinois, on y trouve le témoignage de son oncle, Raymond Goury, peu de temps avant sa disparition : une raison supplémentaire pour voir ou revoir ce film très sensible .

      Il sera diffusé sur France Ô ce lundi 16/02 à 20 h 35 et demain à 15 h 15

       

       

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      les parents de Karim Goury