Ce samedi se déroulera à Etrepigny une journée consacrée au curé Meslier.
Celui-ci a exercé son sacerdoce dans cette commune au 18ème siècle. Il est né à Mazerny en 1667, et a été curé à Etrépigny jusqu'en 1729
C'est Serge Deruette, un universitaire belge qui est à l'origine de ce projet, qui tend à faire connaître l'oeuvre du curé Meslier, un ardennais bien peu connu de la population.
Voici une présentation du personnage, dans un résumé de l'ouvrage que lui a consacré Serge Deruette:
JEAN MESLIER s'éteint alors que le siècle des Lumières débute à peine.
Curé de village, il laisse à la postérité un Mémoire de ses pensées et sentiments.
Non un recueil de paroles propres à édifier les «bons chrétiens ». Mais... une bombe !
Car son Mémoire, c'est
- la première critique systématique du christianisme et de toutes les religions;
- la première théorie complète d'athéisme et de matérialisme philosophique ;
- la première pensée à la fois communiste et révolutionnaire.
Longtemps étouffée, la voix de ce curé athée et révolutionnaire renaît aujourd'hui de l'oubli.
Le présent ouvrage nous introduit à son oeuvre, à sa portée et à sa signification.
Il laisse pour cela largement la parole à Meslier lui-même.
Ce sera donc sur les terres mêmes où il a vécu et écrit son oeuvre que ce penseur révolutionnaire au sens plein du terme sera évoqué.

Avec la disparition de Jean FERRAT, c’est un poète, un artiste de premier plan qui nous quitte. Ses textes et ses chansons marqueront encore pour des décennies la culture française. C’est également au militant de la liberté, de la justice sociale à celui qui a soutenu les peuples qui luttent, souffrent et se battent que les communistes veulent rendre hommage.
Son aménagement par le département permet aux cyclistes, aux rollers et aux promeneurs de découvrir en sécurité les paysages de la vallée de la Meuse.
inusités et même à l'abandon. Le prolongement vers Sedan et Mouzon semble acté. Une étude vers le sud par le canal des Ardennes vers Rethel puis Reims est envisagée. Le passage par le Vouzinois ne semble pas étudié ; qu'en pensent nos conseillers généraux?

