Qui n'a jamais rêvé de s'offrir un aéroport ou même un barrage ? Trop cher. Pourtant, Citizencase et ses nombreux partenaires cadeaux, soucieux de votre pouvoir d'achat vous proposent dès aujourd'hui de vous payez, à partir de 5 euros seulement, ces très beaux cadeaux à un prix incroyablement bas.
Souvent jugés trop chers à l'achat, peu de gens pensent à offrir des aéroports ou des barrages à leur famille, à leurs amis. En effet, comment peut-on se payer de telles infrastructures à si peu de frais ? C'est le pari qu'à fait Citizencase, la plateforme de financement participatif dédiée aux actions juridiques des associations, en étudiant la question pendant 2 ans. Son offre commerciale alléchante à de quoi surprendre. Tout le monde peut en profiter.
Grâce aux associations France Nature Environnement, Bretagne Vivante - SEPNB, la Coordination Régionale de la LPO Pays de la Loire, FNE Pays de la Loire, Eau et Rivières de Bretagne et SOS Loire-Vivante – ERN France, nous vous proposons à partir de 5 euros de vous payer un bel aéroport, de la marque Notre-Dame des Landes. (http://citizencase.org/projet/contre-nddl/)
Si l'aéroport ne vous plaît pas, FNE Midi-Pyrénées vous propose un autre beau cadeau, à partir de 5 euros également: un barrage, de la marque Sivens. (http://citizencase.org/projet/contre-barrage-sivens/)




animateurs, ils pourront s’adonner à la lecture ou à des jeux aussi divers que variés : jeux sportifs, jeux en bois, maquillages etc…
Le défilé a été festif, créatif et déterminé, avec des batukadas, salamandres, tritons géants, masques d'animaux marquant le refus de la destruction des espèces protégées et des mesures dites de compensation.
aujourd’hui. L’Ile de Nantes et la Zac des Iles à Rezé restent en dehors de la zone C du PEB, celle qui empêche de construire des nouveaux logements. En effet, il faudrait entre 160 000 et 230 000 mouvements d’avions (14 à 19 millions de passagers… contre 3,6 aujourd’hui) pour que cette zone C atteigne l’Ile de Nantes.
qu’il respectera la loi sur l’eau, à sa manière sans doute. Nous regrettons qu’elle n’ait pas voulu statuer à ce stade sur de possibles infractions sur les autres directives environnementales, et qu’elle reporte son jugement final à l’analyse des décisions à venir (arrêté loi sur l’eau et déplacement des espèces protégées). 


