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europe-écologie

  • Pourquoi nous soutenons Pierre Potron par Christophe Dumont

     

     

     

    Ecologie et solidarité : quelle meilleure manière de définir l’écologie politique, qui va bien au-delà de la stricte défense de l’environnement et s’intéresse à la question sociale, aux rapports que l’homme entretient avec la nature, mais aussi à ceux que les hommes entretiennent entre eux ?

     

    images?q=tbn:ANd9GcRXTfPAJlaD0dLAKa_-T8mpBf3iXTQ_0-XzmXZ5Z6dLf3yjTCWSOQIl était donc logique qu’Europe-Ecologie - Les Verts, notre jeune formation, ait choisi très tôt de soutenir pour les prochaines cantonales dans le canton de Vouziers le candidat de votre groupe, héritier de la tradition alternative incarnée par Raymond Goury puis Michel Coistia puisque nous nous côtoyons dans beaucoup de combats.

     

    C’est devenu encore plus évident lorsque vous avez choisi, pour vous représenter pour le scrutin des 20 et 27 mars, l’un des nôtres.

     

    Les divers soutiens reçus par  Pierre Potron font de Vouziers un laboratoire d’une expérience observée bien au-delà de votre canton, celle d’une candidature nouvelle et morale qui donne un coup de vieux aux cumulards de tous bords.

     

    Il existe aussi un candidat neuf et entreprenant un peu plus loin en Argonne, de l’autre côté d’une frontière qui n’est qu’administrative, Olivier Aimont, qui s’est récemment distingué à la tête d’un comité de défense contre un projet de carrière à Menou et a pris la tête d’une association de préfiguration d’un parc naturel régional de l’Argonne, à cheval sur 3 départements et 2 régions. Nous comptons bien que la création de ce parc de l’Argonne  devienne notre prochain combat commun.

     

    D’ici là,  mettons tout en œuvre le 20 mars pour que Pierre soit au deuxième tour !

     

     

     

    europe-écologie,pierre potron,élection cantonale,vouziersChristophe Dumont

    Co-animateur du comité local Europe Ecologie/ les verts

    Conseiller régional de Champagne Ardenne 

  • Le candidat de droite battu

    Dans les Yvelines se déroulait ce jour une élection législative.


    La circonscription est celle de Christine Boutin, et se situe habituellement à droite. La candidate Europe-850212_3840521a-308c-11df-9cc8-001517810e22.jpgEcologie, Anny Poursinoff, soutenue par le PS est élue au deuxième tour avec près de 52 %.

    C'est donc un sérieux revers pour l'UMP, et une députée de plus pour EE.

    Voici, repris de L'Express, la réaction de Jean-Luc Mélenchon

     

    De son côté, le président du Parti de gauche, Jean-Luc Mélenchon, a estimé que les "électeurs (avaient) saisi l'occasion de donner une baffe magistrale à la droite et à Nicolas Sarkozy, dans un de ses fiefs les mieux assurés".

    "Ce résultat prend une signification nationale incontestable dans le contexte de crise morale qui frappe le pouvoir", a-t-il poursuivi dans un communiqué, en ajoutant: "Pour moi cette élection anticipée est donc aussi une réponse anticipée à ce que va dire le président (lundi) soir".

    Il s'est félicité, en outre que "l'appel des candidats du Front de gauche au rassemblement de la gauche au deuxième tour" ait été "bien entendu et bien suivi d'effet".

  • Nucléaire : un compromis est-il possible ?

    La question du nucléaire fait-elle partie des points sur lesquels il est possible de ménager ses convictions ?

     

    Le réseau "sortir du nucléaire" interpelle les députés d'"Europe-Ecologie", suite au vote d'un texte au parlement européen. Cette résolution incorpore un amendement favorable au nucléaire. Les eurodéputés"Verts" ont voté contre l'amendement, quand il a été présenté. Mais ils ont voté à la quasi unanimité le texte qui reprend cet amendement. Ceci au nom de la politique de compromis, sans laquelle aucune avancée n'est possible à Bruxelles .

     

    Fallait-il admettre une telle remise en question de ses choix fondamentaux pour obtenir un texte voté à la très large majorité des députés européens ?

     

     

    Le site "basta" revient sur la question .

     

     

    Dans un communiqué du 1er décembre 2009, le Réseau Sortir du Nucléaire « demande aux députés européens d’Europe écologie de faire poubelle-nucleaire.jpgle nécessaire pour rectifier leur vote en faveur d’une résolution, adoptée par le Parlement européen le 25 novembre 2009, qui est favorable à l’énergie nucléaire » (voir notre article). Cette résolution mentionne que « le passage, à l’échelle internationale, à une économie à faible intensité de carbone conférera à l’énergie nucléaire un rôle important dans le bouquet énergétique à moyen terme ».

     

    « Nous avions voté contre cet amendement déposé par le PPE (la droite européenne, ndlr), précise Yannick Jadot, député européen d’Europe Ecologie, à l’intention de Basta !. Malheureusement l’amendement figure dans le vote final de la résolution. Par contre notre groupe avait déposé un amendement où le nucléaire devait être exclu des mécanismes de développement propre. » Ce dernier n’a pas été adopté.

     

    « C’est un compromis politique »


    « Nous sommes le groupe au Parlement européen qui combat le nucléaire en permanence, poursuit l’ancien responsable de Greenpeace France. Bien sûr que nous ne sommes pas pour les marchés carbone, on essaie de limiter les mécanismes de flexibilité. Il y a des choses qui ne nous plaisent pas dans cette résolution mais c’est un compromis politique. Devrait-on fermement voter non ? Nous ne sommes pas dans une logique contestataire mais de construction, d’alternative au nucléaire. »

     

    « Il s’agit d’une résolution sur Copenhague et pas sur l’énergie », insiste le député européen. Pour lui, « l’essentiel est qu’il y ait un signal du Parlement européen dans la perspective du sommet : 99 % de la résolution parle de choses ambitieuses ». Celle-ci stipule par exemple que l’accord international doit garantir 40 % de réduction d’émissions de gaz à effet de serre d’ici 2020, que l’Europe doit soutenir les pays en développement à hauteur de 30 milliards d’euros minimum par an d’ici 2020 pour leurs efforts de reconversion vers des industries moins polluantes, et que la transition énergétique passe largement par l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables. Pas sûr que cela suffise à calmer la polémique.

    Sophie Chapelle