Comme tous les ans, un rassemblement s'est tenu dans la grande salle de la mairie, où la municipalité de Vouziers avait convié les Vouzinois à échanger sur la situation sociale.
Un certain nombre de personnes s'étaient rendues à Charleville, où se déroulait à la même heure la manifestation départementale.
Malgré cela, l'assistance était plus nombreuse qu'habituellement : une quarantaine de personnes étaient présentes.
Après une introduction du maire, des débats ont eu lieu sur la crise et ses conséquences, et sur les possibilités de l'émergence d'une politique différente pour en sortir. Il a été regretté le peu de présence de jeunes, mais plusieurs signes de mobilisation dans divers domaines laissent à penser que beaucoup ne resteront pas passifs devant les conséquences de cette crise.
L'unité syndicale pour cette journée a été saluée, démontrant que l'agitation médiatique de notre président ne suffit pas à cacher ses réponses insuffisantes et ses responsabilités en tant que responsable politique, vis à vis de cette crise du libéralisme : Il voulait développer en France les solutions les plus ultra libérales, il en est réduit à s'appuyer sur l'Etat pour sauver les banques et l'économie.

présentée comme nécessaire pour préserver les activités de chirurgie dans les deux sites, en mutualisant les moyens.



C'est Françoise Cappelle (photo ci-contre) en sa qualité de première adjointe et responsable des finances qui présentait les chiffres.
les débats houleux des précédents votes budgétaires, qui étaient allés jusqu'à un vote négatif pour le budget préparé par le président lors d'un conseil à Le Chesne.
et a été présenté comme la seule façon de sauver l'activité du site de Vouziers.
(coloscopie) sur place . Cela n'est plus possible, car il faut une anesthésie et il n'y a plus de médecins anesthésistes sur place (c'est sûr, il n'y a plus de chirurgie ! la fermeture d'un service entraîne la suppression d'un autre).
