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attentat - Page 2

  • Etat d'urgence et Etat de guerre

    Si François Hollande a décrété l'Etat d'urgence depuis ce matin 00 heure, c'est à un véritable Etat de guerre qu'a été confronté une partie de la population parisienne ce 13 novembre.

    10 mois après les attentats de janvier qui avaient visé notamment Charlie-Hebdo, les massacres se reproduisent avec une plus grande ampleur. Cette fois-ci, c'est la cible principale est la jeunesse, qui a commis le crime d'assister à un concert. C'est ce que déclarent les commanditaires des attentats  qui  ont revendiqué la responsabilité des actions terroristes d'hier.

    L'équipe de Charlie a diffusé un communiqué après ces nouveaux crimes :

    "Toute l’équipe de Charlie Hebdo fait part de son effroi et de sa révolte après les attentats qui se sont déroulés vendredi 13 novembre à Paris. Charlie Hebdo s’associe à la douleur des victimes et leur adresse son soutien total ainsi qu’à leur famille. Le journal condamne une fois de plus cette violence terroriste au service de l’idéologie totalitaire islamiste qui n’a d’autre but que de détruire les valeurs de la démocratie et de la République".

    Comme après l'attentat contre Charlie, un mouvement de solidarité se développe plus ou moins spontanément en France et à l'étranger.

    Localement, plusieurs Vouzinois ont souhaité organiser un rassemblement, pour marquer leur solidarité avec les victimes, condamner  ce terrorisme au service d'une idéologie totalitaire et rappeler les valeurs de tolérance et de démocratie.

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  • Il y a 30 ans, l’insensée « raison d’Etat » causait la mort de Fernando Pereira

    Communiqué de Greenpeace

    Nous commémorerons demain la mémoire de Fernando Pereira.
    Il y a 30 ans, ce militant écologiste non violent perdit la vie dans l’attentat du Rainbow Warrior dans la nuit du 10 au 11 juillet 1985.

    Alors que le Rainbow Warrior était à l’ancrage dans le port d’Auckland, deux explosions retentissent successivement au milieu de la nuit.
    Le Rainbow Warrior vient d’être coulé par les services secrets français. Alors que la mobilisation citoyenne internationale soutient l’engagement de Greenpeace contre les essais nucléaires, le gouvernement français, se disant harcelé par la contestation, choisit de faire sauter le navire.
    Fernando Pereira, le photographe de l’équipage, se trouvait à bord.

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