Un bel après-midi ensoleillé en ce dimanche 19 juin a donné l’envie de sortir à de nombreux promeneurs. Le village de Falaise en partenariat avec l’association de sauvegarde du patrimoine vouzinois et les Falairâts avaient bien fait les choses pour les intéresser et les divertir.
La fête « Patrimoine de Pays » a présenté, par des visites commentées, le patrimoine du village, l’église St Victor et son beau portail Renaissance, la chapelle allemande magnifiquement restaurée ainsi que les métiers et savoir-faire locaux : un tourneur sur bois, une céramiste, un vannier, un fabricant de pétillant de groseilles.
La tenderie aux vanneaux pratiquée depuis 3 siècles dans la prairie de l’Aisne a fait l’objet d’une exposition et de présentations imagées commentées par André Théret, un vagnoli du village. Des maquettes très précises de sites de batailles de la guerre 14-18 ont retenu largement l’attention des visiteurs.
Ajoutez à cela, des animations appréciées, assurées par le twirling bâton vouzinois et les Embruns d’Ardenne , un jeu quiz invitant à une promenade pédestre dans le village et vous comprendrez alors pourquoi ce cocktail patrimonial a connu le succès.
Voici des illustrations de cette journée :
David Murzyn présente les étapes de la restauration de la chapelle allemande
Visite commentée de l'église St Victor par Stanislas Murzyn
Le groupe vocal Les embruns d'Ardenne et leurs chants marins
Le tourneur sur bois du village
Commentaires
Bonjour,
vous avez omis de parler de l'exposition de photos de guerre 14/18,
présentée par M. Dominique FORET.
Cordialement
La Présidente des Falairats d'Argonne
Oubli bien involontaire.
J'ai effectivement oublié de citer les deux expositions de photos de guerre (salle communale) et de photos de classes dans l'église. Je prie Dominique Foret et madame Murzyn de bien vouloir m'excuser pour ces oublis bien involontaires. Quand j'ai rédigé le compte rendu succinct de cet après-midi à Falaise je me suis efforcé de ne rien oublier. Raté! Toutes les photos ont retenu l'intérêt des visiteurs. Les images de guerre s'inscrivent parfaitement dans le centenaire 14/18, celles d'école suscitent la nostalgie ou la curiosité selon la génération à laquelle on appartient .