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collectivité locale

  • Petit Guide des lois que personne (ou presque) ne respecte et pourtant ce serait mieux

    Le Petit Guide des lois que personne (ou presque) ne respecte et pourtant ce serait mieux est disponible ! À travers 5 Petit_Guide_des_lois_que_personne_ou_presque_ne_respecte.pngthématiques incontournables pour une transition écologique locale juste et inclusive, Alternatiba, ANV-COP21 et le Réseau Action Climat dressent un constat alarmant : un nombre significatif de collectivités ne respectent pas les obligations légales qui leur incombent. Mais alors, qu’est-ce qu’on fait si les lois, même insuffisantes, ne sont pas respectées ? Ce Petit Guide est là pour répondre à cette question désarmante !

    Ce guide de 40 pages propose, pour chacune des thématiques, le contexte législatif et les actions des collectivités à ce jour, des suggestions de ce que peuvent faire les élu·es, et des idées de mobilisations pour les militant·es.

    Un constat citoyen autour de cinq thématiques

    Le Petit Guide des lois que personne (ou presque) ne respecte et pourtant ce serait mieux est issu d’un travail réalisé en 2023 par plus de 60 groupes de citoyen·nes sur les politiques de transition écologique, sociale et démocratique. Il met en lumière cinq thématiques dont les lois ne sont pas toujours respectées, au détriment de la justice sociale et du climat :

    • la qualité des produits dans la restauration collective publique
    • les aménagements cyclables favorisant la pratique du vélo
    • l’accès au logement
    • l’accès à l’eau
    • le tri à la source des biodéchets


    Pour commander le guide, voit sur le site d'Alternatiba

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  • Vouziers intoxiqué ?

    Le monde de la finances n'a pas fini de nous révéler tous ses secrets et toutes ses astuces.

    Le journal Libération consacre ce jour un dossier aux emprunts toxiques que les collectivités territoriales ont contractés.

     

    Plusieurs banques dont Dexia ont fait souscrire aux communes des emprunts avec des modalités de dexia-einstein.jpgcalcul très complexes pour le taux d'intérêt.

    Actuellement certaines devises montent (Franc suisse par exemple), les taux de référence varient et au total les sommes à rembourser peuvent augmenter considérablement.

    La ville de Vouziers est citée dans l'enquête de Libération, parmi des dizaines d'autres. Heureusement notre commune est peu endettée, et ses emprunts ont été renégociés il y a peu de temps, avec l'aide d'un cabinet spécialisé.

    D'après l'article du journal, Vouziers serait concerné pour un seul contrat auprès de Dexia. Cet emprunt de 336 000 euros entraînerait un surcout de 39.000 euros, l'échéance finale étant fixée en 2022.

    Cette somme sera à la charge de la ville, mais son payement s'étalera sur plusieurs années budgétaires.

    Au total, on peut voir que cette situation ne met pas du tout en péril les finances de la ville.

     

    Ce n'est pas la même chose pour d'autres communes, dont certaines de la région, qui sont confrontées à des surcouts beaucoup plus importants.

    Dette_Toxique.jpgCitons dans le département Fumay (2 000 000 d'euros), Givet (2 597 000 euros) ou bien hors département Romilly sur Seine (4 491 000 euros ).

    Des difficultés sérieuses sont donc à prévoir pour ces collectivités, sans pouvoir attendre d'aide de l'état ou des départements déjà bien endettés ou encore moins des banques dont la situation est actuellement délicate.

    La préparation des budget 2012 va constituer un sérieux casse-tête pour ces communes qui vont payer au prix fort les "bons conseils" des banques.