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L'AN VERT de Vouziers : écologie et solidarité. - Page 1002

  • La Défense Nationale à droite ?

    photo_1207753803226-1-0.jpgOn apprend de la bouche du secrétaire d'état Alain Joyandet (photo ci-contre) que la fermeture de la base aérienne 116 de Luxeuil devait être fermée dans le cadre de la réorganisation de l'armée en bases de défense . Il se vante d'avoir réussi à l'éviter, mais en reportant la décision sur un autre site !

    " Dans un article de l'Est Républicain paru au lendemain de l'annonce du plan de restructuration des armées, l'élu francomtois indiquait  que " pour maintenir [la base de] Luxeuil, il avait fallu piquer des choses ailleurs, comme la suppression anticipée de l'unité de Metz " .Ecusson%2BB.V%2BEP%2Bde%2BMetz%2Bb.jpg

    Faut-il rappeler que Metz possède depuis peu un maire PS, quel mélange entre des décisions de responsables de l'état et des préférences politiciennes .

    Les élus de Lorraine réagissent à ces informations (source "Le Monde") :

    Ulcéré, le sénateur Masson, qui n'oublie pas que la suppression programmée de la BA 128 de Metz-Frescaty va coûter plus de 2 000 emplois à sa circonscription, s'est empressé de rédiger une question écrite au gouvernement : " La France serait-elle devenue une république bananière ? ", y questionne-t-il. " Le plan de restructuration des armées était, certes, nécessaire. Toutefois, les arbitrages auraient dû s'effectuer en dehors de tout copinage et de toute opération clientéliste ", fulmine le sénateur. Qui rappelle que les unités opérationnelles de la base aérienne messine seront redéployées à Luxeuil et sur la base aérienne d'Evreux, " située dans le département du ministre de la défense ". Jean-Louis Masson, qui fut longtemps membre du RPR, ne décolère pas : " Si j'avais été le maire socialiste de Metz, je leur aurais retourné la baraque ! Ce népotisme est un scandale! ".

    À Metz, où une manifestation unitaire avait rassemblé plus de 2 000 personnes, samedi 6 septembre, les esprits sont à cran. Alors que les compensations promises par Nicolas Sarkozy (transfert de 1 500 emplois publics, cession de terrains à l'euro symbolique…) semblaient avoir mis un peu de baume au coeur aux élus messins, le mot d'ordre semble être à présent : marche arrière, toute ! Dominique Gros (PS) (photo ci-contre), maire municipales-2-municipales-ps-57-gros-hollande_10.jpgde Metz, vient ainsi de demander au président de la République de revenir sur la décision de fermeture de la base aérienne messine. " Lors de l'entrevue du 2 septembre 2008 que vous avez bien voulu m'accorder (…), vous avez affirmé que les mesures [de fermetures d'unités] avaient été prises sans aucune influence politique et que seule la nécessité d'adaptation de notre outil de défense avait orienté votre décision ", écrit-il à Nicolas Sarkozy dans un courrier daté du vendredi 12 septembre. " C'est peu dire que [les déclarations de M. Joyandet] suscitent dans toute la ville la plus grande stupéfaction, tant elles (…) jettent sur la réforme de la carte militaire, aux conséquences extrêmement lourdes pour notre agglomération, une suspicion toute nouvelle et bien troublante ", ajoute le maire de Metz, qui évoque des " arrangements politiciens ". Ainsi, M. Gros demande " instamment et solennellement " au chef de l'État de " reconsidérer144642BA%2520128.jpg

    Le président de la Communauté d'agglomération de Metz-Métropole, Jean-Luc Bohl (divers droite), évoque de son côté " un sentiment de duperie ", des " tractations de couloir et des copinages ". Lui aussi demande au président de revoir sa copie.

  • non à Edwige (suite)

    Les réactions de plus en plus nombreuses provoquées par le fichier "Edwige" font hésiter même N. Sarkozy . Il ne veut pas paraître reculer sur un dossier de type sécurité qui est son fond de commerce (ou d'électeurs), mais affronte des craintes exprimées au sein même de son gouvernement (Morin en particulier) . La situation reste chaude, et la mobilisation ne cède pas . Voici ce qu'en dit "l'Humanité" :

    "Fichier Edvige : Sarkozy se fiche de nous !

    Libertés . Le chef de l’État a accepté quelques concessions mais est resté ferme sur le fichage des mineurs. « Insuffisant », jugent l’opposition et les associations.

    Touché, mais pas encore coulé. La mobilisation contre Edvige a remporté une bataille en contraignant Nicolas Sarkozy à un savant rétro-pédalage. Hier, le chef de l’État a réitéré, lors du Conseil des ministres, sa volonté de « lever toutes les inquiétudes ». Et proposé d’amender ce vaste fichier de police qui permet de recenser les personnalités politiques, syndicales ou économiques, ainsi que toute personne, dès treize CouvJustice184-aaa73.pngans, « susceptible de porter atteinte à l’ordre public ».

    « Première victoire »

    Selon son entourage, le chef de l’État souhaite abandonner les mentions concernant la santé et la sexualité des personnes fichées. Mais aussi mettre fin au fichage des personnalités, estimant que le Who’s Who suffisait, surtout à l’heure où Internet procure des informations immédiates sur les personnes publiques. Dans le même temps, Nicolas Sarkozy a demandé à la ministre de l’Intérieur, Michèle Alliot-Marie, d’ouvrir rapidement une « concertation » qui devra être suivie de « décisions pour protéger les libertés ». En clair, il s’agirait d’inscrire des garanties concernant les libertés dans la future loi d’orientation et de programmation pour la sécurité intérieure (Lopsi II), qui devrait être prête d’ici à quelques semaines.

    Opposition et associations ont salué prudemment ce recul. « C’est une première victoire, note Jean-Pierre Dubois, le président de la Ligue des droits de l’homme. Mais les mots ne suffisent pas, Nicolas Sarkozy doit donner des garanties. » Même son de cloche chez Hélène Franco, secrétaire générale du Syndicat de la magistrature : « On est satisfait qu’il y ait enfin un débat public alors que le gouvernement a tout fait pour l’éviter. Mais ces concessions sont encore insuffisantes. La seule solution, maintenant, c’est le retrait pur et simple et l’organisation, ensuite, d’un débat parlementaire. » Une position qui rassemble toute la gauche, le Modem et même le président UMP de l’Assemblée nationale, Bernard Accoyer.

    Seulement voilà : sur ce point, le chef de l’État a opposé hier une fin de non-recevoir. Faisant comprendre qu’il ne reculerait pas sur les autres 555_1057_image_ldh_128.jpgaspects polémiques du fichier, à commencer par la possibilité d’y faire figurer les mineurs dès treize ans. « Le président de la République a insisté sur l’importance de ces fichiers, a rapporté le porte-parole du gouvernement Luc Chatel. Rappelons-nous les émeutes des banlieues que nous avons connues, avec une nouvelle forme de délinquance, avec des jeunes mineurs. Donc, c’est très important que soient inclus dorénavant dans ce fichier les mineurs. » Un argumentaire repris illico par l’UMP et Michèle Alliot-Marie. À la sortie d’une nouvelle réunion à l’Élysée, après le conseil des ministres, la ministre de l’Intérieur a souligné que « 46 % des vols avec violence » et « 25 % des viols » étaient commis par des mineurs. Pour la présidente du groupe CRC au Sénat, Nicole Borvo Cohen-Seat, la vigilance reste donc de mise : « Ne nous laissons pas abuser par le discours propagandiste de ce matin. »

    Parodie de concertation ?

    Autre point en suspens : l’organisation de la « concertation », préalable au débat parlementaire. Saluée dans un premier temps, cette initiative prend une tournure polémique, avec notamment la décision de MAM de ne pas y associer les représentants du collectif Non à Edvige (1), qui regroupe pourtant quelque 800 organisations. « Ces gens, de toute façon, sont des opposants systématiques », affirme la ministre dans le Figaro. Des déclarations qui laissent Hélène Franco songeuse : « Ne pas inviter les douze associations qui ont déposé le recours devant le Conseil d’État serait un choix politique que nous contesterions, il tournerait le dos avec mépris à tous ceux qui se sont mobilisés contre ce texte. »

    Dans un communiqué publié hier, le collectif a souligné à son tour que cette mise à l’écart irait « manifestement à l’encontre de la démarche EDWIGE.jpgd’apaisement et de dialogue mise en avant par le président de la République pour garantir les libertés ». Dans l’attente du retrait du décret, les associations maintiennent donc leur journée de mobilisation du 16 octobre, jour de la « Sainte Edwige ». Et appelent toujours à signer leur pétition. Hier, celle-ci approchait les 150 000 paraphes.

    Laurent Mouloud "

  • VVV

    Le bulletin municipal "Vouziers votre ville " vient de sortir . C'est le premier depuis les élections municipales, et c'est tout naturellement à la nouvelle équipe d'élus qu'il consacre son dossier .

    Les Vouzinois ne seront pas trop surpris en le lisant, car il reprend pour l'essentiel l'architecture antérieure .

    368495-0058.jpg?t=4397


    Sa distribution est toujours assurée par des Vouzinois bénévoles, elle débute ce jour et  le bulletin devrait être dans les boites à lettres rapidement . Si vous ne le recevez pas, signalez-le au service information de la mairie .
    A ce bulletin est joint un petit guide du tri, qui peut vous aider à recycler correctement vos déchets .
    Si cette lecture vous amène des commentaires, vous pouvez les faire sur ce blog, ou bien les adresser directement aux responsables du service information de la ville de Vouziers .
    Dans la libre expression des groupes, Christine Noiret-Richet regrette une "démocratie absente" et un "sectarisme qui règne" . C'est son opinion, mais si elle veut travailler comme elle le dit pour l'intérêt des Vouzinois, il faudrait un peu plus de propositions concrètes et un peu moins de discours plaintifs .
  • les ordures ménagères et la 2C2A

    Ce soir se déroulait au Chesne un conseil de communauté de la 2C2A, avec un point principal à l'ordre du jour : la prise de compétence ordures ménagères . Cette prise de compétence par la communauté de communes avait été refusée lors du mandat précédent . F. Signoret jouait donc gros ce soir, car il a basé une partie de ses projets de président en fonction de ce choix .

    C'est au directeur de la 2C2A qu'est revenu la tâche de présenter les enjeux présents .

    L'objectif est de démarrer au premier janvier 2009 avec cette compétence exercée par la 2C2A . Il a été rappelé que l'acceptation entraînerait179364-0004.jpg?t=9092 une multiplication par 2 de la dotation de fonctionnement de l'état à la 2C2A (pour aboutir à plus de 500.000 euros) ;

    La prise de compétence entraîne de fait la dissolution du SICROM, et la reprise de ses actifs et passifs par la communauté. Pour les communes hors SICROM (dont Vouziers) les contrats en cours seraient poursuivis jusqu'à leurs termes . Donc ,pas de changements concrets à court terme .

    Par contre, le financement se ferait sur le principe de la redevance (par habitant) et non plus de la taxe (basée sur la taxe d'habitation) . C'est la 2C2A qui gérerait ce service au quotidien . Le coût moyen par habitant ne devrait pas bouger, mais la charge serait différente selon les foyers . Les modalités précises ne sont pas encore fixées .

    Il est prévu de compléter le réseau de déchèteries sur le territoire (2 de plus ?), le financement pouvant être assuré par le fond de roulement du SICROM .

    Après l'exposé des propositions, un débat s'est déroulé avec les délégués présents dans la salle . Le président Signoret a répondu à de nombreuses questions, certaines montrant l'inquiétude de délégués sur la suite des événements .

    939566-0003.jpg?t=1690Le vote a eu lieu commune par commune pour plus de clarté .

    Les délégués de la ville de Vouziers (majorité et opposition) ont voté positivement . Seule madame Petitjean, maire déléguée de Blaise a voté "non" .

    En attendant le résultat du vote, le président était un peu tendu .

     

    Finalement la proposition était adoptée avec pratiquement les 2/3 des votes, et le président pouvait se féliciter de ce succès . Il reste cependant à faire approuver les nouveaux statuts par les communes de la 2C2A, qui auront à délibérer dans les trois mois . Si ce vote est également positif, il restera au préfet à prendre l'arrêté qui rendra la la prise de compétence effective .

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    Après le résultat du vote, le président peut se détendre (à  sa gauche, le directeur de la 2C2A)


    Après ce gros morceau, d'autres points étaient à l'ordre du jour . Retenons que l'étude de l'aménagement de la zone industrielle et commerciale de Vouziers doit être confiée à un cabinet . Le choix de principe sur l'emplacement du terrain pour les gens du voyage est validé : ce sera au bout de la zone, là où se trouve l'emplacement provisoire aménagé par la ville . Ce compromis semble satisfaire tout le monde , mais il y a encore du chemin à faire avant la réalisation .

     

  • Dans le bon sens

    Les quelques commentaires acariâtres signés bibi08 ce jour ne méritent pas vraiment de réponse . Mais comme cette personne ne semble pas bien connaître Vouziers et ses habitants, il peut être utile d'apporter quelques précisions :

    L'An Vert existe depuis de nombreuses années, et ne s'est jamais caché d'être de gauche . La libre expression est de pouvoir faire entendre une parole différente de celle des grands média (journaux, télévisions,...) . Quand à nous "complaire dans le satisfecit de l'action du PS", cela a du en surprendre quelques uns, et en faire doucement rigoler certains autres .

    Tout à fait d'accord par contre sur le conseiller général "absent du débat en permanence", mais notre contradicteur sait-il qui est conseiller général du canton de Vouziers ?

    De telles réactions ont au moins un mérite : nous confirmer que ce blog va dans le bon sens (selon notre opinion du bon sens !)

  • Poutine et Münich

    Poutine n'est pas Hitler, mais Münich est toujours la capitale de la Bavière, où furent signés en 1938 les accords qui livraient  la Tchécoslovaquie aux Allemands . La paix était provisoirement sauvée, mais à quel prix  ?

    Pour ceux qui veulent réviser leur histoire, une page du site Hérodote (herodote.net):

     

     

    Le 30 septembre 1938, par les accords de Munich, Français et Anglais livrent à Hitler la Tchécoslovaquie. Le dictateur allemand tire de son succès la conviction que tout lui est permis.

    Conférence de la dernière chance

    Après avoir annexé l'Autriche sans coup férir, Hitler réclame en septembre 1938 l'autodétermination pour les 3,2 millions d'Allemands qui peuplent la région des monts Sudètes, en Tchécoslovaquie.

    On commence à entrevoir la guerre pour de bon. Pourtant, beaucoup d'Allemands gardent un souvenir amer du désastre de 1918 et rechignent à un nouveau conflit, y compris dans l'entourage du Führer.

    Le Premier ministre britannique Neville Chamberlain multiplie les gestes d'apaisement envers Hitler et lui rend visite le 15 septembre puis le 22, après avoir persuadé les Tchécoslovaques de la nécessité de trouver un arrangement.

    Hitler choisit de surenchérir et exige une cession des Sudètes dès le 1er octobre suivant, menaçant d'envahir le territoire à cette date... Chacun craint le pire.

    Le 28 septembre, alors que la guerre est imminente, le Duce italien Mussolini propose une conférence internationale de la dernière chance... en l'absence des principaux intéressés, les Tchécoslovaques.

    Faillite politique

    Dès le lendemain 29 septembre, Hitler accueille Mussolini en gare de Munich. Le Britannique Chamberlain et le Français Daladier arrivent munich_conference.jpgchacun de leur côté en avion.

    Au bord de l'épuisement, Daladier et Chamberlain finissent par accepter un «compromis» présenté par Mussolini par lequel le gouvernement de Prague est tenu d'évacuer les Sudètes dans les dix jours et de démanteler ses forteresses de la frontière...

    Démantèlement de la Tchécoslovaquie

    Dès le lendemain, l'armée allemande pénètre en Tchécoslovaquie et annexe les Sudètes. Hitler rectifie de son propre chef les frontières du pays en attendant de le conquérir tout entier.

    Profitant de l'intervention allemande, les Hongrois et les Polonais s'emparent les uns et les autres d'un morceau de la Tchécoslovaquie. Les Slovaques obtiennent que ce qui reste du pays soit transformé en un État fédéral avec d'une part la Bohême-Moravie, peuplée de Tchèques (capitale : Prague), d'autre part la Slovaquie (capitale : Bratislava, autrefois Presbourg).

    Le même jour, Hitler convoque à Berlin le président tchèque et le somme de «remettre en pleine confiance entre les mains du Führer le destin du peuple et du pays tchèques» sous peine de réduire Prague en cendres. Le lendemain, 15 mars 1939, l'armée allemande occupe sans combat la Bohême-Moravie.

    C'est la première fois qu'un État européen est ainsi asservi et réduit à l'état de colonie. De son côté, la Slovaquie devient un pays indépendant dememb-tchecosl.gifmais vassal du Reich.

    Défaite des démocraties

    L'opinion publique des pays démocratiques est à la fois troublée et soulagée par les accords de Munich. A sa descente d'avion, Neville Chamberlain, toujours plein d'illusions, n'hésite pas à affirmer que le Führer «est un homme sur qui l'on peut compter lorsqu'il a engagé sa parole».

    En France, au lendemain des accords de Munich, tous les journaux titrent à la une : La Paix ! Daladier est accueilli à son retour au Bourget par une foule en délire.

    ChurchillHomefleet.jpgLe 5 octobre 1938, Churchill lance : «Nous avons subi une défaite totale et sans mélange (...). Notre peuple doit savoir que nous avons subi une défaite sans guerre, dont les conséquences nous accompagneront longtemps sur notre chemin» (*). La postérité retiendra de lui cette formule, dans une lettre postérieure : «Ils ont accepté le déshonneur pour avoir la paix. Ils auront le déshonneur et la guerre».

  • Ossétie : sitôt dit, sitôt démenti

    Juste après la diffusion des dépêches d'agence annonçant qu'il souhaite intégrer la Russie, le président osséte dément l'information:

    "L’Ossétie du Sud, dont la Russie a reconnu en août l’indépendance, n’a pas l’intention d’entrer dans la Fédération de Russie, a déclaré son président Edouard Kokoïty, revenant ainsi sur ce qu’il avait dit un peu plus tôt."

    «On m’a visiblement mal compris. Nous n’avons pas l’intention de renoncer à notre indépendance, obtenue au prix de sacrifices colossaux et l’Ossétie du Sud n’a pas l’intention d’entrer dans la Fédération de Russie», a déclaré Edouard Kokoïty à Interfax.

    Ce qui reste certain, c'est que les troupes russes sont en Ossetie, et que seuls la Russie et le Nicaragua ont reconnu ce pays comme indépendant . Que l'intégration à la Russie soit formelle ou juste de fait ne change pas grand-chose .

    KMO_073646_00003_1_t208.jpg
    le président Kokoïty